Where is Marion ?
Voyages et vie en Angleterre sans filtres
Voyager seule quand on est en couple
Bonjour ! 🙂
Aujourd’hui, un sujet qui me tient particulièrement à coeur !
Annoncer qu’on aime voyager seule alors qu’on est en couple est une phrase qui dans 99% des cas provoque la surprise. Pourquoi est-ce que j’aime partir seule, sans personne avec qui partager mon voyage, alors que j’ai un copain que j’aime et avec qui je pourrais vivre cette expérience ? Déjà qu’annoncer que j’aime partir seule fait parfois de moi un être étrange, mais alors quand j’annonce que j’ai un copain, là, je passe carrément pour un extraterrestre.
Non je ne cherche pas une échappatoire dans ma relation, non, je ne suis pas malheureuse avec mon copain, oui je l’aime, oui nous partageons beaucoup d’autres choses ensemble :).
Pour écrire cet article, je livre ma vision des choses et du couple qui n’engage que moi. Néanmoins, je pense avoir une idée assez précise de ce que je veux dans ma relation amoureuse et de la manière dont elle doit fonctionner.
Oui il est possible de voyager seule quand on est en couple, au même titre que s’adonner à des activités culturelles ou sportives, seule.
Cette affirmation repose sur un constat simple : chaque couple fonctionne comme il l’entend et fait ce qu’il veut . Le plus important est que les deux principaux intéressés soient d’accord entre eux sur comment ils fonctionnent, ce qu’ils acceptent ou pas. J’ai envie de vous dire que l’avis des autres dans un couple, on s’en contrefout . Mais vraiment. Si les deux parties prenantes du couple savent dialoguer et parler, alors c’est tout bon ! Personnellement, ce que pensent les autres du fait que je voyage seule ne m’intéresse pas. La seule chose qui m’importe c’est que ça ne gêne pas mon copain, qui saurait bien me le dire si tel était le cas ;). Partir seule ne signifie pas que je n’aime pas mon copain, loin de là. Mais dans une société où il faudrait rentrer dans des petits moules bien définis, ce n’est pas vraiment compris. Si je pars seule, c’est que je ne dois pas l’aimer tant que ça, sinon je partirai avec lui. À cela, je ne réponds rien si ce n’est que nous fonctionnons d’une manière qui nous est propre et qui ne regarde que nous :).
Il n’y a pas de modèle défini en matière de couple et heureusement d’ailleurs. Sinon les filles perdraient de sacrés objets de conversation ;).
Je devrais arrêter mon article ici. Puisque chaque couple fonctionne comme il l’entend, pourquoi faire des choses séparément est-il mal perçu ?
Etre en couple signifie bien entendu de partager sa vie avec quelqu’un mais cela ne doit pas signifier qu’il faut s’oublier dans l’histoire. Ne plus être un être singulier mais un tout formant un couple. S’oublier pour se consacrer à son couple n’est peut être pas le meilleur moyen pour que ça fonctionne au mieux. Je suis persuadée que dans tout couple, les partenaire peuvent avoir des moments ensemble (formant la majorité du temps), mais aussi des moments pour eux-mêmes où ils voient d’autres personnes ou font des choses seuls.
En ce qui me concerne, ou plutôt ce qui concerne moi et mon copain, voilà comment se sont passées les choses jusqu’à présent. Nous sommes ensemble depuis septembre 2014. Nous avons vécu à distance pendant plusieurs années, ensemble en France pendant quelques mois, à nouveau à distance, quelques mois, et finalement ensemble de nouveau en Angleterre depuis juillet 2020 :). Et oui, monsieur est anglais et vivait en Angleterre quand je l’ai rencontré. Créer une vie en commun avec un étranger, quelle que soit la nationalité, n’est pas chose aisée, croyez-moi, mais quand on veut, on peut :). Partir seule quand nous vivions séparément était plus simple dans le sens où je ne quittais pas temporairement notre domicile pour aller à l’étranger pendant que lui restait à la maison. Cela suscitait bien entendu des réactions car plutôt que de partir avec lui et de profiter de moments supplémentaires avec lui dans la relation, je partais seule. Ces voyages seules ont toujours été faits en concertation avec lui au préalable et je ne lui ai pas imposé un voyage seule. Nous sommes aussi bien entendu partis ensemble durant cette période et nous avions nos visites mensuelles dans nos pays respectifs. La situation est devenue différente quand nous avons vécu ensemble en France puisque je l’ai laissé seul pour partir. On vit ensemble, nous ne sommes pas de colocataires alors ça été un peu plus dur de partir dans ce contexte là. Je suis allée partie au Paraguay en Albanie et en Slovaquie . J’ai vraiment culpabilisé en partant, même si ces voyages ont été réalisés encore une fois en totale concertation avec lui. Il était limite plus content que moi le jour du départ en me disant que j’allais vivre de super aventures. Quand il est reparti vivre en Angleterre, je suis restée seule quelques mois avant de le rejoindre. Je n’en ai pas vraiment profité pour repartir seule car je voulais garder de l’argent pour mon futur déménagement mais, je suis allée passer un long weekend à Budapest et j’ai passé une partie de mon voyage en Pologne seule aussi.
J’ai de la chance, j’ai le copain le plus tolérant et le plus compréhensif du monde (si si 🙂 ). Il sait que j’aime voyager et que rien ne me réjouis plus que de partir explorer de nouvelles destinations. Je ne sais pas si je serais heureuse avec quelqu’un qui me piquerait des crises de jalousie parce que je pars quelques jours sans lui. Mais depuis que j’ai commencé à vivre avec lui je suis tiraillée entre l’envie de partir ailleurs et celle de rester avec lui à la maison et de planifier des voyages ensemble. On verra comment les choses évoluent. Si jamais je devais renoncer aux voyages en solo, la décision viendra de moi, et non de lui. Et si tel devait être le cas, je pourrais me dire que j’en ai bien profité aussi :D.
Après, la planète est vaste. Il y a tant à explorer qu’une vie ne suffirait pas et ce n’est pas parce que j’ai fait quelques destinations seule qu’il n’y a plus rien à voir. Bien au contraire ! On a une liste de destinations qu’on aimerait faire ensemble : l’Inde, Rome, New-York, la Jamaïque, l’Australie… Alors partir seule ne nous empêchera pas de voyager ensemble après.
En outre, le fait que je parte seule ne nous empêche pas de partager plein d’autres choses et je chéris tous les moments passés ensemble.
Une relation c’est aussi une histoire de confiance et mon copain me fait un très beau cadeau en ne disant rien à chaque fois que je pars seule. Après tout, il ne sait ce que je fais que d’après ce que je lui raconte. Mais nous nous faisons mutuellement confiance et il est toujours content d’avoir un retour de mes journées (ce que je fais systématiquement et de mon plein gré promis). Partir seule ne fait pas pour autant de moi une fille facile, même si c’est ce que tendent à croire certaines personnes. Non, les filles seules ne partent pas dans le seul but de tirer un coup avec un parfait inconnu.
Je termine en ajoutant que non je ne suis pas égoïste. C’est normal de penser à soi dans une relation. Si penser à l’autre est important, si vous vous oubliez et ne faites pas ce qui vous rend heureux, votre couple en pâtira c’est sur. Moi ce qui me rend heureuse, c’est de voyager, seule, en couple, avec ma soeur et entre amis. Voyager seule a une saveur particulière que j’adore et que j’espère ne jamais perdre, au risque de me perdre dans mon couple.
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27 réponses sur « voyager seule quand on est en couple ».
Tu as bien raison ❤ Merci de diffuser ta façon "hors-normes" de voir ton couple !
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Merci beaucoup pour ton retour 😊😘
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J’avais hâte de lire cet article ! Je trouve que tu es courageuse d’assumer ta passion, et je m’étonnerai toujours de la bêtise des gens qui n’ont que ça à faire que de juger les façons de faire des autres… ça me dépasse complètement !! Continue à faire ce qu’il te plaît 🙂
Merci beaucoup pour ton retour ❤️ J’ai appris à ne plus écouter les gens et leur opinion qui s’applique surtout à leur propre cas personnel ^^ Bonne fin de week-end 🙂
Belle vision des choses ! J’approuve ! 🙂
Merci beaucoup 🤗😘
Surpris? Pas vraiment mais je n’arrive jamais à me décider.Personne ne m’en empêche, ma compagne a ses passions qui la fixe durant près de 6 mois et elle ne s’oppose nullement à ce que je parte seul. Peut être que j’ai beaucoup voyagé et qu’aujourd’hui mon plaisir est surtout de faire partager des lieux, des pays plutôt que partir vadrouiller seul vers de nouvelles découvertes! Je n’ai peut être plus la flamme? Pas simple.
Peut-être que je changerai d’avis en la matière mais tant que cela ne gênera pas le principal intéressé je continuerai, les souvenirs issus de ces voyages sont uniques et j’aspire à en créer autant que possible 🙂
Notre couple fonctionne de la même façon, et nous sommes ensemble depuis 10 ans : ) la plupart du temps nous trouvons toujours une destination qui nous plaise à tous les 2 mais nos envies évoluent aussi, et donc de temps en temps je pars seule et lui aussi rarement en même temps. Et contrairement à ce que les gens pensent, cela soude encore plus notre couple car ces moment seuls sont propices à l’introspection et la remise en question : ) Longue vie au voyage en solo !
Comme quoi le fait de partir seule n’est détruit pas forcément un couple 😉 Le fait de partir seule fait que j’ai plein de choses à lui raconter à mon retour. On est déjà partis ensemble mais on n’est pas tout le temps en train de ressasser nos voyages, preuve est qu’on peut avoir d’autres sujets de conversation que les voyages 😀 Je te souhaite encore plein de beaux voyages en solo ! 🙂
On fonctionne pareil, ça fait 7 ans qu’on est ensemble. Je voyage seule car j’ai beaucoup plus de jours de congés que Monsieur mais aussi car voyager c’est MA passion à moi. Monsieur aime beaucoup les voyages qu’n fait ensemble mais il veut aussi pouvoir garder quelques économies pour sa propre passion à lui, le VTT. Alors les destinations qu’on aime tous les deux, on y va à deux et seule je vais dans les destinations qui na l’attirent pas plus que ça. Tout le monde est heureux dans le couple car chacun est libre de vivre sa passion sur son temps libre.
Une très belle manière de fonctionner 🙂 Tant que vous êtes heureux comme ça, c’est le plus important 🙂
Hello, merci pour cette vision des choses dans laquelle beaucoup se retrouveront. Je m’y retrouve moi même mais partiellement. Partiellement car je n’aime pas voyager seule (oui j’ai déjà testé). Pour autant, je le fais de temps en temps car je préfère encore voyager seule que pas du tout !! Mon mari n’a que 4 semaines de vacances par an, et moi j’ai un boulot qui nécessite que je voyage pour avancer, forcément ça bloque à un moment ! Il est la seule personne avec qui le voyage est facile (pour avoir aussi testé avec des amis…), car nous sommes vraiment sur la même longueur d’ondes. Bref, voilà ma petite expérience 😊
Merci à toi pour ton retour 🙂 Même si voyager seule n’est pas ton truc (ce que je comprends parfaitement), je suis ravie de savoir que ton mari te laisse partir, tous ne sont pas comme ça … Et ce même s’ils ont moins de vacances… Vive les hommes compréhensifs !
Je valide à 100% je ressens exactement la même chose et on me disait que j’etais Égoïste..;( Merci pour cet article ;))
- Ping: Avoir un blog voyage en 2019 – Where is Marion ?
- Ping: « Pour les vacances, j’ai laissé mon mec à la maison » – ON THE ROAD TO EQUALITY
- Ping: Bilan 2019 et de la décennie ! – Where is Marion ?
- Ping: Bilan de l’année 2020 (est-il vraiment nécessaire ?) – Where is Marion ?
est-ce que vous etes encore ensemble?
Ha trop bien! Ca me donne de l’espoir ! 🙂
Merci pour cet article, je te remercie de m’ouvrir un peu les yeux sur quelque chose que j’avais (un peu) oublié.
Avec plaisir 🙂
- Ping: Bilan de l’année 2021 (encore une belle année) – Where is Marion ?
- Ping: J’arrête de voyager seule (et je le vis bien) – Where is Marion ?
- Ping: 2022 : une année où les choses sont revenues à la normale ! – Where is Marion ?
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Rompre ou rester en couple ? 10 principaux critères à analyser
Article révisé par le Comité Psychologue.net
Une relation est toujours un travail. Il semble qu'il suffise d’avoir la réciprocité et la vie est belle. Cependant, il arrive que la relation elle-même apporte plus de tristesse que de joie
«Immense gratitude à son égard : l'amour vrai remercie toujours, du plus profond de soi, l'autre d'exister, de seulement être…plaisir d'une attention intense, soutenue et concentrée, sans aucun effort, sur un autre que soi, grâce à la coïncidence en lui de l'identité et de l'altérité. Je t'aime parce que tu es la meilleure partie de moi-même. Je t'aime parce que tu es ce que je ne suis pas, ce que je ne pourrai jamais être».
Parfois nous ne comprenons pas entièrement pourquoi nous sommes tombés amoureux de cette personne en particulier et pourquoi nous continuons à l'aimer. Nous tombons amoureux de ces personnes dont l'image extérieure et le comportement correspondent à notre image inconsciente d'un homme idéal ou d'une femme idéale. Plus la similitude avec l'idéal inconscient est grande, plus nos sentiments se révèlent forts.
« Il s'agit d'une constellation dynamique de désirs, de sensations, de fantasmes et d'affects, conscients et inconscients, qui modifie, pour un temps, l'ensemble de l'organisation personnelle et qui se traduit par une disposition irrésistible à constituer l'Objet élu en tant que source et centre de toute satisfaction, de tout bonheur, mobilisant l'essentiel des ressources énergétiques.»
Pour que l'amour soit heureux, il nous faut apprendre à aimer, et entretenir soigneusement nos sentiments. De plus nous apprenons à aimer tout au long de notre vie. Une relation avec un être cher n'est pas seulement un grand bonheur, mais c'est aussi un travail difficile et laborieux. Travaillez sur nous-même.
« Un solide sentiment de son existence, de sa réalité, de son identité, est nécessaire pour que l'être humain soit capable d'établir une relation véritable avec autrui sans se sentir menacé ».
Des conflits, des querelles, des malentendus surviennent chez tous les couples. Et chaque couple trouve ses propres solutions et moyens de surmonter ces situations pas simples. Mais que faire si ces décisions sont plus compliquées et difficiles ? Si chaque nouvelle querelle prend une énorme quantité d'énergie et se termine par un sentiment de dévastation intérieure ? Si après chacune de ces "collisions" la distance entre les partenaires augmente et l'envie de se rapprocher se diminue ?
"Que faire?" – voilà une question qui se pose inévitablement lorsque l'un des partenaires commence à penser à se séparer, mais il lui manque de courage, de compréhension, peut-être de soutien pour prendre une décision. « Se séparer ou rester ensemble ? » est une question très difficile qui exige la capacité de prendre ses responsabilités et de faire des démarches sérieuses.
Comment trouver la bonne solution ? Comment arrêter de se torturer les uns les autres ? Comment comprendre que nous ne sommes vraiment plus sur le même chemin pour s'arrêter à temps sans se causer des souffrances inutiles ?
La réponse la plus juste est « Apprenez à vous écouter et à faire confiance à vos sentiments ». Mais « juste » ne veut pas dire « simple ». C'est pourquoi, dans des moments aussi difficiles, vouloir obtenir un indice ou une sorte de repère est complètement compréhensible.
La psychothérapeute Mira KIRSHENBAUM a souligné 10 principaux critères à analyser afin de faciliter votre compréhension de la situation .
10 critères à analyser en couple
- 1. Manque de volonté de vivre la même vie avec un(e) seul(e) partenaire.
Si l'un des partenaires fait des projets de grande envergure et voit une vie heureuse ensemble dans le futur, et que l'autre, au contraire, ne veut pas se précipiter, suggère "un peu plus" d'attendre, sans vraiment expliquer quoi et combien de temps, évite les conversations sérieuses sur l'avenir, en cas de conflit ou de malentendu, entame une conversation sur la séparation et menace de partir. Si l'un ou les deux partenaires n'ont pas le désir de partager leurs projets, de discuter ensemble de problèmes affectant leur relation, de se consulter, d'écouter l'opinion d'autre.
- 2. Déloyauté dans la relation.
Elle se manifeste lorsque la relation n'est pas prioritaire par rapport aux autres domaines de la vie. Lorsque l'un des partenaires a des affaires plus prioritaires, par exemple une carrière ou, comme cela arrive souvent, l'enfant et ses intérêts, sans soucier des besoins et des désirs de l'autre partenaire. Par exemple votre partenaire est occupé(e) tout le temps par le travail et les affaires, résout constamment certains problèmes et sous-estime, ou même ignore complètement, les demandes d'aide et de soutien de l'autre. Ou une tendance à plonger tête baissée dans la maternité ou paternité en déplaçant ainsi progressivement et imperceptiblement les intérêts et les besoins de leur partenaire vers un plan plus éloigné.
- 3. Incertitude et manque de liberté.
Il est important de faire attention à la façon dont chaque partenaire peut s'autoriser à "être lui-même" à côté de l'autre, sans craindre de recevoir des désapprobations et des critiques. Peut-il au moment difficile d'exprimer son irritation ou même sa colère sans craindre de la « vengeance » de l'autre en mode l'offense ou bouderie. Chacun des partenaires peut-il librement poursuivre ses intérêts, avoir des loisirs ou des hobbys. Existe-t-il des restrictions, voire des interdictions, de rencontrer ou de communiquer avec certaines personnes (parents, amis).
- 4. Manque d'acceptation.
Si dans une relation il y a des tentatives de « rééduquer », «refaire » l'autre, alors ces relations ne peuvent pas être appelées partenariat, c'est-à-dire égales.
- 5. Perte de respect.
Le respect est l'une des qualités les plus importantes dans une relation. Regardez de plus près, avez-vous une idée de la valeur de cette personne en particulier ? Qu'est-ce qui prévaut en vous, le respect de son meilleur, ses forces ou les pensées sur le nombre de défauts et de qualités désagréables de votre partenaire ? Pouvez-vous remarquer et apprécier ses mérites, ou êtes-vous plus focalisé(e) sur les lacunes ?
- 6. La présence de secrets.
Si un(e)partenaire commence à avoir des projets secrets dont il/elle ne veut délibérément pas en discuter avec l'autre, si des décisions sérieuses pour le couple sont prises sans discussion avec l'autre, si certains faits sont cachés ou étouffés, cela indique que dans ce couple il y a des problèmes de confiance et le bien-être émotionnel ou psychologique peut être menacé à tout moment.
- 7. Différences fondamentales dans les attitudes de vie et des valeurs.
C'est une question très sensible qui demande aux partenaires d'avoir une maturité psychologique interne et une capacité de négociation. L'un des partenaires veut des enfants et l'autre non, l'un pense que les meilleures vacances sont les excursions, les voyages, la participation à divers événements, et l'autre pense que les meilleures vacances sont un minimum de mouvement, juste allongé sur la plage, etc. Des positions radicalement différentes et une réticence à faire des compromis peuvent grandement gâcher la paix et l'harmonie au sein du couple.
- 8. Manque de communauté.
Y a-t-il quelque chose qui unit les partenaires au-delà de leurs préoccupations habituelles ? Y a-t-il un sentiment de « nous » et pas seulement « moi » et « toi ».
- 9. Manque d'humour.
Avoir le sens de l'humour et la capacité de rire ensemble d'une situation commune, ou encore mieux d'une situation de revendication, est une excellente aide en termes de "nourriture positive" des relations.
- 10. Distance physique et psychologique.
C'est presque un point critique dans une relation, lorsque le toucher ou même l'odeur d'un partenaire devient désagréable, provoque des sentiments au bord du dégoût. Bien sûr, cela affecte négativement la relation intime du couple.
Bien évidement tout dépend de la situation individuelle de chacun. Mais même en analysant ces points, il est important de noter que la présence d'au moins 5 d'entre eux est déjà un signal alarmant. Plus les parties ci-dessus sont présentes dans la relation du couple et moins ils y attachent d'importance, plus la probabilité de maintenir cette relation diminue.
Je souhaite à votre union de la force et de la fiabilité afin que chacun se sente aimé et important au sein de votre couple et que chaque partenaire soit ouvert et partage généreusement son amour et sa compréhension avec l'autre.
Photos : Shutterstock
Les informations publiées sur Psychologue.net ne se substituent en aucun cas à la relation entre le patient et son psychologue. Psychologue.net ne fait l'apologie d'aucun traitement spécifique, produit commercial ou service.
Daria Surova Bénédite
Bibliographie.
C.DAVID « L'état amoureux », Petite bibliothèque Payot, 1971
Mira Kirshenbaum « Too Good to Leave, Too Bad to Stay: A Step by Step Guide to Help You Decide Whether to Stay in or Get Out of Your Relationship » (English Edition)
Mira Kirshenbaum « Our Love Is Too Good to Feel So Bad: Ten Prescriptions to Heal Your Relationshi » (English Edition)
Vivre à deux est une grande aventure, surtout quand chacun des partenaires du couple veut rester soi, maitre de son temps et de ses choix....surtout aussi quand les attentes inconscientes n'apparaissent que tardivement...pour elle, réparer une blessure narcissique ancienne, pour lui, assurer son sentiment de permanence menacé par des angoisses dévastatrices.....ce couple devient alors un lieu de réflexion et de progression....
Bonjour, Merci pour cet article qui beaucoup apporté. C'était clair et concis.
Merci beaucoup! Cela m'a Beaucoup aidé ! Meilleures salutations. Bonne journée
Article révisé
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Voyager en couple ? Du rêve au cauchemar : les 9 pièges
Le voyage en couple offre de nombreux avantages et bienfaits, tant pour le développement personnel de chaque conjoint qu’au niveau du couple. Véritable accélérateur relationnel, le voyage permet de faire un bond dans la maturité et l’intimité du couple… « quand tout se passe bien ».
Mais tout n’est pas toujours rose : des problèmes peuvent survenir sur les routes voire avant, lors des préparatifs .
Quels sont les risques, comment les gérer ? Voici les 9 pièges les plus communs et des conseils pour passer au travers.
Voyager en couple : les 9 difficultés
Le sentiment d’étouffement.
Une des premières craintes évoquées lorsque l’on parle de voyage en couple est cette proximité permanente :
Être 24 h/24 ensemble, ça doit être dur à vivre ! Tu n’as pas peur d’en avoir marre ?
Le plus grand changement pour le couple, entre une vie sédentaire et une vie nomade, est bien cette proximité constante. Mais dès les premières semaines, le rythme de la vie de couple en voyage est rapidement trouvé, chacun s’adaptant à cette nouvelle vie conjugale.
Les styles de voyage et les envies différents
L’un est plutôt citytrip, à marcher dans les rues à l’affut de musées, alors que l’autre est plutôt farniente sur la plage.
Ou encore, l’un aime profiter du voyage pour se lever sans réveil : dolce vita est son credo ; alors que l’autre préfère se lever aux aurores :
Je peux enfin faire ce dont j’ai envie, n’en perdons pas une goutte ! Se lever quand la moitié de la journée est passée : hors de question !
Les conjoints de styles et de rythmes de voyage différents vont avoir du mal à cohabiter dans les débuts du voyage. Ce genre de différend, s’il n’avait pas été révélé dans la vie sédentaire, apparait dès les premiers jours d’un voyage.
Partons déjà de ce goût partagé du voyage qui unit les deux conjoints : tous deux ont ce désir d’évasion, mais décliné sous des formes différentes. C’est déjà un premier point commun, qui ne va pas toujours de soi.
Pas de solution miracle dans ce cas-ci : l’écoute, l’expression franche, le respect de l’autre… et les compromis. Évoquer les besoins de chacun, cachés derrière ces envies, styles et rythmes différents, permet de cibler les priorités et de trouver des solutions à l’amiable.
La présence sociale versus l’attention au couple
Un des plus gros défis du voyage en couple est de trouver un juste équilibre entre vie conjugale et vie sociale. Gérer le fait d’être en couple dans une situation sociale ne va pas de soi, et l’importance de cette bonne gestion est d’autant plus présente en voyage : être « tout l’un pour l’autre » et la seconde d’après se voir ignoré par son conjoint au profit des nouveaux visages à rencontrer peut créer un ascenseur émotionnel déstabilisant.
De plus, l’un des conjoints (voire les deux) peut redouter l’isolement et le renfermement du couple sur lui-même. Ce risque est d’autant plus présent selon le type de voyage effectué, par exemple en road trip, car le couple est isolé dans un moyen de transport propre, sur des routes parfois désertes pendant des kilomètres.
Le plus important est d’être à l’écoute de ses besoins et au clair avec les besoins de l’autre : si vos besoins ne correspondent pas, pas de panique ! C’est tout à fait normal, le couple n’est ni une entité fusionnée ni un couple de robots bien ajustés.
Il est important de conscientiser et verbaliser ces besoins divergents et de métacommuniquer (communiquer sur votre communication, votre manière d’être en couple) : cela diminuera les tensions latentes. Un compromis et une solution sont ensuite d’autant plus facilement trouvables.
Soyez à l’écoute aussi de l’importance du moment pour l’autre. Par exemple, réaliser un de vos rêves de couple (ou de l’un des conjoints) est un moment fort dans un voyage, un souvenir qui restera gravé : le conjoint attend de l’autre une attention et une présence particulières. Si l’autre ne perçoit pas l’importance du moment, ce dernier risque de se sentir seul dans ce rêve réalisé, avec une amertume venant lui gâcher la beauté du moment.
La jalousie
Jalousie ne signifie pas forcément être jaloux d’une personne du même sexe : c’est plus vaste que cela. L’un peut être jaloux de toute personne qui viendrait faire interférence et prendre trop place pour l’autre. Mais si l’on parle de jalousie masculine/féminine stricto sensu, ce problème en voyage dépend avant tout de chaque conjoint et du fonctionnement du couple. Ce risque existe déjà dans la vie sédentaire et vous l’emportez avec vous en voyageant.
On a beau dire « Je ne suis pas jaloux/se », il y a toujours une limite à cette affirmation. Il n’existe pas de bon ou de mauvais positionnement : tout dépend du couple et de comment vous vous accordez sur les besoins et les limites de chacun.
Communication, confiance et patience sont sûrement les meilleurs conseils à appliquer ici.
Les disputes
Il viendra toujours un moment, souvent à la suite d’une accumulation de petites choses (des malaises non exprimés qui s’accumulent, la fatigue, l’inconfort…), où l’un des conjoints peut craquer et faire éclater une dispute.
La solidité d’un couple ne se mesure pas à sa manière d’être ensemble quand tout va bien, mais à sa façon de résoudre les problèmes. Donc, rassurez-vous, les disputes dans un couple, c’est normal ! Et que celui qui ne s’est jamais disputé en couple me jette la première pierre… (ou le premier commentaire !).
Ni parent ni enfant
Être en couple en voyage peut, pour certains, être la première expérience de vie commune, comme ce fut le cas fut pour moi. À cette nouvelle expérience de couple s’ajoute la découverte d’un pays étranger et d’une autre culture. Difficile de se créer des habitudes de couple dans un environnement en constant changement.
Face à l’inconnu, hors de sa zone de confort , l’Homme peut tenter de se rassurer en se raccrochant à du connu : que ce soit dans des habitudes quotidiennes ou dans des manières d’entrer en contact avec les autres. Ainsi, un des travers possibles est de tomber dans des schémas relationnels connus et de répéter des scénarios (inconscients).
Par exemple, l’un peut se sentir en insécurité et demander beaucoup de gestes de réassurance, ou peut se sentir responsable de l’autre, et éprouver le besoin de le couver jusqu’à contrôler le moindre de ses faits et gestes. Telle une bouée à laquelle se raccrocher, il deviendra ce parent autoritaire ou parent-poule… Le plus souvent sans même se rendre compte de rien.
Il y a fort à parier que le conjoint ne tolèrera pas longtemps ce revirement de positionnement dans le couple ! La dispute qui émergera aura un effet sain, de signal d’alarme. Elle fera émerger le problème au grand jour : à vous d’en tirer le meilleur, c’est-à-dire une bonne remise en question !
Les silences
Être ensemble sans arrêt… Au bout d’un moment, on n’aura plus rien à se dire ! Qu’est-ce qu’on fera alors ?
Rien à se dire ? Et alors ? Ne peut-on pas faire une pause dans la discussion, et se laisser le temps de penser, de ressentir l’ambiance… et de vivre, tout simplement !
Le silence peut faire peur, mais il fait partie de la dynamique de groupe et, a fortiori, de couple. Se taire et être ensemble peut procurer un profond sentiment de plénitude, propice à la méditation, et même d’intimité.
La métamorphose crapaud
Le conjoint idéal dans la vie quotidienne peut se dévoiler sous un nouveau jour en voyage : le prince charmant ne se révèle pas si charmant que cela, ou la princesse joue la Belle au bois dormant et ne se lève pas de la journée…
Le voyage, accélérateur relationnel, permet de connaître votre conjoint plus en profondeur et plus rapidement qu’en plusieurs années de vie sédentaire. Certains traits de sa personnalité, qui n’auraient peut-être été visibles que des années plus tard, apparaissent au grand jour.
Voilà pourquoi il est primordial d’échanger au préalable sur ses attentes respectives pour ce projet de voyage, ses doutes et questionnements, et de bien connaître et de bien choisir la personne qui vous accompagne !
L’investissement différent
Et je termine avec cette question sensible, que l’on m’a déjà posée plusieurs fois :
Que faire si les deux conjoints s’investissent différemment dans le projet de voyage ? Comment préparer et voyager ensemble, quand l’un est la locomotive et l’autre le boulet ?
Ce sujet est sans doute le plus épineux de tous, et je suis mal placée pour y répondre, car j’ai la chance d’avoir un conjoint tout aussi passionné de voyage que moi.
Mais si deux conjoints ne partagent pas ce goût, je pense que de grands projets de voyage ensemble (voyage au long cours) sont difficiles à mettre en place et à vivre.
La « locomotive » perdra son élan et doutera parfois sur les routes, ou simplement aura envie de partager son enthousiasme et ne trouvera pas d’écho à ses émotions auprès de son conjoint. Et le « boulet » aura l’impression de faire sans arrêt des efforts en suivant sa locomotive aux quatre coins du monde, attendant enfin le moment de reposer les sacs et ressortir les pantoufles.
Un voyageur averti en vaut deux !
Être conscients des risques et difficultés potentiels n’empêche pas de savourer les bons côtés du voyage en couple, au contraire ! Ainsi prévenu, le voyageur en couple peut éviter certains pièges et en dédramatiser d’autres. À mes yeux, il n’existe pas de rivalité entre les différents modes de voyage et donc voyager seul n’est pas mieux que le voyage en couple .
Passer au travers de tout cela, c’est ressortir plus fort, personnellement, mais aussi au niveau de son couple. Car le voyage en couple est plein d’avantages et de vertus pour ceux qui savent les saisir !
- L’encyclopédie du voyage en couple : la valse à 3 temps
- Disputes en couple : comment les gérer ?
- Les 12 avantages du voyage en couple
- Les amours de voyage
55 réponses à “Voyager en couple ? Du rêve au cauchemar : les 9 pièges”
MisterMilonguero et moi nous apprêtons à partir en week-end ensemble pour la 1ère fois… je n’ai plus qu’à croiser les doigts pour que ça se passe bien…
De toute façon si ça ne va pas, maintenant t’es briefée ! 😀
Je rigole, mais je suis sûr que tout ira bien 😉
Première expérience ? Avec ce que tu as déjà voyagé, cela aidera sûrement ^^ Tout dépend évidement aussi si MrMilonguero partage ton goût du voyage, ce que je te souhaite de tout coeur : c’est la situation idéale ! 😉 Bon voyage en couple alors, impatiente de lire ton retour à ce sujet 😉
Ce n’était définitivement pas le grand amour avec mon collègue de route sur les trois premiers mois lol.
Tout aussi définitivement, j’aurais appelé ce blog « Deux sacs sur le dos » 🙂
A quand l’Ebook sur le sujet pour offrir aux abonnés à la newsletter ?
Nan mais c’est super lourd d’avoir 2 sacs sur le dos 😉
Salut Bertrand, pour l’e-book, c’est sur ma liste « idées à creuser » (le problème, c’est qu’il y en a trop, des idées !) – faut que je prenne le temps de penser à tout ça ! ^^
Je vois que tu as eu une expérience de voyage « en couple » d’amis qui t’a laissé un bon souvenir 😉
Effectivement ce n’est pas toujours évident de partir à deux, gérer avec les caractères et les envies de deux personnes. Concessions oui mais attention à ne pas avoir de regrets ! Je n’ai pas encore beaucoup d’expériences à ce sujet mais je sais que c’est une de mes craintes si un jour ça se présente à moi.
Salut Julie, comme tu le soulignes très justement, des concessions … mais pas trop !
Le risque en allant trop loin, en rajoutant trop d’eau dans son vin … c’est de perdre tout le goût du voyage ! Et boire un breuvage fade en pestant en pensant à ce grand cru à côté duquel on passe, ce n’est pas une solution viable à long terme pour le couple (ni à même à moyen terme je pense).
D’où mon développement en plusieurs points, le premier étant, assez égoïstement, d’être au clair avec ce que l’on désire – indispensable pour pouvoir l’obtenir 😉 – puis seulement voir si ça colle avec les désirs de sa moitié et à défaut, trouver une solution – le compromis étant une des possibilités.
Salut Amandine,
De notre côté, pas d’orage à l’horizon même si je suis un lève tôt couche tôt et Fabienne une lève tard couche tard ;-)… Du coup ça nous donne du temps à chacun pour faire nos petits trucs persos… Je suis aussi plutôt axé sport-rando et Fabienne plage-ballades… Mais comme toujours, le secret c’est de parler, parler et encore parler et de faire des compromis… Le pire qu’il puisse arriver c’est de laisser un malaise se développer sans en parler! là c’est le clash à coup sûr
Salut Benoît, Tout comme on apprend pas à un vieux singe à faire la grimace, ce n’est pas à un couple de voyageurs chevronné que je vais expliquer comment trouver un bon équilibre et gérer les difficultés de couple en voyage 😉
Comme tu le dis, le pire, c’est de garder des tensions latentes, qui insidieusement vont prendre de l’ampleur et saper l’ambiance du voyage : communiquer est une des clés principales. J’en reparlerai avec un prochain article dédié aux disputes de couple en voyage.
Je me retrouve bien dans cet article car un peu malgré moi, il y a deja plus de deux ans et demi, je me suis retrouvée a voyager en couple sans même avoir eu le temps d’y penser. Le fait de se rencontrer en voyage a accéléré les choses, et quand mon Californien s’est « invité » pour continuer la route avec moi, j’avoue que j’ai un peu flippé ! Je lui ai dit ok, mais qu’il y aura surement des moments, ou des jours, ou j’aurais besoin d’être seule. En fait il n’y en a jamais eu 😉
Je suis d’accord avec Benoit, le secret c’est vraiment de PARLER ! Puis ensuite d’accepter que même si on est un couple, on est avant tout deux individus séparés, et que le but n’est pas de se fondre l’un dans l’autre mais bien de s’aider mutuellement a s’épanouir. En tout cas, c’est comme ca que j’envisage le couple, que ca soit en voyage ou dans la vie quotidienne !
Contente que cet article ait pu te sembler familier – j’ai pas mal travailler à discuter avec d’autres voyageurs en couple de mon entourage afin d’avoir des retours et ne pas me limiter à ma seule expérience et ma perception personnelle du sujet.
Passer d’un voyage en solo à un voyage en couple sur la route, tu n’es apparemment pas la seule à l’avoir vécu (je pense par exemple à Alizée et Max de Détour Local). Cela change évidemment toute la philosophie du projet et demande des adaptations mutuelles … et beaucoup de communication ! 😉 Tu me rejoins en disant qu’un couple n’est pas une entité fusionnée (que ce soit en voyage et dans la vie sédentaire) : nous ne sommes pas des robots bien synchro ou un être unique – chacun ses besoins, ses envies, ses perceptions …
Cela fait déjà si longtemps que ça avec ton Californien ? Félicitation 😉 Chaque jour est une nouvelle aventure pour le couple, et je trouve que cela est d’autant plus vrai dans une vie nomade, faite de changement et d’adaptations en continu. Bonne suite en tout cas à toi & au Californien ^^
De bonnes idées et suggestions! Il est vrai que savoir faire des concessions est essentiel, je pense que si chacune des deux parties fait un pas vers l’autre c’est déjà u bon départ! Parci et moi, on avait pas du tout la même conception du voyage au départ, mais finalement, en faisant des efforts pour apprendre a mieux se connaitre et pour partager de bons moments, on a fait des concessions et découverts de nouvelles façons de voyager! Et ça n’a fait que renforcer notre couple!
Merci Maé pour ton retour positif ^^ C’est un article qui a énormément de succès, je m’en étonne moi-même : le nombre de visites à plus que triplé en quelques jours !
C’est un grand avantage d’avoir le même goût et une conception commune du voyage. Le voyage permet d’apprendre à mieux se connaître, indubitablement, surtout dans les premiers mois. Comme je le dis, c’est un accélérateur relationnel : un peu moins catégorique que le fameux « ça passe ou ça casse », le voyage permet d’atteindre une situation avec plusieurs mois voire années d’avance (dans la connaissance de soi et de l’autre ainsi que dans le fonctionnement du couple … voire le maintien ou la séparation du couple). Contente que dans votre cas, ça ait pu vous rapprocher et renforcer vos liens et votre histoire commune ^^
Un bon billet que je vais considérer pour mon prochain et deuxième escapade en amoureux ce printemps! Je suis souvent hantée à l’idée de devenir un tue-l’amour, surtout durant les vacances (on était de bons potes avant de se mettre en couple depuis 2 ans). On a effectivement eu quelques appréhensions lors de notre premier weekend, dont tu citais déjà les points. A savoir le silence… j’avoue qu’on a eu beaucoup de blancs (de loooongs blancs), je n’aime pas parler pour rien dire et lui non plus, il a du mal à faire semblant, mais au final, il y en a a toujours un de nous deux qui fait le mariole pour détendre un peu l’atmosphère 😉
Merci Teaso pour le compliment et bienvenue sur Un sac sur le dos ! 😉
Les premières étapes de la vie d’un couple sont parfois hésitantes, à la recherche de repères et d’habitudes de fonctionnement. Les premiers voyages peuvent rentrer dans ce cas. Ma situation est particulière, car notre premier voyage en couple, si l’on peut dire, c’est François qui m’a rejoint pour deux semaines au Canada, où je passais un stage de 6 mois. J’étais en terrain connu, dans mon appartement, dans un quartier et une région où j’avais milles choses à lui faire découvrir. Et j’étais tellement contente de le revoir que nous n’avons pas beaucoup eu le temps de nous taire !
Je n’ai jamais redouté le silence, pas plus en tout cas que dans la vie sédentaire, où nous avons l’habitude de nous promener parfois pendant des heures. Marcher permet de parler énormément, avec une aisance étonnante, mais cela permet aussi de se taire et de profiter ensemble du paysage. C’est sans doute une bonne préparation au voyage en couple 😉
Faire le mariole peut en effet être une bonne manière de détendre l’atmosphère – tout dépend après des causes de la tension et des besoins de chacun derrière. François est plus le spécialiste à ce niveau-là chez nous ! 😉 Je pense que la capacité à être ensemble dans le silence, et à être serein, en paix ou en harmonie ensemble, cela s’apprend. Des silences gênés des premiers rendez-vous, l’on arrive à un silence complice, où l’on sait parfois ce que pense l’autre, ou simplement, on savoure notre chance d’être heureux ensemble. Les plus grands moments de « complitudes », je les ai passé dans un silence complice, les yeux suffisant à transmettre mon bonheur du moment.
Ahah ! Ca peut aussi faire de ta moitié ton meilleur ami !! 🙂
Merci pour ton commentaire Marie et bienvenue ^^ Je découvre ton blog par la même occasion, très sympa 😉
Je vois que tu pratiques également le voyage en couple ; effectivement, le voyage permet d’apprendre à se connaître l’un l’autre et devenir super proches, ou « meilleurs amis ».
Salut Amandine et François, content de vous lire sur un nouvel article psy, je venais chercher ma dose de baume de voyage au chœur:)
Finalement le couple, en voyage ou sédentaire, c’est un peu la même affaire. Comme tu dis amandine, la route est un catalyseur (un peu comme la colloc’). Mais c’est aussi une des plus saines façons de pimenter son quotidien, de rompre avec la routine. Comme à la maison, c’est pas parce qu’on est installé dans son couple qu’il faut laisser tomber la séduction en voyage. Une petite attention impromptue de temps en temps ça fait du bien:)
Le sexe aussi, un peu discret dans ces lignes, est une activité de santé imparable, un soin réciproque du corps comme du moral, et un excellent exutoire. Après une longue ballade dans les rues sans nuit de Pattaya, il convient parfois de se rappeler, qu’il est somme toute agréable de visiter la Thaïlande en couple.
Avec, une attention accordée quand même à la conception et son contraire, parce qu’avec des gosses après, c’est fini les silences à deux. Le couple est un sujet que l’on retrouve pas mal dans vos publications… à quand un comment voyager avec des mioches ?
Salut Sirhom,
Beaucoup de difficultés de voyage en couple se retrouvent dans la vie sédentaire, et vis versa.
Le voyage est aussi « bon pour le couple » : sortir de la routine permet de pimenter la vie de couple, avec aussi un côté aphrodisiaque. Je n’ai pas parlé explicitement de l’importance du sexe dans les relations de couple, c’est vrai. Pourtant il a son importance, que ce soit dans la vie nomade comme dans la vie sédentaire. Mais ton commentaire vient compléter l’article 😉
« A quand un voyage avec « un enfant sur le dos » ? » 😉 … heu, quand on aura décider de mettre ça au programme ! 😉 Honnêtement, ce n’est pas dans nos prochains plans. Je sais que les enfants, ça change la vie (avec tout ce que ça peut comporter comme positif et négatif). Donc on se laisse le temps d’aviser. Mais c’est toujours avec plaisir que je lis des témoignages de familles voyageant (ou s’expatriant 😉 ) avec enfants : c’est rassurant de voir que voyager est toujours bien possible !
Et bien comme Sirhom l’a dit réussir un long voyage en couple, peut amener à voyager avec des mioches par la suite. Nous avons voyagé à 2 avec tous les inconvénients qu’il peut y avoir permet de se « tester » mutuellement et de voir comment chacun réagit dans des situations un peu périlleuse au bout du monde. Testé et approuvé et quelques années après , 2 enfants voyageurs qui nous suivent dans tous nos voyages. Donc ca vaut le coup de tester un voyage à 2!
Bonjour Sandrine, bienvenue et merci pour ton commentaire 🙂 Je découvre votre site avec plaisir : je vous suit sur les réseaux sociaux pour ne pas en perdre une miette ! 😉
Voyager en couple peut aussi être pris pour ce qu’il est , « tout simplement », et/ou devenir une étape d’un futur projet : voyager avec des enfants. Sûr qu’une première expérience de voyage en couple est une base importante pour construire un projet pareil.
En tout cas, félicitation pour votre beau parcours et vos aventures au quotidien avec deux enfants sur les routes ! 😉
Super article. Merci, cela m’aurait drôlement servi il y a 20 ans ! Je m’arrêtais toutes les 2 minutes pour prendre des photos, et ma dulcinée commençait à en avoir assez. Heureusement nous avions tous les 2 le gout de l’aventure, mai je vois maintenant combien elle a été patiente.
Au fait votre CommentLuv ne marche pas : Error. Parsing JSON Request failed. error! not authorized d99e6348a3
Merci Benoît pour ton retour, contente d’avoir l’approbation de voyageurs plus expérimentés, et de savoir dans un même temps que cela peut être utile à de jeunes voyageurs qui expérimentent le voyage en couple 😉 Partager la passion du voyage est déjà une première force et une grande richesse pour le couple !
Après, mois aussi j’ai tendance à prendre mon temps pour photographier, étudier les pierres … là où mon conjoint sera plus rapide et fera parfois des allers-retours pour voir « où est-ce que je suis encore passée » 😉 Mais bien communiquer sur ces besoins, envies … permet de relâcher la pression : « J’ai envie de profiter de ce temple/ j’ai envie de prendre ces photos … Veux-tu … avec moi ? ; Ou tu ne partages pas cette envie, pas de soucis : on se retrouve dans X à tel endroit … ». Tout est possible, du moment qu’on en parle 😉
Oui, la communication et pouvoir / savoir exprimer ses besoins sont primordiales (comme dans ton exemple). Ce que j’ai découvert pendant 25 ans de mariage, c’est combien on projette inconsciemment sur l’autre. D’où l’importance de mieux se connaitre soi-même, de s’accepter afin que l’on puisse mieux accepter les autres. S’en suit une paix interne qui est inébranlable pendant les moments de crises.
Je n’ai évidemment pas ton recul et tes grandes années d’expériences de vie de couple; et j’apprécie d’autant plus ton retour, voir que nous sommes sur la même longueur d’onde à quelque chose de rassurant.
Maintenant, bien vivre sa vie de couple (et sa vie tout court d’ailleurs) repose sur des principes évidents … même enfantins. Peut-être les perdons-nous parfois de vue, derrière une impression de complexité de la vie. Hors parfois il faut revenir aux essentiels. Mon conjoiny me répète souvent : « Le bonheur, c’est un choix, un état d’esprit qu’on décide d’adopter » . En un sens, je sais qu’il a raison. De la même manière, s’écouter et bien communiquer, c’est la base d’une vie de couple : cela semble si simple (en théorie en tout cas), mais comme tu le dis, cela permet de mieux se connaître soi-même et l’autre, d’arriver à certaine sérénité, bien utile dans les moments de crise, je confirme ! 😉
Ouais, voyager en couple, ou même en ami c’est pas toujours facile je pense. Je n’ai pas l’expérience de voyage en couple (pas encore) sur le long terme, mais j’avais fait les 6 premiers mois de mon tour du monde avec un pote et j’avoue que c’était pas toujours facile. On ne fonctionnait pas du tout sur le même rythme et on avait des envies opposées. Bon on faisait des compromis, mais à la longue c’est quand même très usant, pour n’importe qui je pense.
Je parle beaucoup du voyage en couple, mais c’est vrai que beaucoup de ces remarques, potentiels problèmes et conseils sont souvent valables pour un voyage entre amis également.
Voyager avec quelqu’un, cela implique être deux personnes, avec leur personnalité, leurs envies, leurs moments de faiblesse et de coup de gueule, leurs qualités et leurs défauts … bref, être deux, c’est une autre expérience de voyage !
Là je dépeins un tableau sombre, pour nuancer le côté « bisounours » tout rose des retours de voyage, les étoiles dans les yeux. Oui, voyager à plusieurs, et surtout en couple, ça peut être génial … mais pas que ! 😉
Avec un minimum de préparation, l’esprit clair et une bonne communication, on peut arriver à déjouer pas mal des risques -> j’ai développé ces sujets dans les préparatifs d’un voyage en couple et les conseils sur comment voyager en couple une fois sur les routes.
Très bon article. Il est vrai que ce n’est pas toujours facile de voyager en couple, et ça peut se comprendre, on a pas toujours les mêmes envie de voyages et il faut faire attention à ne pas s’étouffer comme tu le dis. Je suis pour l’alternance des voyages entre amis, famille et couple. Cela coupe de la routine et les voyages y sont souvent totalement différents en fonction des personnes avec lesquelles on voyage.
Merci pour ton commentaire et ton retour positif sur l’article. Comme je le disais, c’est un article qui m’a demandé particulièrement beaucoup de travail, de recherche et de réflexion, alors cela fait plaisir quand son travail est lu et apprécié ^^
Varier les voyages sous toutes ses formes est plus dynamisant et permet d’éviter la routine en voyage ; la variété peut se trouver dans le style du voyage (rando – sac à dos, hôtel – plage …), les destinations, la durée, le climat … et dans le mode de voyage solo-accompagné-en couple/entre amis … Les possibilités sont infinies ! A soi de voir ce qui nous fait envie 😉
Voyager à deux, c’est toujours un potentiel problème. Personnellement, c’est surtout dans la gestion du budget que ça clash. Mais il faut tempérer en disant que « les choses ne valent la peine que si elles sont vécues à deux » ( Christopher McCandless) et plus on fait de choses ensembles, plus le couple devient fort : chacun fini par détenir 50% de la vie de l’autre. C’est aussi vrai dans l’autre sens, quand on se sépare, on perd la moitié de sa vie. Mais ça, il faut pas y penser !
Salut Nina et Fred, merci pour votre commentaire et bienvenue ici ^^
Un problème dans la gestion du budget pour voyager à deux ? Pourtant, proportionnellement, c’est plus avantageux sur le plan économique de voyager à deux ! Ou alors un problème dans la gestion commune du budget ? (se mettre d’accord sur les dépenses) Effectivement, voyager ensemble implique de prendre des décisions ensemble, entre autre sur le budget : et on a pas toujours les mêmes priorités ! L’un voudra s’arrêter dans toutes les pâtisseries et l’autres dans les boutiques de souvenirs ou de bijoux (je vous laisse deviner la répartition des rôles ici ^^). Mais au final, on trouve un équilibre, laissant la folie de chacun s’exprimer et se contrôler par soi-même : rien n’est pire que de sentir sa liberté restreinte par l’autre ! On est assez grand pour pouvoir faire des choix et assumer les conséquences : on se rend compte facilement qu’il n’est pas judicieux d’acheter trop de souvenirs (ça ne rentre pas dans le sac, ça pèse trop lourd, ça épuise le budget …) … bref, je préfère milles fois me permettre une folie de temps à autre et pouvoir me dire de moi-même « soyons raisonnable » plutôt que d’avoir en face de moi quelqu’un qui tenterait de s’opposer à mes dépenses de façon « autoritaire ». Après, tout dépend du caractère de chacun et du fonctionnement du couple. Je ne sais pas si je réponds à ton point avec tout ça ^^ ? …
Je découvre votre site et vos photos de mariage par la même occasion : très beau travail 🙂
Salut Amandine, oui tu réponds parfaitement à ma remarque ! Le budget est vraiment source de conflit en voyage pour ma part, mais c’est difficile d’être celui qui dit toujours « non ».
Merci pour ton commentaire sur nos photos, ça nous fait particulièrement plaisir!
Super cet article ! Et je vois que je ne suis pas la seule à l’avoir aimé 😉 Il m’a beaucoup fait rire 🙂 Pour ma part, je voyage de temps en temps en couple et tout s’est toujours bien passé. Mais, c’est vrai qu’il faut faire des compromis quand on est à 2. Pas le choix ! Caro
Un grand merci Caro pour ton commentaire 🙂 Voyager à deux, c’est beaucoup de bonheur … et quelques prises de tête parfois ! 😉 Autant le savoir, anticiper et avoir les bonnes attitudes pour réagir dans les moments délicats !
Tres marrant votre post, je me suis un peu reconnu!
Salut Romain, ravie que l’article t’ai amusé et surtout que tu t’y sois reconnu. J’ai beaucoup bossé sur ce projet, pour essayer de m’appuyer sur mon expérience, mais aussi celle d’autres voyageurs en couple, pour répondre à un public le plus large possible (difficile de faire des généralités de son propre cas sinon !). Donc merci pour ton retour qui me conforte dans mon travail 😉
C’est un sujet déjà abordé à de nombreuses reprises sur le web (mon tour viendra), et malgré cela, tu arrives à proposer une lecture enrichissante et nouvelle. Le voyage peut en effet être compliqué, surtout si les deux personnes sont très différentes et aiment des activités que l’autre n’apprécie pas forcément.
C’est une situation assez délicate à gérer. Comment réussir à faire ce que l’on a envie sans laisser de coté l’autre ? Et comment faire si on a envie de partager ces choses avec l’autre ? C’est très dur à gérer. Des couples avec des personnes très différentes, dans le quotidien ça peut être très positif mais dans un voyage avec beaucoup de temps libre, et l’objectif de faire en fonction de ses envies, ça peut générer pas mal de disputes.
Salut Chris, merci pour ton commentaire. C’est effectivement un sujet (le voyage en couple) déjà traité, mais j’essaye de l’envisager toujours sous de nouveaux angles, un avis bien construit et documenté … Bref, de ne pas réécrire ce qui pourrait exister par ailleurs (maix c’est un challenge permanent pour tout blogueur !).
Voyager en couple avec deux personnes très différentes … oui, c’est un challenge, après tout dépend où ce situent ces différences. Par exemple François et moi sommes très différents, mais aussi très complémentaires, et heureusement nous nous retrouvons sur beaucoup de point, entre autre dans notre amour du voyage et le style de voyage également. Mais pas dans la préparation des voyages apr exemples. Donc je regarde de mon côté et nous imprivisons sur place en fonction des infos que j’aurai déjà pu recueillir. Je lui mâche un peu le travail, mais ce travail me plait, donc ça vaa 😉 Chacun y trouve son compte !
Très drôle, cet article ! Heureusement, quelquefois, le voyage en couple, ça fonctionne si bien qu’on a fini par créer notre propre agence de voyages. Et là se pose une autre question : pire que le voyage en couple, le travail en couple ? 🙂
Bonjour Sabine, merci pour ton commentaire et bienvenue ^^ Contente que cet article t’ait plu 😉 Oui, bien sûr, le voyage en couple ce n’est pas que des pièges et des difficultés, loin de là et heureusement d’ailleurs ! 😉
Très chouette votre histoire, d’un couple voyageur qui finit par monter une agence de voyage. Merci pour ce beau témoignage, qui me permet de découvrir votre site 😉 Je garde ça bien de côté, car découvrir la Mongolie à cheval est un de mes rêves ! Je vous rencontacterai sûrement par la suite ! 😉
Tout est dit, nous nous retrouvons beaucoup dans tous les points mentionnés. Nous avons passé ce cap et maintenant nous sommes trois à voyager et d’autres critères sont à prendre en compte.
Bon vent à vous
Salut AB&C, merci pour le commentaire et ravie que vous vous retrouviez dans cet article ^^
Voyager à 3 est encore une autre aventure, c’est toujours très intéressant d’avoir des retours d’expérience de ce genre 😉
Bon vent également et beaux voyages !
Je n’ai pas encore étranglé Thibault mais ça ne saurait tarder !!!!!
Nous sommes habitués à voyager ensemble et on se dispute au moins 1 ou 2 fois à chaque voyage pour des trucs bidons, je boude, ça dure 2 minutes puis on se RE-AIME.
Je n’envisage pas une seule seconde voyager sans lui !
Salut Capucine, ton commentaire m’a fait bien rire ! 😉
On peut se disputer … tout en continuant à s’aimer 😉 Le plus dur c’est de ne pas généraliser et ne pas (trop) se laisser emporter ^^ Toujours plus facile à dire qu’à faire ; mais le plus important c’est d’en sortir à chaque fois au finale ^^
Beaux voyages à vous deux, au plaisir de suivre vos aventures de voyage en couple !
Très bon article ! Nous voyageons en couple depuis 2009, et même si parfois on peut ne pas être d’accord sur certaines choses, il est parfois bon de pouvoir se soutenir mutuellement, surtout quand on est en galère! Alors bien évidemment il y à toujours de petites disputes pour des bricoles, mais c’est pour mieux repartir juste après… ^^ Et on ne se voit pas voyager l’un sans l’autre.
Salut Pixels du bout du monde ! Merci pour le commentaire et le retour positif sur l’article ; c’est toujours un plaisir d’avoir des retours, particulièrement de voyageurs en couple.
Les disputes font parties de toute relation humaine (je pense) : inévitable, et absolument pas dramatiques au final (si c’est bien géré !).
Bons voyages à vous deux !
C’est vrai que c’est bien plus difficile de voyager en couple amoureux qu’avec un(e) ami(e) ! Mais c’est tellement enrichissant. On apprend à bien connaitre l’autre face à l’inconnu, aux coups durs. On voit son courage, son esprit d’initiative, ses réactions, son adaptation… Bref, le voyage est un accélérateur de vie. Un vrai test du couple.
Bonjour Lenaïc, merci pour ton commentaire. Plus difficile de voyager en couple d’amoureux qu’entre amis ? Pas si sûre … J’ai déjà fait les deux et voyager avec François est souvent plus naturel et facile qu’avec des amis, on est plus souvent sur la même longueur d’onde, on se connait bien et on se comprend mieux. Question d’expérience je suppose.
Je vois que tu me rejoins sur le côté « accélérateur relationnel » et découverte de l’autre. C’est sûr que j’ai découvert certains aspects inconnus (ou méconnus) chez mon conjoint … tout comme chez moi ! Je n’aime pas beaucoup considérer le voyage en couple comme un test, car je trouve que cela apporte une vision « négative » sur les issues possibles du voyage, alors que généralement, tout se termine bien à la fin ! 🙂
Il y a vraiment des commentaires sympathiques et drôles concernant cet article. Je pense que voyager en couple peut être une bonne thérapie pour découvrir un pays mais aussi son conjoint surtout au travers d’un voyage non organisé ou il y a toujours des moments difficiles à passer.
Merci Franck pour ton message. Effectivement, vu le nombre de réponses que le sujet à suscité, il y a autant à lire dans l’article que dans les commentaires ! 😉
Si voyager en couple est considéré comme une thérapie … cela peut signifier qu’il y a un problème déjà à la base, et que le voyage pourrait le résoudre …
Je considère plutôt le voyage comme une opportunité de sortir de ses habitudes, casser la routine et faire de nouvelles expériences … Et cela, sans avoir un but direct de tester son couple, aura plusieurs conséquences, dont un impact sur le couple et la vision de soi/son conjoint/son couple …
Le voyage est à l’image de la vie : avec de bons moments, et d’autres plus difficiles. C’est en cela que j’aime le considérer comme un « accélérateur relationnel » : le voyage permet de vivre certaines choses que l’on aurait peut-être vécues par la suite, et condense ainsi des expériences que l’on aurait traversées en 5 ou 10 ans sur quelques mois !
Grâce à nos échanges sur twitter (photo maisons colorées), j’ai découvert ce blog !
Merci, cet article m’a fait sourire. J’ai pensé à tous mes voyages en couple.
J’ai l’impression que c’est plus au moins comme la vie sous le même toit ou une relation à distance (j’ai testé les deux avec mon copain), on y voit bien la stabilité du couple et la possibilité de faire durer la relation..
Tout est dit dans votre article : l’essentiel est d’écouter et s’écouter !
Merci Francesca pour ton commentaire. Ravie de te lire ici !
Ton retour me fait très plaisir : c’est intéressant de savoir quand des voyageurs se retrouvent (ou non) dans certains de mes articles.
Les amours en voyage est un sujet parfois sensible : relation longue distance, rencontres à l’étranger, couple mixte… Si cela t’intéresse, j’ai écrit un article, partageant des expériences de voyageurs : « Les amours de voyages ».
Et si le thème du couple t’intéresse, j’ai beaucoup écrit sur le sujet, car je le trouve souvent peu présenté (et exploité de manière superficielle). N’hésite pas à jeter un oeil à la rubrique « Voyage et Couple ».
Je voyage en couple depuis 10 mois maintenant et pour rien au monde je changerai ça. Dans l’ensemble, nous sommes toujours sur la même longueur d’onde mais parfois la crise pointe le bout de son nez. Dans ce cas là, on parle, rien de mieux pour dissiper les malentendus 😀 Je crois que c’est ce qui fait que ça tient sur le long terme. Nous faisons beaucoup de volontariat qui nous permet de faire chacun une activité différente sur de longue période. En tout cas, super article qui montre aussi que tout n’est pas rose tout le temps. Les voyagent au long court ne sont pas juste des vacances
Merci Aline pour ton message et ton partage d’expérience. 10 de voyages en couple ? Génial ! François et moi sommes ensemble depuis maintenant plus de 9 ans, et notre relation s’est articulée dès le départ autour du voyage, renforçant nos liens et construisant les bases de notre intimité.
Pas de recette miracle pour faire durer les couples sur le long terme, seulement le bon sens : communiquer, ne pas tomber dans certains travers relationnels qui figent dans des rôles qui nous enferment, être honnête avec soi même comme avec l’autre, trouver un juste équilibre… et continuer à bâtir cette relation au jour le jour, car rien ni personne n’est jamais acquis dans la vie. C’est un travail d’équipe ! 😉
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Pourquoi voyager seul et comment profiter à fond de vacances en solo ?
Il m'arrive régulièrement de voyager seule . Une décision qui suscite parfois l'incrédulité. Voyager seul, n'est-ce pas un peu risqué (surtout quand on est une fille) ? Comment profiter de ses vacances en solo sans avoir quelqu'un avec qui échanger ? Et pourquoi partir seul ? Après tout, ce n'est pas difficile de motiver des gens pour de sympathiques destinations de voyage, non ?
Ce sont des remarques que j'ai déjà entendues… alors aujourd'hui, j'ai envie de vous parler du voyage solo , avec quelques conseils au passage pour en faire un moment magique !
Pourquoi voyager seul ?
Il existe une foule de raisons de partir seul en vacances et au fil de mes voyages, j'ai croisé bon nombre de voyageurs solo qui avaient tous leur propre histoire !
Voyager seul parce que personne n'est disponible - Vous avez posé des jours de congés (ou on vous les a imposés)... mais personne de votre entourage ne peut partir en même temps que vous. Faut-il se priver de voyager ou se dire au contraire qu'on va profiter à fond de ce moment pour se concocter un programme en phase avec ses goûts ?
Vos amis ne voyagent pas comme vous - La recherche du bon compagnon de voyage n'est pas toujours évidente et parfois, vos amis n'ont tout simplement pas la même façon de voyager que vous. C'est mon cas ! J'ai autour de moi des amateurs de vacances "plage-piscine-plage-piscine", des fêtards invétérés, des adeptes d'hôtels-clubs… ce qui n'est pas mon style de vacances.
Partir seul est parfois préférable au fait de partir avec des personnes qui n'ont pas la même vision des vacances et avec qui le séjour peut devenir une source de tensions ou de frustration.
Voyager seul pour vivre ses vacances autrement - Le voyage solo n'est pas forcément un voyage "par défaut", il peut être un véritable choix. Parce qu'il permet d'aller plus facilement à la rencontre des locaux, de se concocter un itinéraire qui vous immerge à 800% dans la destination (et qui correspond à 800% à vos goûts !), de partir à l'aventure, parce qu'il offre une flexibilité inouïe (que ce soit dans le choix de la destination, le budget dépensé, le programme du séjour)... le voyage solo peut être une décision parfaitement assumée !
Partir seul pour penser à soi - Partir en vacances tout seul, c'est aussi se confronter à soi-même. Trouver ce qui vous fait vibrer mais aussi prendre sur vous pour dépasser certaines peurs, quelles qu'elles soient (peur de la barrière de la langue, peur des arnaques et des problèmes de sécurité, peur de se perdre…). La solitude est une belle opportunité d'apprendre sur soi et ça rend l'expérience très puissante, notamment quand on cherche à gagner en confiance en soi.
Comment partir seul sans inquiétude ?
Un voyage en solo vous offre l'opportunité unique d'avoir devant vous une feuille blanche, sur laquelle vous pouvez composer l'itinéraire de vos rêves !
Trouver la destination idéale
Il y a sûrement des endroits que vous rêvez de visiter. Et peut-être des endroits que vous ne connaissez pas encore et qui vont éveiller votre curiosité. Certains attendent d'avoir "trouvé la bonne personne" pour effectuer ces voyages : et si vous partiez tout seul, maintenant ?
Je crois qu' on ne vit pas un voyage solo de la même manière qu'un voyage à deux ou à plusieurs. Le regard n'est pas le même et souvent, on ne fait pas tout à fait les mêmes activités. Et puis, dites-vous que si l'endroit est réellement fantastique, vous aurez envie d'y retourner avec les gens que vous aimez… et vous vivrez l'expérience différemment !
C'est le moment de laisser parler ses envies… et pour ce faire, direction Où et Quand Partir pour trouver sa prochaine destination ! Sur ce site, vous pouvez entrer les critères de votre voyage idéal : la région du monde (ou la France) qui vous attire, le climat que vous aimeriez avoir, votre budget, le décalage horaire ou encore la durée du vol…
Où et Quand Partir vous propose une liste de destinations en fonction de vos critères , avec une foule d'infos pour se faire une première idée du lieu.
C'est un bon moyen d'affiner son choix et surtout, d'éviter les "erreurs de saison" : quand on voyage seul, on n'a pas le regard d'un deuxième "compagnon de route" qui vous posera les bonnes questions. "Euh… mais ce n'est pas la saison des moussons/des cyclones à cette période ?" "Ah j'ai entendu dire qu'il y avait plein de moustiques là-bas en juin !"
Un peu d'organisation pour voyager dans de bonnes conditions
Evidemment, chacun voyage comme il veut… mais quand on part tout seul, on ne peut compter que sur soi-même donc il est parfois utile de prévoir un minimum son itinéraire et de prendre quelques précautions.
Par exemple, j'ai toujours avec moi une batterie externe pour recharger mon téléphone (toujours rassurant de se dire qu'au pire, on peut appeler quelqu'un ^^). De même, il est utile d'avoir un peu de liquide sur soi voire une deuxième carte bancaire en cas de pépin avec la première.
Lorsque j'étais à Lisbonne récemment, il y a eu un bug européen des cartes Visa… et je me suis retrouvée dans une situation où je ne pouvais ni retirer de l'argent ni payer quoi que ce soit par carte. Ennuyeux quand on voyage seul !
Pensez à ce qui vous rassure , surtout si vous avez tendance à être anxieux : parmi les conseils utiles, prévoyez par exemple du temps pour prendre vos repères dans la ville au lieu de savoir que vous allez devoir courir pour attraper un bus dès votre arrivée ; téléchargez un plan hors ligne de la ville (via une application comme Google Maps, qui permet de télécharger à l'avance la carte d'une zone géographique donnée), l'appli des transports en commun locaux, etc. Tout ce qui peut vous rendre la vie plus douce !
Maîtriser son budget
Le voyage solo a tendance à coûter cher … ne serait-ce que parce qu'on ne partage pas les frais d'hébergement avec quelqu'un. Depuis quelques années, le "supplément chambre individuelle" tend à disparaître et l'on trouve de plus en plus de chambres simples dans les hôtels ( Booking me le propose systématiquement quand je cherche un hébergement pour un voyage solo !).
Ce n'est pas toujours le plus confortable (ce n'est pas parce qu'on part seul qu'on a envie d'une petite chambre étriquée !) mais si vous avez un petit budget, ça peut être une solution.
Autre conseil pour les petits budgets, n'hésitez pas à regarder les chambres en auberge de jeunesse , en particulier si vous avez envie de faire des rencontres. Aujourd'hui, elles ne sont plus fréquentées uniquement par les étudiants et de plus en plus souvent, il y a à la fois des offres de lits en dortoir à tout petit prix et des chambres avec salle de bain privative. Vous pourrez ainsi associer confort et opportunités de rencontres dans les espaces communs.
Il est utile de se fixer une limite budgétaire et d'en tenir compte dans le choix de sa destination… en prenant de la marge !
Rien de plus frustrant que de devoir se serrer la ceinture en vacances alors que ça devrait être un moment où l'on profite à fond ! Vous devez pouvoir saisir "l'envie du moment", que ce soit de vous offrir une simple glace gourmande ou de craquer pour un vêtement/souvenir qui vous fait de l’œil sur un marché local…
Manger seul au restaurant
C'est peut-être LE point qui me semble encore un peu difficile lors d'un voyage solo ! Le midi, tout va bien : je n'ai jamais de mal à manger seule au restaurant car après tout, c'est ce que vivent pas mal de voyageurs d'affaires quand ils sont en déplacement pour un rendez-vous dans une autre ville. Le soir, c'est une autre histoire !
Il y a des restaurants où, en tant que voyageuse solo, je ne me sens pas à l'aise : soit parce que c'est le genre de restaurant "pour occasion spéciale" où on se sent décalé quand on est seul, soit parce que l'accueil du restaurant vous rappelle que votre situation est particulière.
Il arrive parfois que l'on vous fasse sentir que vous "bloquez" une table de deux sans payer deux repas… Que l'on vous donne la table la plus mal placée du restaurant (celle qui est à côté des toilettes ou celle que l'on bouscule systématiquement parce qu'elle est dans le passage)… Voire que l'on vous questionne sur le pourquoi de votre voyage solo (c'est d'autant plus vrai en étant une femme… et ça dépend pas mal du pays ; en Pologne par exemple, j'ai toujours été accueillie "normalement" alors que j'ai eu bien plus de remarques et questions au Portugal).
Pour ma part, j'ai donc adopté quelques stratégies à l'heure du dîner :)
- Manger tôt - Je m'arrange souvent pour aller au restaurant assez tôt, histoire d'éviter le rush, la pénible recherche d'une table perdue au milieu de couples en plein dîner romantique…
- Cibler le restaurant en amont - Je pars toujours en voyage avec une liste de bonnes adresses glanées auprès des amis ou sur un blog… et je jette souvent un œil aux photos postées sur des sites comme TripAdvisor pour me faire une idée de l'ambiance du restaurant.
- Manger chez soi - Quand on est en Airbnb ou en appart'hôtel, il est très facile de prendre un plat à emporter (ou de cuisiner si on a le courage)… et en soi, c'est aussi l'occasion de tester des produits locaux et d'avoir l'impression de s'immerger à fond dans la vie locale !
- Prendre un livre - Si vous n'êtes pas à l'aise, petit conseil : avoir un livre à portée de main peut vous aider à passer le temps entre deux plats ou en attendant qu'on prenne votre commande.
Et la sécurité alors ?
J'ai déjà entendu cette inquiétude, en particulier chez les filles. Partir toute seule, est-ce risqué ?
Je considère pour ma part qu'il faut trouver le juste équilibre entre une légitime prudence… et une obsession pour la sécurité !
Oui, il faut être prudent , de la même manière que vous l'êtes sans doute déjà si vous vivez dans une grande ville : éviter de s'aventurer dans des coins totalement isolés et/ou qui ont une réputation sulfureuse, de se promener en étalant ses objets de valeur ou de sortir de l'argent en grosses coupures, de consommer trop d'alcool au risque de perdre sa vigilance…
Oui, on peut prendre des précautions : par exemple, dire à quelqu'un où l'on part (le concierge de l'hôtel, etc) ou laisser un papier dans sa chambre avec l'information quand on s'en va faire une randonnée sans guide… Ou encore choisir un hébergement bien desservi par les transports et facile d'accès.
Pour autant, il ne faut pas s'imaginer que le monde entier n'attend que de vous arnaquer ou de vous attaquer ! Car si on raisonne comme ça, on s'interdit tout contact avec "les gens hostiles"... Or, s'il existait un pays où l'intégralité de la population est hostile, ça se saurait ;)
Et ce serait dommage de se priver de vivre de beaux moments ! A titre indicatif, vous pouvez consulter la "Travel risk map" , une carte élaborée par la société de services International SOS qui liste les pays du monde et le niveau de danger qu'ils représentent en matière de tourisme.
Partir tout seul… sans être si seul que ça !
En réalité, quand on voyage seul… on se retrouve rarement "tout seul" .
A moins de vous couper du monde volontairement en ignorant les gens qui vous entourent et en partant à l'aventure dans le désert, vous verrez qu'il est assez facile d'engager la conversation avec les autres, surtout si vous parlez anglais (au moins un peu !).
Vous allez souvent croiser d'autres voyageurs solo (ou pas solo !). Si je devais lister toutes les nationalités rencontrées lors de mes voyages récents, on dessinerait déjà une sacrée carte du monde : Uruguay, Norvège, Brésil, Belgique, Australie, Etats-Unis, Italie, Mexique…
Ces rencontres débouchent parfois sur des vacances "pas si solo" car si le courant passe bien, vous pouvez décider de faire quelques activités avec vos nouveaux compagnons de voyage par la suite.
Nouer le contact
Un sourire au voyageur qui s'assoit à côté de vous dans un bus ou dans un ferry et une conversation peut s'engager, même chose avec les gens de la table d'à côté au restaurant.
Aller prendre le petit-déjeuner dans un café local est aussi une excellente occasion de rencontrer des gens. Manger au bar quand une brasserie le propose permet aussi de nouer des contacts plus facilement que si vous allez vous cacher à une table de 2 dans un coin !
Coincé dans une file d'attente pour visiter un monument célèbre ? Un sourire ou une phrase banale aux personnes qui vous entourent et parfois, la conversation s'engage (en plus, elle vous donnera l'impression que le temps passe beaucoup plus vite !).
Faire des excursions
Vous pouvez aussi rencontrer du monde en participant à des activités organisées . Dans la plupart des villes, il y a des balades à pied (parfois gratuites), à vélo ou en Segway, des activités pour découvrir le patrimoine ou la gastronomie, des pistes de sorties…
Misez sur des sorties en petit groupe car l'échange est plus facile et convivial… et on croise souvent d'autres voyageurs solo qui seront ravis de nouer le contact ! Par exemple, à Lisbonne, j'ai tenté une expérience inédite : m'inscrire à une séance photo avec un professionnel : nous étions 4 dans le groupe et on a passé un super moment !
Get Your Guide est un site très sérieux pour trouver des idées d'excursions dans votre destination de vacances, soit sur une journée, soit sur quelques heures. Vous pouvez lire des avis d'autres voyageurs pour vous faire une idée de l'intérêt de la sortie. Il y a un mélange de visites guidées, d'ateliers (pour découvrir par exemple la cuisine locale ou déguster des vins locaux), de sorties en bateau, d'activités en petit groupe.... sans oublier les sorties sportives et celles plus festives (pub crawls, etc).
L'hébergement comme lieu d'échanges
Si vous voulez mettre un maximum de chances de votre côté de rencontrer du monde, oubliez le séjour dans un hôtel feutré ou un appartement de location. Misez plutôt sur des auberges de jeunesse ou des hébergements chez l'habitant (une chambre d'hôtes, une chambre privée dans un appartement via Airbnb).
Assumer le voyage en solo !
Le voyage en solo reste associé, dans certains pays et pour certaines personnes, au "voyage de célibataire" ... avec toutes les connotations que ça peut avoir.
J'avais eu une discussion intéressante à ce sujet dans un hôtel de Tunisie : je séjournais sur place avant de partir dans le Sahara et j'avais échangé avec un employé (masculin) de l'hôtel sur le voyage solo. Il m'avait dit qu'il voyait souvent des gens voyager en solo dans le but explicite de s'envoyer en l'air (ou avec l'idée de rencontrer l'âme sœur lors des vacances)... et que ça "encourageait" chez certains employés une attitude de flirt parfois déplacée avec les voyageurs solo.
Parfois, en tant que voyageur solo-non-je-ne-cherche-pas-l'amour-merci, on doit savoir répondre à des réflexions ("mais pourquoi venir ici TOUTE SEULE ?") ou à des préjugés (célibataire-en-chaleur-bonjour)... Pour ma part, j'assume toujours le fait de partir en vacances seule , j'évite de m'inventer un "compagnon qui n'a pas pu venir à cause de son travail/qui doit me rejoindre demain".
Le voyage solo a une vraie valeur , ce n'est pas un voyage au rabais que l'on fait "par défaut"... alors n'ayez pas peur de vous lancer. Vous vivrez sûrement une expérience très différente de celle que vous pourriez vivre en couple ou entre amis et elle vous apportera tout autant !
Hello ! Depuis 2014, je partage sur ce blog mes photos, informations et conseils de voyage, en France et à l'étranger. J'aime tout particulièrement les voyages en solo ! En mars 2023, je suis devenue maman d'un petit James, que j'ai déjà commencé à initier au plaisir du voyage, en mode Maman solo & bébé !
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Bonjour Marlène, encore un très bon article que je découvre !
J’ai voyagé deux fois en solo, deux voyages prévus non solo à la base mais les circonstances ont fait que…
Pas mal d’appréhension au début mais finalement cela m’a fait du bien ! J’ai pu faire ce que je voulais quand je voulais, à mon rythme, me ressourcer, passer du temps avec moi-même, apprendre à puiser dans mes ressources intérieures, etc.
Par hasard, c’était deux voyages en chambre chez l’habitant, pour des raisons économiques, et au final cela m’a permis de discuter un peu, même si j’avais ma tranquillité.
A Edimbourg mon hôte m’a même proposé de m’emmener au salon agricole, j’ai passé un bon moment avec lui et son ami.
Le pire moment en effet c’est au resto le soir… Heureusement avec les smartphone le temps est moins long entre deux plats.
Je l’ai moins bien vécu pour le premier voyage (à Malte) où les serveurs me regardaient bizarrement quand je disais être seule, et me demandaient même si je venais pour le travail ! Comme si une femme ne pouvait pas voyager VOLONTAIREMENT en solo.
A part ça j’ai apprécié ces expériences, je sais que j’en suis capable et que je n’ai pas besoin des autres si je veux voyager.
Je pense qu’il y en aura d’autres des voyages solo et ça ne me fait pleur peur ! Bien sûr il y a des destinations où je serai moins à l’aise et d’autres que j’éviterai.
Hello Miranda, merci pour le témoignage ! Comme quoi, parfois, une expérience non voulue au départ se révèle finalement très riche. Je te rejoins vraiment sur la diversité des réactions selon l’endroit où l’on va, sans doute une histoire de culture (et peut-être, parfois, de place de la femme dans la société). Autant personne ne questionne le choix de voyager en solo dans certaines régions du monde, autant il fait lever des sourcils ailleurs.
Je trouve aussi en tant que femme qu’il est parfois difficile de trouver le juste équilibre entre « prudence » et « profiter des opportunités » de rencontrer du monde. Si on se méfie trop et de tout le monde, on passe à côté de certaines choses… mais ne pas se méfier peut aussi exposer à faire de mauvaises rencontres.
Oui tu as raison. A Edimbourg finalement dans les pubs j’ai rencontré deux fois des touristes américains qui sont venus me parler. J’ai même été dans un autre bar après avec les derniers (un frère et une soeur). Les Anglo-saxons parlent plus facilement je trouve. Même les Ecossais en général étaient plutôt sympas et aidants.
A Malte c’était plus fermé, mais j’ai bien discuté avec mon hôte.
J’allais très mal à cette période (rupture, d’où le voyage seule) alors ça m’a fait du bien de me prouver à moi-même que je pouvais le faire, que la vie allait continuer, et au final sympa de se changer les idées et de se retrouver avec soi-même.
Par contre dans l’article tu expliques éviter certaines destinations car marre d’éconduire les hommes, peux-tu en citer quelques-unes ?
Pour ma part je ne me vois pas seule dans les pays musulmans par exemple, car les femmes qui se promènent seules y sont plus rares justement.
Ou en Afrique Noire car beaucoup de drague !
Pour Istanbul je me demande, j’y suis allée accompagnée et c’était tranquille, je ne sais pas trop comment sont vues les touristes seules là-bas.
Au plaisir de te lire !
C’est précisément aux pays musulmans que je pensais, question de « place de la femme » je pense. Les remarques ne sont pas forcément méchantes ou déplacées mais on sent que les gens n’ont pas forcément l’habitude de voir une femme voyager seule, c’est en décalage avec leur culture donc ils en ont parfois une vision un peu biaisée. J’avais eu une conversation là-dessus avec un employé d’hôtel en Tunisie, qui m’expliquait qu’il y avait – parmi les femmes voyageant seules – certaines qui venaient vraiment pour la drague/le sexe… et que du coup ça créait parfois selon lui une image biaisée de la « touriste en solo ».
Ca reste l’avis d’une personne mais je pense effectivement que certains hommes associent femme solo = femme « en chasse »/libérée…
Bonjour Marlène 1ere expérience de voyage solo cette année et même avis sur le point délicat du dîner 😁 Hormis cela l expérience reste riche de découvertes.
Je trouve aussi, merci d’avoir partagé ton expérience :)
Coucou, je devais partir avec ma fille qui a annulé son voyage. Je suis tenter de partir seule comme prévu, en Guadeloupe pour 4 jours. Je ne suis jamais partie seule aussi loin… Que feriez vous a ma place? Merci pour votre commentaire
Bonjour Laurence, je partirais, bien sûr :) Parce que la destination est belle (même si 4 jours me paraissent très courts !), parce que ça reste la France donc sécurisant si vous n’avez pas l’habitude de partir seule, parce que la période donne aussi envie (et besoin) de changer d’air, de puiser un peu de beauté autour de soi. Et justement parce que 4 jours, c’est court donc au pire, si l’expérience ne vous plaît pas, vous serez vite sur le chemin du retour !
Bonjour Marlène, je pars en solo dans quelques semaines et ton article m’a fait dédramatiser le voyage solo. La seule chose que n’apprendre c’est les longues heures d’attente à l’aéroport et dans l’avion et peur de me sentir seule pendant 15j, ce qui ne m’est JAMAIS arrivé. Je note toutes tes astuces et espère te faire un retour positif sur cette première expérience 😘
Hello Mathilde, quoi qu’il arrive dis-toi que c’est une expérience qui va t’apprendre des choses sur toi-même… et au moins, tu auras osé et essayé !
Bonjour Marlène et bravo pour ton blog, il est franchement remarquable ! Je voudrais juste m’attarder sur un point que tu soulèves dans le voyage solo: le fait d’être une femme. Je suis un homme et je pense qu’au contraire c’est beaucoup plus facile pour une femme. Je m’explique: en tant qu’homme (de plus de 50 ans de surcroît) j’éprouve toujours bcp de gène à m’adresser à des inconnus, (et surtout des inconnues !) car les gens sont plus méfiants qu’avec une femme, surtout une jeune femme. Les hommes seront souvent courtois, voire charmeurs (bon c’est le risque, mais si ça reste correct, c’est pas méchant), les femmes ne se sentiront pas en danger. Les couples seront souvent bienveillants. Si on se retrouve dans une situation où on a besoin d’aide ou de secours, les gens vous viendront plus facilement en aide si vous êtes une femme. Naturellement, un homme s’empressera de faire le chevalier servant pour une femme en détresse alors qu’il ignorera un homme, ou s’en méfiera. C’est pourquoi j’ai très peur de voyager en solo et de me retrouver trop isolé, reclu dans mon appt le soir avec mon plateau repas (car le resto en solo, comme tu le dis, c’est la partie la plus compliquée). C’était juste une petite réflexion comme ça, à la lecture de ton très bel article.
Bonjour Vlad, même si je comprends l’intention du commentaire, je trouve ça assez déplacé en tant qu’homme de porter un jugement sur le fait que ce soit « plus facile pour une femme »… car tu n’es pas une femme. La peur de se retrouver tout seul pour manger le soir, par exemple, ne me semble pas très comparable avec la peur de se faire violer ou la réalité de se faire suivre par quelqu’un dans la rue.
Par ailleurs, tu te permets d’interpréter des choses comme le fait que les hommes charmeurs ne sont pas « méchants »… ce qui minimise le poids de ce phénomène de harcèlement de rue pour beaucoup de femmes. Quand tu passes l’intégralité de ta journée et de tes vacances à refuser des avances toutes les 10 minutes, à entendre toutes les 10 minutes « charmante ! », « je peux vous inviter à boire un verre ? » et autre… ça a beau ne pas être méchant, c’est d’une lourdeur innommable à supporter et à titre perso, il y a des destinations où je ne vais plus seule précisément pour cette raison. Je ne m’y sens pas du tout en danger mais devoir refuser des avances à longueur de temps est usant moralement (parce que les gens ne comprennent pas que voyager seule n’équivaut pas à « chercher à tirer son coup avec le premier venu »).
Sans parler des limites d’ordre culturel dans certaines régions où le statut de la femme n’est pas encore au même niveau que dans nos pays modernes.
Bref, c’est une vision très « androcentrée » que tu défends. Je pense que les hommes peuvent eux aussi être mal à l’aise, être exposés à certains risques (pickpockets, vols, etc)… mais de là à dire que c’est plus facile pour une femme… il y a un pas que je ne franchis pas du tout en ce qui me concerne.
Chère Marlène, j’ai dû mal m’exprimer. Je ne dis pas que c’est moins dangereux pour une femme. Evidemment que ça l’est (même si là encore on pourrait me taxer de misogynie puisque j’induis qu’une femme a moins de moyens de se défendre qu’un homme, ce qui n’est pas toujours vrai). Ce que je veux (mal) dire, c’est que la prise de contact est plus facile pour une femme. Et qu’elle a moins de risques de se retrouver totalement isolée. Et quand je parlais du côté charmeur, je voulais dire que si une femme s’adresse à un homme pour un conseil ou un dépannage quelconque, le monsieur aura plutôt tendance à se montrer naturellement sous son meilleur jour et essaiera de rendre service. C’est naturel. Le contraire se produira beaucoup moins souvent. En résumé, je pense que les femmes peuvent compter sur les femmes et sur beaucoup d’hommes (pas tous, on est d’accord) alors que les hommes ne peuvent compter que sur certains hommes (et là encore, pas tous). Mais bon, j’entends que ce sujet est sensible et que l’époque veut aussi qu’on ne puisse rien dire sans être taxé de gros beauf libidineux… Pourtant ceux qui me connaissent disent que je suis très féminin, donc tu vois…
Sous cet angle, je suis plutôt d’accord avec le fait qu’il y a moins de préjugés quand on aborde quelqu’un en étant une femme.
C’est génial de voir qu’il y’a d’autres personnes qui partent solo, je me sens moins seul😊. Je suis partie il y’a quelques jours en grece dans l’île de Zakynthos seul, le regard des autres n’est pas simple au premier abord mais au final on s’y fait, au final j’ai passé d’excellentes vacances, dommage que je ne parle pas hyper bien l’anglais mais je compte m’y mettre puisque j’ai encore envie de découvrir d’autre pays. En tous cas il est génial to blog.
Merci pour ton témoignage ! L’anglais aide effectivement, je le parle couramment et ça facilite les échanges avec d’autres voyageurs. Ca devait être très sympa comme destination, en tout cas, je ne connaissais pas.
Bonjour Marlène, Merci beaucoup pour ce blog très riche et qui donne bien envie de voyager. J’ai cette envie de partir seule, de ne pas me dire que je dois attendre des amis( qui parfois n’ont pas de congés comme moi ), et j’ai un peu l’angoisse de la première expérience ou je me dis que les soirées seront peut être plus longues en solo, ou tu ne rencontres pas forcément de voyageur, est-ce que l’on va trouver le temps long. As-tu eu ces impressions la première fois ? j’aimerais beaucoup ne pas me freiner par rapport à cela et sans doute que le voyage redonne une confiance en soi pour certains. As-tu quelques conseils si je pars une semaine ? la connation de la voyageuse seule sans amies est encore forte je trouve. Merci ;)
Hello Laura, pour être franche je ne me souviens pas quel a été mon premier voyage en solo, ta question m’a d’ailleurs poussée à me creuser les méninges pour essayer de savoir à quel moment j’ai décidé de partir seule :)
Je pense que si tu as peur de ne rencontrer personne, tu peux essayer de provoquer des rencontres en réservant à l’avance quelques activités « sociales ». C’est d’autant plus facile si tu pars dans une ville et pas en pleine campagne ! Il y a pas mal de choses sur GetYourGuide mais tout dépend de l’endroit, l’offre est plus ou moins variée selon la ville.
Ca peut être une balade en bateau, une activité sportive, une visite, une dégustation, un cours de cuisine locale… Beaucoup de villes proposent aussi des visites à pied gratuites (on donne juste un pourboire au guide à la fin), ça peut permettre d’engager la conversation avec d’autres voyageurs, d’ailleurs c’est assez drôle mais j’avais croisé par hasard des lectrices de mon blog en faisant ce genre de visite à pied à Wroclaw, au fin fond de la Pologne ^^
Il y a toujours une part d’inconnu dans le voyage en général… et c’est vrai aussi avec le voyage solo. Parfois, en une seule visite guidée, on rencontre des gens sympa avec qui on organise des choses par la suite (ça m’est arrivé en Irlande, on a formé un petit groupe de filles dès le 2e jour de mon séjour). Et à l’inverse, il y a des fois où on tombe sur des gens qui ne se parlent pas et avec qui c’est compliqué d’engager la conversation (ça, ça m’est arrivé en Hongrie).
Je trouve que pour un premier voyage solo, c’est bien de choisir une destination où il y a plein de choses à voir/à faire. Comme ça, si l’on se rend compte que l’on n’apprécie pas le côté solo, on peut se replier sur une foule d’activités qui permettent de vivre de beaux moments malgré tout.
Bonjour Marlène ! Je ne suis encore jamais partie toute seule mais l’expérience me tente bien ! Découvrir rien que les pays européens serait un rêve ! Je vais donc me pencher sur la question pour partir durant mes vacances en septembre. Peut-on te suivre sur les réseaux ? Instagram ? Facebook ? Merci,
Hello Charlotte, je ne poste pas beaucoup ces derniers temps (après quelques voyages annulés suite au Covid, je finis par attendre que quelque chose se concrétise pour poster !) mais je suis sur Facebook et Instagram :)
Bonjour Marlène aurais-tu une destination pour ma première expérience en voyage solo cette année merci
Hello, impossible de donner une destination sans connaître la personne, on a tous des goûts différents, des contraintes différentes (avec/sans voiture par exemple) et cette année, avec le Covid, au-delà des goûts, il faut prendre en compte la situation de la destination… Selon les villes, il y a plus ou moins de choses ouvertes et la situation sanitaire n’est pas du tout la même (quarantaine imposée ou pas, test Covid obligatoire ou pas, etc) :)
En règle générale, je conseille de vraiment se laisser guider par ses envies : un lieu qu’on a toujours rêvé de voir, une culture qui nous attire quand on la voit dans un film, un livre, un reportage, ça peut aussi être – tout simplement – une région de France qui nous évoque des choses (douceur de vivre, nature, vacances sportives)…
Déjà, tu peux considérer que toutes les destinations dont je parle sur le blog sont compatibles avec le voyage solo ;)
Merci pour cet article. J’ai déjà voyagé seul d’une semaine parfois à 5 mois en solo en amérique du sud et je me retrouve totalement dans les différents aspects que tu décris. Ça n’empêche pas pour autant de devoir se pousser un peu pour faire le pas de repartir seul cet été par exemple. Bref à te lire ça redonne un élan pour repartir. Merci
Hello Eric, je pense que nous restons humains… il y a des moments où on vit bien la solitude (ou du moins l’autonomie, car on peut voyager seul sans pour autant « être seul »), d’autres où l’on a d’autres besoins. C’est pour ça que je dis toujours que le voyage solo est une façon de vivre son voyage différente du voyage à plusieurs : on n’est pas obligé de choisir l’un ou l’autre, on peut apprécier les deux, à des moments différents.
Salut à toi, je découvre avec joie ton blog et ton expérience, moi qui recherche par tout les moyens des informations rassurantes sur le voyage solo et ton article est juste parfait 👌🏾 Je te dit merci ☺️
Hello, il ne faut pas avoir peur de se lancer, ça apporte plein de choses ! Il y a des moments qui peuvent être difficiles (pour moi, c’est le fait d’aller au resto seule par exemple) mais on apprend à les gérer et bien souvent, on fait des rencontres de voyage qui permettent aussi de ne pas rester seul tout le temps.
L’an dernier, j’ai eu la possibilité de voyager avec ma famille, mais cette année, je ne sais pas si je pourrais emmener tout le monde. Toutefois, je veux vraiment en profiter, alors, merci pour ce partage. :)
Ce sont des styles de voyage différents de toute façon, on ne fait pas la même chose en voyant seul, en famille, entre amis :)
Coucou Marlène , Je découvre également ton blog, et j’adore ! Je voyage aussi souvent seule, enfin seule, tout est relatif j’ai toujours ma boule d’amour avec moi, mon petit chien ce qui n’est pas du tout désagréable. J’arrive toujours à trouver un hébergement qui accepte les animaux de compagnie 🙂 et la je prévois de partir dans 2 mois en Martinique en solo avec lui lol et c’est vrai que c’est agréable de savoir qu’au final on est pas seule a faire des voyages solo! Je partagerais avec vous mon expérience avec plaisir très bientôt. Ton blog est une très belle initiative 👌🏻 A bientôt
Oh je suis sûre que la Martinique va être un très beau voyage ! Ça doit être agréable de voyager avec son animal, j’ai un chat mais je ne l’emmène jamais avec moi, ça la perturbe trop de quitter sa maison :) Un chien, c’est différent !
Bonjour Marlène
Je découvre ton blog seulement maintenant et j’aime beaucoup le concept de voyager seule. La plupart du temps, je voyage seule car je pars toujours hors saison (cause de petit budget) et j’adore çà. Je reviens d’un week end à St Raphaël en particulier pour visiter le massif de l’Esterel, car c’est un endroit magnifique. Il m’arrive bien sur de partir avec des amis en week end, mais ce n’est pas du tout pareil, car on n’a pas forcément le même rythme ni les mêmes envies. En 2020; je me suis programmée un voyage à Grenade et en Irlande 2 endroits que je ne connais pas du tout . Vive les voyages solos !!
Hello Eleane, je suis allée en Irlande cette année et c’est vraiment un pays sublime, notamment quand on aime la nature ! Je suis assez d’accord avec toi sur le fait que partir seule vs. partir entre amis n’est pas le même « concept ». Il y a parfois des gens qui croient qu’il faut choisir entre les deux… on peut faire les deux et on ne « vit » pas du tout une destination de la même manière.
A plusieurs, je constate qu’on visite souvent moins de choses mais qu’on passe plus de temps au resto, à faire des activités « sociales », à décider de la suite du programme (hum) :) C’est sympa aussi, je préfère le faire sur une ville que je connais déjà pour ne pas me sentir trop « frustrée ». Ou alors se mettre d’accord sur les grandes lignes du planning en amont !
Bonjours tout le monde,
Merci pour cette échange sur les voyages solo.. je suis déjà parti une fois à Majorque dans un hôtel , solo, et j’ai kiffer ! Bon j’avoue que le soir j’avais un peu le cafard d’etre seul .. mais à part sa j’ai beaucoup aimer d’être Libre ! Et pour vous dire à ce moment là où je post ce commentaire je suis actuellement en Corse et je suis solo 🤗! Et tout ce passe à merveille . Pour moi partir seul est un choix. Je fais ce que je veux , quand je veux , à l’heure que je veux sans contrainte ! Voilà pour ma part. Tentez l’expérience Une fois , et faites vous votre propre idée sur les voyage solo 🤗 bonne journée
Hello Laurie, je suis moi aussi en Israël en solo et ça me confirme une fois de plus que ça ouvre plein de possibilités de rencontres… j’ai fait des activités avec des filles rencontrées sur place, il y a aussi des moments où on est « chacune de son côté » et on se retrouve juste le soir pour un resto ou une soirée sympa…
Bonjour à vous Je suis Adelyne et je vis seule donc je voyage en solo. Que ce soit en camping l’été en mobil’homme ou de prendre l’avion pour une semaine pendant les fêtes de fin d’année. Je n’aime pas les prises de tête, je suis une independante et je ne m’ennuie pas. Je visite, je fais des excursions, je vais danser et tout cela bien évidemment seule. Je suis heureuse seule En un mot « je prends toujours mon pied » j’attends avec impatiente mon petit voyage aux canaries à l’occasion des fêtes de cette fin d’année 2019. A bientôt de vous lire. Bises
Hello Adelyne, j’ai beaucoup aimé les Canaries et leur douceur de vivre pour ma part, vous allez sur quelle(s) île(s) ?
Bonjour Merci pour ses partages intéressants. Cela va peut être m’encourager un peu car j’ai beaucoup de mal à faire la démarche. J’avoue que c’était déjà difficile d’aller au cinéma seule, puis en effet je rencontrai d’autres personnes comme moi. Je trouve cela, très particulier. Il y a effectivement ceux qui le font par choix et d’autres par dépit. Ce qui est rassurant, c’est que vous en êtes satisfaite. Je pense néanmoins que ce n’est pas donné à tous! Il faut déjà avoir un impertinemment ouvert et s’adapter à certains environnements comme l’auberge de jeunesse; Bonne continuation dans vos futurs voyages
Hello Teresa, je ne pense pas qu’il faille forcément être très ouvert/extraverti ou que l’auberge de jeunesse soit un passage obligé. Typiquement, je ne vais jamais en auberge de jeunesse parce que ça ne me correspond pas (même si, clairement, je pense que ce serait plus facile de rencontrer des gens par ce biais !).
Le déclic peut être de choisir une destination qui vous tente VRAIMENT, un lieu que vous rêvez de voir ou de visiter dans votre vie. Comme ça, même si vous ne rencontrez pas d’autres voyageurs, vous aurez au moins retiré une satisfaction très personnelle du séjour.
Merci pour cet article, je trouve qu’il retranscrit bien la démarche du voyage solo avec ses avantages et les « pièges » possibles. J’ai fait la Nouvelle-Zélande l’année dernière en solo est avec un minimum d’organisation, ça s’est très bien passé. Je prévois d’ailleurs de faire de le Japon sur le même principe d’ici quelques mois… après avoir appris quelques bases de japonais.
Hello Céline, j’aime bien l’idée d’apprendre les bases d’une langue avant d’aller dans le pays en question, c’est toujours agréable pour les gens que l’on croise de voir que l’on a fait cet effort et en plus, ça aide à se repérer un minimum !
Je pars le mois prochain pendant 1 mois tout seul comme un grand au Canada ( Québec / Montréal ) et même si je suis un mec je doit avouer que je suis un peu nerveux . Plus la date approche plus je me dit que j’aurais pas du….. mais aussi exciter de voir ailleurs . J’ai décider de faire un »break de vie » comme je le dit si bien pour me connaître encore mieux . De nature anxieux ça sera pour moi une aventure même si j’ai fait mes études quelques mois la bas . Niveau budget j’ai économiser toute ma vie sans y toucher et là après un décès dans mon entourage proche je me suis dit » bas pourquoi pas ? « » Petite question pour le téléphone portable des astuces ? niveau internet ect… même si je suis très avenant parfois l’aide »google » » est la bienvenue ^^ . merci pour ton article
Hello Billy, c’est une super aventure, lors de mon récent voyage en Irlande j’ai rencontré une Américaine qui faisait un « grand tour d’Europe » pour s’auto-récompenser d’avoir réussi ses examens de fin d’études, elle a fait plein de pays et m’a dit que c’était l’expérience la plus exceptionnelle de sa vie, j’espère que tu vivras la même chose.
Pour le téléphone, en général le plus simple est d’acheter une carte SIM locale pré-payée. C’est ce que je ferais pour un voyage d’un mois. Si ça se prolonge, il existe aussi des cartes SIM internationales (type Drimsim, KeepGo, Surfroam…).
Bonjour, Merci pour cet article détaillé et bien écrit. Les photos sont magnifiques. Quel APN utilisez-vous, ou téléphone ?
Merci beaucoup
Hello Mak, merci ;) Certaines photos sont prises avec mon smartphone (Samsung Galaxy S9), d’autres avec un Canon EOS 6D Mark II.
Merci pour ton article ! très simple, pertinent et donne envie de se lancer, en arrêtant de trop réfléchir et perdre du temps à trouver des excuses ou créer des peurs…, qui nous bloquent ! Je ne suis jamais partie seule, toujours accompagnée (famille, amis, copain…) et justement j’aimerais bien partir en septembre (1 à 2 semaines), mais je ne sais pas encore très bien où… J’aime l’architecture, et faire de belles rencontres sociales et culturelles, ayant pas non plus un gros budget, je suis attirée pour faire de l’écotourisme, participer même à un projet sur place tout en visitant la ville. Une idée d’un lieu ou organisme qui prévoit ça ? :)
Hello, en matière d’écotourisme j’ai pas mal entendu parler de l’agence Double Sens . Je n’ai pas testé moi-même mais ils ont beaucoup de destinations au choix en Asie, Afrique et Amérique du Sud. Le moins cher chez eux est probablement le Maroc.
Bonjour Marlène, Je suis une jeune étudiante de 25ans, et pour la première fois j’aimerais franchir le pas et oser voyager seule. J’ai toujours eu envie de voyager, seulement voilà avec les études et le boulot à côté je n’ai jamais pu me faire plaisir, et je me rends compte maintenant que la vie est trop courte pour passer à côté de ses rêves. Aurais-tu des idées d’endroits où je pourrais aller pour cette première expérience? Je dois avouer qu’étant encore étudiante je n’ai pas beaucoup de budget, mais je pense qu’avec un minimum d’organisation je pourrai facilement m’en sortir! Je suis très attirée par le climat chaud (étant moi-même une fille des îles 😁), les plages, mais également les villes regorgeant d’histoires et de monuments. Je suis ravie d’être tombée sur ton blog, cela m’a beaucoup aidé à prendre ma décision, merci beaucoup ! :)
Hello, c’est super de te lancer ! Si tu aimes le mélange entre beau temps/histoire/pas trop cher, tu peux viser le Portugal (Porto, Lisbonne), je prépare un article pour fin mars sur « Lisbonne avec un petit budget » justement. L’Espagne est bon marché aussi, très touristique donc assez facile d’accès pour un premier voyage solo mais les villes très sympa (comme Séville) sont souvent dans les terres.
Ça reste des destinations très « européennes » donc pas trop dépaysantes d’un point de vue culturel (le Maroc, par exemple, qui est bon marché aussi, est déjà un peu plus dépaysant !).
Bonsoir Marlène, Merci beaucoup de ta réponse, ça me permet d’avoir une petite idée pour mes prochaines vacances! En effet L’Espagne et le Portugal semblent être de bons compromis pour un premier voyage en solo avec un petit budget. J’attends ton article sur Lisbonne avec impatience !! Encore merci pour tes conseils, et ton blog est vraiment super, continue!! Gaelle.
Bonjour Gaëlle et Marlène,
@Marlène, merci pour ton blog. Cela fait plusieurs années que je souhaite partir seule, mais par « peur » je ne l’ai jamais fait ! Je viens juste de me séparer, et ma décision est de prendre soin de moi, et faire ce que je n’ai pas eu le temps de faire jusqu’à maintenant.
@Gaëlle t’es tu déjà renseignée sur un voyage à Lisbonne ? Je pense craquer de mon côté en septembre, (pour ne pas trop payer!).
Merci de votre retour les filles :)
Bonjour Déborah, plein de courage suite à cette séparation, ce n’est jamais une étape facile de la vie et penser à soi est une très bonne option pour aller de l’avant !
Je suis allée à Lisbonne l’an dernier, super ville avec énormément de choses à voir, que ce soit sur place ou autour (Sintra, Cascais, Sesimbra, etc). J’y ai déjà consacré quelques articles mais j’en ai encore beaucoup à rédiger !
Coucou j’ai 56 ans je voyage seule même si je suis mariée mon mari n’aime pas les voyages. Je suis partie en Martinique Guadeloupe en Crète Ténérife Tanzanie j’ai fait du stop jamais de problème. Je me suis retrouvée parfois toute seule sur des sentiers de randonnée dans la forêt. Au début c’est inquiétant puis on s’habitue aux bruits et c’est super ! J’ai fait aussi des rencontres les gens sont surpris que je sois seule. moi je trouve ça super cela apporte beaucoup au niveau de l’autonomie parfois je me suis perdue mais j’ai trouvé des gens qui me renseignaient. Cela permet de fait de belles connaissances. Moi je ne supporte pas trop les voyages organisées car je trouve ca trop usine et l’on vous montre pas toujours la réalité de la vie du pays visité. Je suis allée en Ethiopie en trek mais organisé je pense que là je ne pouvais pas faire autrement dans ces pays difficiles. Par contre là j’ai beaucoup apprécié d’être accompagnée seule je n’aurais pas pu faire ces belles rencontres et de voir de si beaux paysages. D’ailleurs pays très étonnant riche sur tous points de vue. Bravo à toi Marlène un jour peut être nous rencontrons nous très beau blog !!! Félicitations
Bonjour Isabelle, merci beaucoup pour ton témoignage ! Je constate souvent la même surprise face au voyage solo : « mais tu ne t’ennuies pas, toute seule ? « , « mais tu n’as pas peur ? » J’ai l’impression qu’au contraire, le côté solo pousse à s’ouvrir davantage aux autres que lorsque l’on est « dans sa bulle » avec une ou plusieurs personnes familières. On peut avancer à son rythme, se laisser guider par ses propres envies ou intuitions.
Et ça ne veut pas dire qu’on ne voyage QUE seul, j’apprécie aussi parfois de me joindre à un groupe pour le côté convivial, je l’ai d’ailleurs fait sur l’île de La Gomera en faisant des randos avec un guide, en petit groupe. C’est sympa aussi d’échanger avec d’autres personnes. Tu avais choisi quelle agence pour le trek en Ethiopie ?
hello marlène moi c’est eliane.je viens de lire ton commentaire:…ben c’est moi.je voyage seule….parce que je suis seule.je l’assume tout à fait, je mange au resto sans problème,quand je peux ça me fait plaisir.ce que je trouve anormal c’est effectivement les suppléments pers seule(de 300e jusqu’à + de 700e j’en ai vu !!)sur les voyages organisés que je me décide à faire pour des destinations + compliquées ou lointaines où je n’irai + maintenant par la route vu mon âge(retraitée)le point négatif des v.o.: très cher,trop vite,trop trucs à touristes(même s’il faut les voir les trucs à touristes).j’ai pas de problème pour prendre l’avion seule, par contre je me suis peut-être un peu faite arnaquer sur un logement airbnb dernièrement.mais bon sur 8 jours ça fait aussi des souvenirs de voyage!!en + d’être revenue avec la crève!! je crois que l’idéal( plutôt le mieux)serait de trouver un ou une passionné(e)comme moi de voyages dans le monde, à la rencontre des gens et des paysages ,avec intérêts, fonctionnements et finances à peu près équivalents(je n’ai pas une très grosse retraite mais je suis passionnée et j’ai fatalement du temps)comme je vous comprends vous les jeunes qui partez découvrir le monde!ça apporte une sacrée ouverture d’esprit et il y a des gens intéressants et gentils partout, plus que des méchants, sûr!faut pas être au mauvais endroit au mauvais moment!mais même en france! Eliane
Bonjour Eliane, merci beaucoup pour le message ! Je ne partage pas tout à fait votre avis concernant les voyages organisés car je trouve qu’ils dépendent beaucoup de l’agence qui les organise et qu’il y a plus de nuances que ce que vous évoquez. Il existe aujourd’hui des voyages en tout petits groupes, qui prennent le temps… ou des possibilités de voyage « mixtes » (on gère soi-même l’hébergement et on retrouve un petit groupe pour des excursions en journée). Sans parler des sites qui permettent de retrouver des voyageurs partageant un même état d’esprit !
Je crois justement que de plus en plus de gens rejettent le voyage organisé « traditionnel », avec l’image du gros bus qui lâche un flot de touristes prêts à visiter un lieu au pas de course… et tant mieux, car au fond ça permet à une nouvelle offre de se développer.
Quand on parle une langue étrangère, on a aussi la possibilité de passer par des agences locales ce qui étend encore davantage les possibilités.
bonjour marlène,heureuse de ta réponse, je croyais que mon commentaire s’était annulé!! quand je parlais v.o.je pensais à un v.o. que j’ai fait en nov dernier(namibie jusqu’aux chutes victoria)on était 20 pers.impeccable! mais j’aurais aimé rencontrer la population,prendre le temps ce qui n’est pas possible en v.o.il y a un programme avec date arrivée et date départ fatalement! stp,quels sont les sites de voyageurs à retrouver que tu mentionnes pour partager la passion du voyage(pas rencontre célibataires à marier!!).merci Eliane
Bonjour Eliane, j’ai donné plusieurs pistes dans le paragraphe 7 de cet article :)
Hello Marlène! Moi c’est Sylvie. j’aime beaucoup ton blog et j’admire les personnes comme toi qui voyage seule. c’est quelque chose que j’ai toujours voulu faire mais que je n’ai jamais osé à cause de la barrière de la langue et surtout des peurs dont on s’enferme au fil du temps! Du coup chaque fois que je suis parti j’étais toujours dans le désir de l’autre ce qui me procurer beaucoup de frustrations! Aujourd’hui, à la veille de mes 50 ans! j’ai très envie de franchir le pas. j’ai le projet de partir quelques jours pendant les fêtes de noël. Les capitales telles que : Budapest, Prague, Berlin ou Rome m’attire. J’aime les lieux riche en histoire et culture. Pourrais tu me conseiller pour ma première fois en solo? Tes conseils et ton expérience me seront très utile. Je te remercie. Continue à me faire rêver, ton blog est génial! Il pousse les personnes comme moi à se libérer de leurs peurs et à s’enrichir humainement! Merci.
Hello Sylvie, merci pour ton message ! L’avantage de toutes ces villes c’est qu’elles sont touristiques… donc avec pas mal de transports et de choses à voir. Pour Rome, il faut avoir pas mal de temps devant soi car c’est une ville TRÈS riche, une semaine n’est pas de trop. Sinon, c’est vraiment en fonction de tes préférences.
Aujourd’hui, avec une appli comme Google Traduction, on peut se débrouiller même dans les villes dont on ne parle pas du tout la langue (j’étais justement à Budapest en août, beaucoup de gens là-bas ne parlent pas anglais… et le hongrois est incompréhensible pour nous francophones, aucune ressemblance avec le français !). Je pense en revanche qu’à Berlin ou à Rome, il y aura sûrement plus de visites en français qu’à Budapest, où l’offre est très limitée (c’est souvent l’anglais quand on veut avoir le choix !).
Bonjour Marlène! Voyager seule c’est vraiment génial! Je l’ai fait pendant un mois à New-York l’année dernière et j’ai adoré. La liberté de pouvoir faire ce que l’on veut, quand on veut… Je te rejoint sur le fait que manger au resto quand on est seule, c’est pas évident. Du coup je mangeais chez moi ou dans des snacks/fast-foods (pas très diététique mais bon..). En tout cas, j’en ai tirée une formidable expérience. Ce voyage m’a fait grandir, mûrir, et j’ai gagner énormément en confiance en moi. Maintenant je me sens capable de faire des choses impensables pour mon moi d’il y a un an. Et je n’ai plus peur du regard des autres. Je me dis que si j’ai pu partir à l’autre bout du monde, seule et en revenir (vivante), alors je n’ai plus a avoir peur de l’inconnu. C’est une sensation extraordinaire de vivre une expérience comme ça. On en redemande presque!
Un mois à New York, ça devait être vraiment top pour avoir le sentiment de s’immerger dans la vie locale ! Pour les restos, je me « force » un peu à sortir du fast-food, solution de repli que j’utilisais pas mal, comme toi, au début. Je me dis toujours que c’est dommage de se priver d’un resto qu’on a envie de tester juste parce qu’on est seul.
C’était génial! Pouvoir discuter avec les gens qui vivent là-bas c’est vraiment enrichissant. Oui c’est dommage, maintenant je me dis que la prochaine fois que je partirai seule, j’oserai plus aller au resto.
Salut Bye Bye est un blog voyage qui réunit de nombreuses informations, photos et bonnes adresses pour faire des découvertes partout autour de soi !
- Jours fériés 2024-2025-2026
- Comment optimiser ses congés en 2024 ?
- Focus du moment : visiter La Gomera
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- mars 18, 2021
C’est la question que tout le monde se pose avant de partir en voyage, avant de prendre ses billets, avant de commencer une nouvelle aventure : Avec qui partir ? Est ce que :
- je pars seul, en couple ?
- je vais quand même kiffer mon aventure si je pars avec ce pote / tout seul / avec ma soeur … ?
- j’essaye un voyage solo ou un voyage avec des inconnus ?
- je préférerais être tout seul ou accompagné ??
J’ai décidé de te partager les expériences de différentes personnes pour te permettre de peut-être répondre à tes questions, tes appréhensions, tes peurs… et pourquoi pas : que toi aussi tu te lances et tu t’envoles vers de nouveaux horizons.
Partir en voyage avec son copain : Valentin et Lilia en Nouvelle Zélande
Peux -tu te présenter rapidement.
Pas besoin de trop me présenter 😉 j’imagine que vous commencez à me connaître / nous connaître. On est parti avec Valou, j’avais 24 et lui 23 ans en février 2020. En revenant de son voyage en Australie, on s’est retrouvé et on s’est mis ensemble peu de temps après (j’avais attendu un an qu’il rentre d’Australie, je peux te dire que je me suis jetée dessus de peur qu’il ne reparte encore 😉 ).
Pourquoi ce choix de voyage ?
Je commençais ma dernière année de master en qualité sécurité environnement quand Val est rentré. Mes parents m’avaient toujours dit « va jusqu’au bout d’un master et après fait ce que tu veux ». C’est alors que monsieur m’a fait la plus belle proposition. Celle que j’attendais depuis le début de mes études..
« Veux-tu partir avec moi à la fin de ton master en Nouvelle-Zélande ? » BOUYYYAAAKASHAKALA la réponse tu la connais déjà haha.
On a décidé de partir pour un PVT d’un an et peut-être prendre une extension de visa par la suite. « Grâce » / à cause de ce virus mondial, ça va faire 13 mois qu’on est en terre kiwi.
Pour un Van Trip :
Pour moi, ce n’est pas seulement 13 mois à l’autre bout du monde, c’est surtout et avant tout une expérience riche en émotions. En 13 mois, j’ai l’impression d’avoir gagné 10 ans de vie supplémentaire. On court toujours après le temps, mais si tu prenais le temps de vivre certains moments tu te rendras compte qu’en fin de compte, le temps est si précieux qu’il ne faut pas le gâcher, même pas une seconde !!
J’ai appris sur moi en un an, plus que pendant les 6 dernières années où j’étais complètement perdue dans mes études.
J’ai appris sur moi, sur ce petit bout de femme, sur mes goûts, mes envies, mes réactions… Pendant un voyage en van comme le nôtre, on sort de notre routine quotidienne, c’est alors que tu vas provoquer plus de choses, des situations touchantes, stressantes, agréables… et c’est ainsi que tu évolues, que tu grandis.
J’ai appris sur moi, mais j’ai aussi appris sur mon coéquipier d’aventure, mon amoureux, celui qui a fait battre mon coeur dès que notre regard s’est croisé pour la première fois et que… (bon OK c’est beaucoup trop romantique j’arrête désolé haha🙈).
Valou c’était comme une évidence : il avait déjà fait l’Australie avec sa soeur, il était bon délire puis on s’entendait bien. C’était le cheval sur lequel il fallait que je mise sans aucun doute (spoil alert : je ne regrette pas du tout ce choix haha).
Partir voyager en couple ça peut être à double tranchant,
Soit ça passe soit ça casse. Encore plus quand tu vis dans un van de 3 m2, que tu es avec 24h/24 7j/7. Si ton couple passe cette étape…. tu sais déjà que tu vas être lié à vie avec lui par ce voyage, tous ces souvenirs et ces moments passés ensemble.
Est-ce que je te le recommande ?? Bien sûr que ouiii mais fonce ( bon OK après ce virus), mais si tu peux partir avec ta moitié ça ne peut qu’être bénéfique pour tous les deux, pour toi personnellement et pour ton couple, tu verras alors si tu te sens bien avec cette personne, si tu veux faire plus de projets avec …
Partir en voyage avec son copain : Pauline et Valentin en tour du monde
Pouvez-vous vous présenter rapidement.
Nous sommes Pauline et Valentin, amoureux depuis plus de 12 ans et passionnés par les voyages. En 2017, nous avons vécu l’une des plus belles expériences de notre vie en partant 9 mois en voyage et notamment 6 mois en van lors d’un roadtrip magique autour de l’ Australie . Nous avons profité d’être à l’autre bout du monde pour découvrir aussi l’ Indonésie , l’ouest des Etats-Unis et pour finir en beauté la Polynésie Française . Cette expérience aura changé nos vies, notre façon de voir les choses et surtout nous aura donné l’envie de découvrir encore plus le monde qui nous entoure.
A quel âge êtes-vous parties ?
Pauline 25 ans et Valentin 26 ans. On est parti après 9 années ensemble.
Nous avions le rêve de voyager au-delà de nos 5 semaines de congés payés, de nous évader d’une routine communément appelée « Métro, boulot, dodo » et de découvrir une nouvelle vie, une vie de nomade à parcourir un pays. Nous voulions explorer une partie du monde pour découvrir la diversité des paysages que nous propose dame nature sur terre, mais aussi tout l’aspect culturel et humain propre à chaque pays. Sortir de notre zone de confort et vivre tout ça ensemble.
On a été en Australie pendant 6 mois (notre pays coup de coeur), 1 mois en Indonésie, 1 mois dans l’Ouest américain et 15 jours en Polynésie française pour finir ce roadtrip en beauté, un voyage de 8 mois.
Etes-vous revenues de ce voyage changé ?
Oui vraiment ! Depuis cette folle aventure, les voyages rythment nos vies. Nous avons besoin de découvrir le monde que ce soit le temps d’un week-end ou sur plusieurs semaines, en France ou à l’étranger. Et quel plaisir de partager ses moments avec la personne que l’on aime, découvrir ensemble le monde avec sa diversité de paysages incroyables, ses cultures différentes, ou encore des rencontres inattendues. Avant tout ça on pensait avoir une maison, avoir une famille un chien et finalement notre vision des choses à changer après ce voyage on a envie de profiter au maximum de notre vie.
Nous recommandons ce voyage à 1000 % ! C’est une aventure qu’on oubliera jamais, il faut le vivre pour le comprendre! D’ailleurs c’est ce qui nous a donné envie de partir en Tour du monde, on espère en Septembre 2021 on croise fort les doigts 🤞🏻
Vous pouvez retrouver leur bilan en Australie juste ici .
Tu peux les contacter sur Instagram : Pauline et Valentin
Partir en voyage avec son copain : Ludivine et Maxence en Norvège
Moi c’est Ludivine, j’ai 22ans et je fais des études en Ingénierie de l’environnement à Montréal, mais à l’époque du voyage que je voudrais te raconter, j’avais 20ans, je vivais à Lyon et je suis partie avec mon chéri Maxence, avec qui j’étais depuis 2ans.
Alors, déjà il faut savoir que j’ai grandi dans une famille où le sport et le voyage sont les principaux sujets de conversations. Je n’ai pas passé une seule année sans voyager avec mes parents et ils m’ont offert la possibilité de découvrir une grande partie de l’Europe. Leur passion première, c’était le Triathlon, mais la deuxième, c’est la Scandinavie. J’ai grandi avec leurs récits de voyage sur la Norvège, leur premier voyage en amoureux où ils sont partis en 90 avec le camion aménagé de mon grand-père. Outre les paysages incroyables, la mentalité nordique et la protection de la nature faisait un point d’honneur à la maison.
En 2015, ils m’ont enfin emmené en Norvège, on a passé trois semaines de road-trip incroyables, à découvrir des fjords magnifiques et à dormir dans des cabanes perdues en nature. C’était sublime. A partir de là, c’était lancé, on m’avait vendu la Norvège, j’ai vu la Norvège, je voulais retourner en Norvège !
Quand je me suis mise avec mon chéri, je n’ai du coup pas arrêté de le bassiner avec mes idées de voyages saugrenues, je veux aller là puis là puis refaire ça et truc et bidule !
Or on ne peut pas faire le tour du monde en deux semaines avec notre petit budget.
Du coup, premier été ensemble, on part dans le but de visiter la Scandinavie à vélo (oui oui voyager à vélo c’est un autre sujet important chez moi, Triathlon + voyage = Voyager à vélo BOUM !) C’est quelque chose que j’avais déjà fait, voyager à vélo, c’est le fun, plutôt écolo et sportif, le combo parfait ! Cependant, la Scandinavie ce n’est pas plat, puis à force de recherches on a dévié le projet vers les pays baltes. Ce n’est pas ce sujet que je vais développer aujourd’hui, pourtant, c’est vraiment un voyage où il nous est arrivé de sacrées bricoles ! 😝 Bref, on avait fait un super voyage, on avait traversé 3 pays à vélo en 3 semaines à coût réduit mais l’objectif Scandinavie et Back to Norway n’était toujours pas atteint.
Eté suivant, un an d’amour ensuite. L’idée revient : on veut toujours partir en Norvège, mais cette fois, on veut partir longtemps, cette fois c’est objectif deux mois. Seulement, la Norvège, c’est cher, et deux mois là bas n’est pas en adéquation avec notre budget étudiant. Alors là, l’idée vient, pourquoi pas faire un volontariat ? Ca permettrait à Maxence de valider son mois de travail à l’étranger pour l’école, et ça nous permettrait de découvrir la vraie vie des norvégiens, chez eux, une culture différente de la nôtre à la source, au lieu de voyager seuls de notre côté. Got it, on s’inscrit sur Workaway, on se fait un profil et on postule. Dans des fermes, dans des foyers où ils cherchent des nourrices, etc… Puis on est reçus. Chez Trasti&Trine, une chambre d’hôte tenue par un couple, Trine, musher professionnelle et Johnny, un des meilleurs restaurateurs de Norvège.
Bingo, on débarque en juillet pour travailler avec eux pendant un mois. On est logés dans une cabine en bois typique dans la foret avec une salle de bains et une cuisine commune avec le reste du staff dans un autre bâtiment. Le matin, on s’occupe des chambres, on fait du ménage, on fait des lits… et l’après-midi, on fait des rénovations, on s’occupe du jardin ou on travaille avec les chiens ! Car oui, qui dit mushers professionnelles (Trine et sa fille Hannah) qui dit 60 huskies d’Alaska. Alors on apprend, on apprend à les nourrir, à les occuper, à les entrainer, à entretenir leurs niches…
On est arrivé sans rien connaitre des travaux ou du monde du mushing et on s’est retrouvé à devoir se débrouiller tous seuls !
Car oui, ils te disent quoi faire, mais débrouille toi par la suite, heureusement, on a été briefé par deux autres volontaires sur place, un allemand et un espagnol, mais sinon, tu fais tout seul, et tu apprends ! Et j’ai adoré ça, ne pas se sentir enfantisés ou trop choyés c’est un plaisir aussi. J’aurais des milliers de choses à dire sur ce voyage mais en tout cas, on a grandit dans cette expérience et je me souviendrais toujours de cette propriété, au-dessus du cercle polaire, dans la Laponie norvégienne où régnait une ambiance paisible, calme, loin de notre vie citadine habituelle. C’était un mois magique, mais comme je l’ai dit plus haut, on partait pour deux mois norvégiens.
Je n’ai jamais autant appris de choses improbables que pendant ce mois-ci. On a même repeint leur maison, je n’aurais jamais pensé faire ça un jour, moi qui aie plutôt l’habitude de passer mon temps à l’université à faire des maths ou à faire du vélo à la campagne ! On a aussi appris énormément sur la culture norvégienne. A la base, ils paraissent un peu rustres ces Vikings, ils ne sont pas très accueillants mais pour autant, ils sont d’une gentillesse dingue, et ils sont libres !
Alors pour optimiser notre voyage, après notre mois de volontariat dans notre paradis nordique plein de jolis toutous (qu’on a eu du mal à quitter d’ailleurs), on a décidé de partir à la conquête des Lofoten. On est parti, avec notre sac à dos, explorer les îles paradisiaques des Lofoten à pied, en bus et en stop. C’était une autre expérience incroyable, bien que parfois compliquée, car oui la météo en Norvège c’est pas toujours ça, alors quand tu campes et que tu passes tes journées à marcher sous la pluie, le moral peut en prendre un coup.
Mais comme mon breton de copain dirait, la Norvège c’est comme la Bretagne, il pleut et il fait soleil tous les jours ! Puis on oubliait vite les précipitations quand on campait en nature face à ces sublimes fjords.
Ce voyage nous a appris à nous acclimater, à faire avec ce qu’on à se satisfaire du confort minimum et surtout, à accepter l’imprévu.
Même si on avait déjà apprivoisé cet aspect du voyage l’an passé à vélo, cette année ça avait encore plus de sens. Entre la météo ou les transports aléatoires, le planning a tous les jours été remis en compte.
Heureusement, nous n’avions réservé aucun logement à l’avance, tout était fait au jour e jour, et quel plaisir que d’avoir autant de flexibilité ! C’est quelque chose que j’ai gardé pour les voyages à suivre, moi la passionnée er préparatifs, j’ai appris que suivre le cheminement du voyage et changer mes plans au jour le jour nous réserve de belles surprises !
Cette expérience était tellement belle que j’en parlerai des heures mais pour résumer, je recommande à 1000% ces modes de voyage, autant le volontariat que le voyage à pied en stop (encore plus dans un pays safe comme la Norvège où tu peux laisser ton sac et ta tente pendant des heures et revenir après ta randonnée sans que personne n’ait touché à tes affaires). Ces deux options sont différentes, le volontariat permet une immersion totale dans un foyer et dans une culture, mais permet moins de découvertes de paysage (hors jours de congés) mais le voyage à pied et en stop est plus lent qu’en voiture et est très imprévisible 😊
En tout cas, je ferai tout pour revivre cet été magique avec mon chéri, le sentiment de fierté qu’on avait en rentrant était puissant !
Ce voyage n’a fait qu’augmenter mon envie de partir vivre ailleurs, ma curiosité s’est développée de voyage en voyage et cette expérience a été une révélation.
Maintenant, quelques années plus tard, on vit tous les deux à Montréal (amour des pays du Nord quand tu nous tiens), et l’idée de repartir faire du volontariat ou partir en stop nous revient souvent. Comme tout le monde, on attend la fin de cette pandémie, pour revivre ces belles expériences de vie et ces belles rencontres. ❤
Tu peux la contacter sur Instagram : @divine_lulu
Partir en voyage avec sa soeur : Marine et Valentin en Australie
Peux-tu te présenter rapidement
Je m’appelle Valentin et j’ai 24 ans. Alors je suis parti en Australie en 2017 avec ma soeur j’avais à ce moment-là 21 ans et 26 ans pour ma soeur.
Durant mes études en BTS technico-commercial j’ai eu l’occasion par le biais de mon alternance d’échanger avec des collègues et plus particulièrement ceux qui étaient en relation clientèle à l’international. En les voyant, je me disais que ça devait être extra de pouvoir échanger en anglais, que ça devait ouvrir plus de portes, enfin bref un bon point sur le CV.
Et c’est a la fin de mes études ne sachant pas trop quoi faire, que je me suis dit « allez vas y je pense que c’est le moment pour moi de découvrir le monde » et de pouvoir développer mes compétences en anglais, m’enrichir d’une nouvelle expérience.
Été 2017 je contacte ma soeur qui à ce moment-là était en Amérique latine et je lui propose de partir avec moi pour 1 an en Australie. Et sa réponse fut immédiate « aller ça part !!! »
Je pense que ça été un choix naturel de partir en Australie avec ma soeur car on a toujours été proche tous les deux, elle ne savait pas trop quoi faire professionnellement à ce moment-là du coup la question ne s’est pas posée, 2 mois après les billets d’avion et le visa WHV ont été pris.
« Une expérience à jamais gravée surtout un lien indéfectible s’est créée entre nous deux »
On s’est donc retrouvé en novembre 2017 au pays des kangourous munis de notre petit van aménagé à sillonner cette immensité.
Nous nous sommes redécouverts tous les deux et je pense que ça a été bénéfique, nous avons tous les deux des caractères différents, mais tout aussi compatibles ce qui a fait de notre voyage une expérience fluide et pleine de surprise. Nous avons appris à nous écouter, à gérer des situations de stress, mais aussi à nous rapprocher en prenant du recul sur ce qu’on était en train de vivre.
Es-tu revenu de ce voyage changé ?
Le fait de partir voyager te change forcément, car tu bouscules tes habitudes, tu rencontres énormément de gens qui sont tous différents, avec un vécu différent et tu apprends à être à l’écoute, chose qui parfois est compliquée dans ton quotidien de tous les jours où tu ne prends pas le temps… et justement c’est ça qu’apporte le voyage c’est que tu n’as plus d’horloge, tu es free !! Tu as le temps de prendre ton temps.. (rouler, lire, méditer, discuter avec des gens de tout âge, apprendre de nouvelles choses ou tout simplement ne rien faire)
Je conseille à quiconque de partir 1 fois dans sa vie pour faire ce genre de voyage, partez 6 mois – 1 an en visa Vacances Travail par exemple, cela permettra vraiment de s’imprégner d’un pays, de prendre le temps de faire des choix, d’avoir une ligne directrice, mais semée de déviations et c’est ça l’expérience d’un voyage c’est tous ces moments imprévus qui vont faire de vous quelqu’un de nouveau, grandi !!
Tout peut changer en quelques secondes et il est grand temps de foncer et de réaliser ses rêves, car tout est possible il faut juste s’en donner les moyens, arrêter d’écouter les gens et faire ses propres choix.
Partir seule : Garance au Chili
Je m’appelle Garance Baby et j’ai 22 ans. Quand je suis partie j’en avais 20. A l’époque j’étais à la fac, j’étudiais l’anthropologie à la Sorbonne. J’ai toujours été attirée par l’aventure alors j’ai décidé de faire un échange international. C’est comme ça que je suis partie à Buenos Aires pour cinq mois.
Au début j’étais partie avec mon chéri, il est resté un mois et demi puis il est reparti, et je suis restée seule. Après un festival avec des amis, ils voulaient partir dans le nord, faire le désert d’Atacama et visiter les geysers. Moi ce qui me tentait plus c’était la Patagonie et son cadre bucolique, les chaînes de montagnes infinies, remplir sa gourde directement à la source, la végétation luxuriante… Je n’étais jamais partie seule finalement, puisque mon copain était arrivé avec moi au début de l’échange, on s’était installé ensemble, c’était rassurant et confortable. Mes amis ont vraiment essayé de me faire venir avec eux. Mais j’ai pensé que si je ne partais pas dans le sud, je le regretterais en rentrant, car il me restait un mois avant de rentrer en France.
Donc j’ai décidé de partir en solo, plus par force de circonstances que par réelle envie de partir seule finalement. J’ai acheté mes billets d’avions, comme ça je n’avais plus le choix, pas de retour en arrière possible. A part les billets d’avion, je n’ai rien préparé.
Es-tu revenue de ce voyage changé ?
En tant que jeune femme dans un pays étranger et en plus sans connexion internet (j’ai téléchargé toutes les maps sur mon téléphone, c’était mon seul outil), mes proches m’ont déconseillé ce voyage. “On sait jamais ce qui peut t’arriver”; “mais t’es une fille il faut partir avec quelqu’un”; ” mais du stop, vraiment ?”. En fait, ils se trompaient tous.
Forcément ce n’est pas une aventure sans risques, mais je ne me suis jamais sentie dans une situation d’insécurité et je n’ai fait que de belles rencontres.
C’était à un moment dans ma vie où j’étais pessimiste sur le monde, quand je regardais les nouvelles j’avais l’impression de regarder un mauvais film sur l’autodestruction de la civilisation humaine, à tous les niveaux de la société. Dans ma tête c’était inconcevable d’observer tant de mépris pour la nature, l’absence de considération humaine pour notre environnement et les autres humains, la soif insatiable de progrès, l’absurdité de mettre les priorités économiques au dessus de tout, de la sécurité, de la solidarité, de la vie.
Ce voyage m’a complètement bouleversé. Lorsque l’on voyage seul, on est obligé d’aller vers l’autre. On dépend de l’autre pour s’en sortir, mais aussi pour exister socialement. Quand tu fais du stop, tout ton voyage dépend de la générosité et de la confiance des autres pour t’accepter dans leur véhicule, et pareillement tu dois faire confiance aux inconnus qui te prennent pour faire un bout de chemin ensemble. La plupart du temps, c’était des locaux qui me prenaient dans leurs camions, des travailleurs. Une fois, j’ai dormi 1 semaine chez un garçon que j’avais rencontré sur instagram car il faisait de belles photos d’un parc que je voulais visiter.
Finalement partir seul(e), ça te permet de te lancer complètement dans ton voyage, de laisser à la porte tous tes préjugés et tes jugements, pour te laisser porter par la générosité de ceux qui veulent bien te tendre la main au cours de tes aventures. Je pensais passer beaucoup de temps seule et finalement j’étais toujours entourée.
Ce voyage m’a complètement changé car il m’a redonné foi en l’humain.
J’ai compris par les sentiments et l’expérience les concepts de solidarité, d’accueil, d’échange, de générosité. Des gens qui n’avaient rien m’ont tendu la main sans hésiter. Quand on vit à Paris, ce sont des mots inconnus. Et puis on part à l’étranger, et là tout prend son sens.
Je recommande à tout le monde ce genre d’expérience. C’est une aventure humaine, une éducation du sentiment, une réalisation de la connexion qui existe entre tous les humains et leur environnement, c’est une immersion dans le cosmos. Il ne faut pas avoir peur, car il y aura toujours quelqu’un pour nous tendre la main. Je manque de mots pour décrire l’effet que ce voyage a eu sur moi, sur ma personnalité, sur ma vie. En tout cas aujourd’hui, je vis et je travaille à l’étranger, en Côte d’Ivoire, et l’aventure ne fait que commencer. J’ai réalisé un petit film amateur sur mon voyage car au-delà des échanges que j’ai eu et qui ne pourraient être traduits dans un film, j’en ai pris plein les yeux, vous pouvez le retrouver ici .
Partir seule : Ines aux Etats-Unis
Je m’appelle Ines, j’ai 26 ans, je travaille dans le marketing stratégique, je vis près de Paris, et je suis fiancée, je me marie dans un an et demi ! Avant, j’étais quelqu’un qui n’aimait pas spécialement voyager, je n’étais jamais vraiment partie à part avec mes parents dans le Sud chaque été, et à Milan chez ma famille. Mais depuis ce voyage, j’ai appris à vraiment aimer ça et depuis je ne m’arrête plus !
A quel âge es-tu partie ?
Je devais faire un stage pour mes études à l’étranger et j’ai toujours été attirée par les USA, c’est un pays qui m’a toujours fait rêver.Combien de temps ? Je suis partie 3 mois en Caroline du Nord, à Charlotte, et j’en ai aussi profité pour visiter Miami.
Enormement. Partir seule à l’autre bout du monde, sans sa famille, sans ses amis, sans ses repères et sans connaitre personne sur place, c’est un véritable challenge. Mais je ne regrette pas du tout : j’ai appris à me débrouiller seule, j’ai grandi, j’ai beaucoup appris sur moi. C’est un voyage qui m’a énormément apporté personnellement comme professionnellement, et j’ai fait de superbes rencontres sur place, des copains et copines avec qui je suis toujours en contact presque 10 ans après. Je vous recommande à fond ce voyage.
Préfères tu voyager seule ou avec ton copain ?
Depuis que je suis avec mon copain (6 ans bientôt) je n’ai pas eu l’occasion de re voyager seule, je ne voyage qu’avec lui, mais j’aimerais beaucoup réitérer cette expérience quand on pourra voyager de nouveau ! 🙂
Tu peux la contacter sur son Instagram : Ines.
Partir seul : Hugo en Australie
Je me présente je m’appelle Hugo j’ai 30ans. J’ai suis parti en voyage seul après une mauvaise passe personnelle où je ne savais pas vraiment quoi faire de ma vie.
A quel âge es-tu parti ?
À 25 ans j’ai décidé de partir une première fois 6 mois en Angleterre seul avant de partir 2 ans en Australie. Ça a été la plus belle aventure et le meilleur choix que j’ai pu faire dans ma vie.
Je voulais sortir de ma zone de confort, de ma famille, à l’autre bout du monde dans une langue étrangère. J’ai su affronter toutes mes peurs et tous les aprioris que j’avais avant de partir.
Cette expérience m’a vraiment changé, j’ai ouvert les yeux sur le monde, le vrai bonheur loin de tout confort dans une tente ou dans un van. J’ai rencontré des gens incroyables, des frères, des soeurs, des amis pour la vie partout dans le monde.
J’ai pu apprendre l’anglais couramment grâce à mes colocataires british. Cela a pu m’ouvrir des portes dans le job de mes rêves au Cirque du Soleil où j’ai monté les échelons jusqu’à devenir manager.
Je conseille à 1000000 %t à tous ceux qui hésitent à partir seul de foncer! Vous ne le regretterez pas.
Tu peux le contacter sur instagram : Hugo . S
Partir en voyage seule : Sarah aux Etats-Unis
Je m’appelle Sarah, j’ai fait mon premier voyage en solo il y a maintenant 9/10ans, j’avais 21ans à l’époque, je sortais d’une rupture amoureuse pas simple, une amie à moi travaillait à Los Angeles, j’allais lui rendre visite pendant 1 semaine, pour me changer les idées. Elle y était dans le contexte du travail, hors quitte à avoir la chance de pouvoir y partir, je voulais me faire kiffer, souffler, faire quelque chose de nouveau pour me retrouver et faire le tour de l’Ouest pendant 3 semaines. Partir aussi loin, louer une voiture, partir sur les routes américaines, à la découverte du grand canyon, Las Vegas, San Francisco.. C’était un rêve pour moi à l’époque.
J’avais dans l’idée de faire un WH d’un an en Australie, de faire une bonne coupure avec ma vie quotidienne, donc je me suis dit que ça pouvait être un bon test de débutante de commencer par 3 semaines, seule aux USA, d’autant plus que l’anglais et moi ce n’était pas une grande histoire d’amour. Je suis quelqu’un qui a tendance à se lancer les yeux fermés, sans se poser de questions, c’est donc ce que j’ai fait, au plus grand désespoir de ma mère (lol). Ce voyage m’a fait me sentir vivante, libre, ça a réveillé en moi, cette soif de découverte, et m’a conforté dans ce pour quoi je me levais le matin pour aller travailler.. Économiser pour repartir à un moment donné. Quand ? Comment ? Combien de temps ? Peu importe, tant que je partais.
Et puis vla qu’au retour de ce 1er voyage, j’ai fait la rencontre d’un garçon qui venait de passer 2 ans en Nouvelle-Zélande et qui devait partir en Australie 6mois plus tard. Je savais plus ou moins dans quoi je m’embarquais, je m’étais dit que ça se terminerait certainement à son départ.. J’avais la même envie que lui, mais premièrement je ne voulais pas me greffer à son projet et deuxièmement j’étais en CDI. Puis au fils des mois, notre relation à pris une nouvelle tournure, le voilà qu’il retarde son voyage, et qu’on réavise nos projets.. Il n’est donc pas parti au bout 6mois… mais il m’a attendu.
J’ai enclenché une demande d’année sans solde à mon travail, qui a été accepté 30jours plus tard, pour notre plus grand bonheur. Et 6 mois plus tard, on s’envolait pour 6mois et demi en Australie, en passant 1 mois en Indonésie en chemin.En Australie nous y avons voyagé en break et beaucoup travaillé le reste du temps, pour par la suite pouvoir voyager 1 mois en Nouvelle-Zélande en break également puis 4 mois en Amérique latine, au Pérou, en Argentine, Bolivie, Chili et au Brésil pendant la coupe du monde.
Nous avons terminé ce voyage ensemble, et sommes rentrés main dans la main, des souvenirs plein la tête, et tellement plus proches l’un de l’autre. Cependant, les choses de la vie à notre retour on fait que nous sommes actuellement plus ensemble, mais ce voyage, ces souvenirs, on nous les enlèvera pas.
Depuis 6ans/7ans maintenant voilà que je voyage seule avec mon sac à dos.
Je suis partie en Asie (Japon, Philippines, Vietnam, Cambodge, Indonésie, Singapour), en Afrique (Tanzanie & Madagascar), en Amérique latine (Cuba, Mexique, Colombie). Je suis partie seule, non pas car je n’ai pas d’amis comme j’ai déjà pu l’entendre, mais simplement, car nous pouvons pas forcement avoir des vacances en même temps, mes amis n’en ressentent pas forcément l’envie et/ou voyagent différemment… même un(e) ami(e) n’est pas forcément le bon compagnon de voyage, c’est un peu comme les colocations entre amis, il faut vraiment avoir les mêmes attentes et vivre de la même façon.
Alors là, voilà une nouvelle forme de voyage qui m’a conquise. Ces nombreux voyages solos m’ont fait me découvrir réellement, chaque fois un peu plus, m’ont appris à me supporter, m’écouter, et aimer ma propre compagnie. Ils ont fait sauter mon semblant de carapace de timidité, m’ont prouvé à quel point je pouvais être sociable (oui, je suis capable de parler à un mur) et ont révélé chez moi patience et facilité d’adaptation, peu importe les situations ou personnes auxquelles je pouvais être confrontée. Je me sens aujourd’hui comme un chat, je retombe sur mes pattes.
J’aime le fait de rencontrer de nouvelles personnes, différentes, d’âge différent, et ce partout, dans la rue, dans un avion, dans un bus, dans un resto, sur une plage et d’échanger, partager un moment court ou de fois pendant quelques jours voir semaines. Lorsque qu’on voyage seul, on est plus enclin et ouvert à la conversation que lorsque qu’on voyage en couple ou entre amis… en réalité on est jamais seul, tout peut partir d’un simple sourire. Et à contrario les moments seuls ne sont pas subis, mais volontairement choisi.
Je n’ai fait que des rencontres exceptionnelles autant avec des voyageurs qu’avec les locaux, des rencontres avec lesquelles pour certaines, j’ai gardé des liens.
J’aime pouvoir avoir cette liberté de tout, de prendre mes propres décisions et des fois d’en assumer les conséquences sans se cacher derrière quelqu’un (c’est le jeu ma pauvre Lucette haha). Pour ma part je fais le choix de partir sans plan, sans réservations (seulement la 1re nuit), j’avance à mon rythme, au gré de mes envies, mes rencontres, et surtout mon intuition.
Je parle d’intuition, car il est évident que dans le fait de partir seule, surtout en tant que fille, on est “exposée à plus de risques”.. C’est surtout ce que rabâche l’entourage avant chaque départ.
Mais je pense qu’il ne faut pas tout dramatiser, et qu’il faut faire preuve de bon sens, comme on doit le faire déjà chez soi quand on vit dans une grande ville, ne pas s’aventurer dans une rue pas éclairée toute seule, dans des “quartiers” dits “pas sécures” de nuit, ne pas exposer ses objets clinquants et/ou de valeurs, déballer son argent à tout bout de champ, et aussi respecter certains codes vestimentaires… le monde n’est pas fait que de gens hostiles, bien au contraire, en tant fille voyageant seule, on a toujours été aux petits soins avec moi, on m’a toujours proposé de l’aide, tendu la main.
Tu peux la contacter sur son intagram : @saraahcollot
Partir en voyage avec des inconnus : Chloe en Amérique du Sud
Je m’appelle Chloë, j’ai 25 ans et je vis sur Nantes. J’ai pris la décision de partir à la suite de mes études (diplôme obtenu en octobre 2016), je me cherchais dans ma vie perso et professionnelle. J’ai toujours souhaité aller en Amérique du Sud et plus particulièrement au Pérou, mais je ne savais pas avec qui partir donc j’ai cherché des compagnons de route.
J’avais 21 ans quand j’étais sur les routes Sud Américaine à vadrouiller entre plusieurs pays : Argentine, Chili, Bolivie, Pérou et Cuba.
Je ne voulais pas partir avec quelqu’un de mon entourage (d’ailleurs personne ne voulait partir si longtemps !). Pour autant, je ne voulais pas partir toute seule. Je me suis lancée dans des recherches sur internet “rencontrer des voyageurs”, qui m’ont amené sur le site “TripTrib”. Il y avait des tas d’annonces de personnes qui cherchaient des co-voyageurs, pour partir en tour du monde, dans des pays spécifiques, pour des petits ou longs séjours. J’ai donc affiné mes recherches et je me suis mise à discuter avec une personne qui elle-même parlait avec 2 autres. Après plusieurs messages ça a matché directement entre nous !! Il fallait bien évidemment qu’on ait sensiblement le même budget, les mêmes envies et la même façon de penser. Nous étions 4 inconnus (3 filles, un garçon) venant de Nice, Saint Etienne, Pau et Nantes.
L’une des filles avait comme projet de rester 1 an, avec les 2 autres nous étions partis pour 5 mois et demi. Elle souhaitait partir avec nous et faire un bout de chemin en notre compagnie avant de prendre plus son temps une fois la Patagonie passée. On se met d’accord sur un départ fin janvier 2017, chacun part de l’aéroport le plus proche de chez soi avec pour même destination Madrid. Je suis partie de Rennes et j’étais la deuxième à arriver à Madrid, on commence à parler, à apprendre à se connaître, la pression retombe et on attend les 2 autres ! Quelques heures plus tard nous voilà au complet et direction BUENOS AIRES.
Ma famille m’a toujours soutenu dans ce projet malgré les inquiétudes qu’ils avaient ils ne m’ont jamais freiné. Je pense que c’est aussi grâce à eux que j’ai pu vivre tout ça.
Nous n’avions rien réservé et on avait vaguement parlé de ce que nous souhaitions voir dans chaque pays. La première soirée en Argentine on apprend à se connaitre et tout se passe super bien !! Me voilà enfin totalement rassurée et j’avais tellement hâte de poursuivre l’aventure en leur compagnie.
Au bout d’un mois, celle qui voulait rester un an nous quitte au Chili, quelle tristesse!! A vivre 24h/24h avec des personnes, ça crée des liens incroyables. On partage tout, nos humeurs, nos galères, nos rires, nos randos, nos découvertes exceptionnelles et ça croyez moi c’est ce qu’il y a de plus magique. Je n’aurais pas pu imaginer découvrir de tels paysages sans le partager avec des amis. Si tout s’est bien passé, c’est que nous avions tous la même façon de penser et on savait prendre du temps chacun pour soi et surtout on communiquait pour qu’on s’y retrouve tous.
Tu apprends à te découvrir, toi et tes compagnons de voyage tout au long de ce trip.
Alors un conseil : FONCEZ pour ce genre de voyage, osez les choses, parlez-vous et vivez vos rêves. 🌎
Tu peux la contacter sur son Instagram : Chloë .
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COMMENTS
Les solutions. Il peut arriver que votre compagnon (ou compagne) veuille vous suivre, mais pour une raison ou une autre, ne le puisse pas. Dans ce cas, vous pouvez évidemment retarder votre voyage pour partir ensemble. Mais, lorsque votre amour ne le veut pas, je ne vois que trois possibilités : 1. Il part avec vous.
Oui il est possible de voyager seule quand on est en couple, au même titre que s'adonner à des activités culturelles ou sportives, seule. Cette affirmation repose sur un constat simple : chaque couple fonctionne comme il l'entend et fait ce qu'il veut.
Go! Bonjour, je viens demander des conseils, j'ai 3 semaines de vacances cet été mais je suis célibataire et beaucoup de mes amis sont en couple et j'aimerais vraiment me changer les idées ...
C'est pourquoi, dans des moments aussi difficiles, vouloir obtenir un indice ou une sorte de repère est complètement compréhensible. La psychothérapeute Mira KIRSHENBAUM a souligné 10 principaux critères à analyser afin de faciliter votre compréhension de la situation.
Bref, à toi de voir. Ça veut dire préparer un peu 2 voyages : celui avec ton copain et le faux voyage si ça n est pas au même endroit (tu ne le prépares pas mais tu te renseignes. Comme ça tu sais répondre à des questions si besoin). Si tes copines rencontrent tes parents, elle doivent donner le change. Pour les photos ...
Du rêve au cauchemar : les 9 pièges. Le voyage en couple offre de nombreux avantages et bienfaits, tant pour le développement personnel de chaque conjoint qu'au niveau du couple. Véritable accélérateur relationnel, le voyage permet de faire un bond dans la maturité et l'intimité du couple… « quand tout se passe bien ».
Voyager seul parce que personne n'est disponible - Vous avez posé des jours de congés (ou on vous les a imposés)... mais personne de votre entourage ne peut partir en même temps que vous. Faut-il se priver de voyager ou se dire au contraire qu'on va profiter à fond de ce moment pour se concocter un programme en phase avec ses goûts ?
Circuits découverte, randonnées, séjours en clubs, safaris, vacances à la mer ou à la montagne… Les Covoyageurs vous proposent plus de 200 voyages en petits groupes pour ne plus jamais partir seul ! Vous avez encore quelques appréhensions à l'idée de partir seul?
Partir en voyage avec son copain : Pauline et Valentin en tour du monde. Pouvez-vous vous présenter rapidement. Partir en voyage avec son copain : Ludivine et Maxence en Norvège. Partir en voyage avec sa soeur : Marine et Valentin en Australie. Partir seule : Garance au Chili. Partir seule : Ines aux Etats-Unis. Partir seul : Hugo en Australie.
Sortir avec un mec qui voyage beaucoup, ce n'est pas une sinécure. Ce n'est pas pour tout le monde. Je pense être bien placé pour te donner ces quelques conseils. Je passe l'essentiel de l'année à l'étranger depuis une dizaine d'années. Mon expérience m'a enseigné quelques leçons….