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Cette année, compte-tenu du contexte imposé par l’organisation des Jeux Olympiques, la Grande Braderie se déroulera exceptionnellement le dimanche 15 septembre 2024. C' est le rendez-vous incontournable pour dénicher les bonnes affaires à la braderie de Tours. Les commerçants du centre-ville et plus de 750 exposants vous accueillent tout au long de la journée. Retrouvez également le vide-grenier sur le boulevard Béranger. Une belle journée à partager en famille ou entre amis.

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Braderie de Tours : circulation, espace de seconde main, troc entre particuliers, tout savoir sur la 29e édition

• Romain Dézèque
• France Bleu Touraine

La 29e édition de la braderie de Tours a lieu ce dimanche. Avec une nouveauté cette année : un espace dédié à la seconde main, place de la Résistance. Plus de 100.000 personnes sont attendues. Comme chaque année, la circulation sera très restreinte dans le centre de Tours.

C'est un rendez-vous incontournable à Tours. La 29e édition de la Braderie se tient ce dimanche. Plus de 100.000 personnes sont attendues toute la journée. Pour cette édition, une nouveauté : un marché de seconde main, installé place de la Résistance. " Il faut trouver des solutions dans cette période de crise, il y a un problème de pouvoir d'achat , assure le maire Emmanuel Denis. " Il y aura donc des stands où on pourra faire réparer son petit électroménager, il y a aura un marché de seconde main, il y aura aussi des stands avec plein d'idées éco-responsables sans oublier l'espace troc entre particuliers, boulevard Béranger, présent chaque année. " Autre rendez-vous prisé de certains chineurs : la vente de matériel scolaire, à l'angle de la rue Nationale et de la mairie de Tours. Les cyclistes profiteront également d'un espace de réparation de vélos devant la gare.

Comme chaque année, le plan de circulation sera adapté dans le centre-ville (voir carte ci-dessus). Des parkings vélos éphémères seront installés. Fil Bleu proposera un tarif préférentiel à 1,90 euros la journée.

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L’enquête publique de la 2e ligne de tramway et du bus à haut niveau de service de Tours Métropole commence aujourd’hui. Jusqu’à la fin octobre, tout un chacun peut y contribuer. Nous vous faisons part de nos observations.

Elle était attendue depuis plusieurs années. Du 23 septembre au 31 octobre , la préfecture d’Indre-et-Loire organise l’enquête publique de la 2e ligne de tram et du futur bus à haut niveau de service (BHNS) de la métropole tourangelle. Une étape supplémentaire vers leur réalisation est donc en train d’être franchie. Sa mise en service est attendue pour la fin du 1er trimestre 2028 .

Cette procédure réglementaire doit permettre aux citoyens de s’informer et de s’exprimer sur les projets structurants de leur territoire afin de les améliorer par de l’expertise d’usage. Nous saisissons cette opportunité pour formuler la présente contribution.

Jamais 2 sans 3

Et si cette 2e ligne de tramway était l’occasion d’en créer une 3e ? Alors qu’à l’horizon 2028 la métropole de Tours sera dotée des 4 branches de tramway (vers Tours Nord, Joué-lès-Tours, La Riche et Chambray-lès-Tours), y faire circuler des tramways uniquement entre Tours Nord et Joué-lès-Tours (ligne A) et entre La Riche et Chambray-lès-Tours (ligne B) serait un non-sens absolu.

L’aiguillage en triangle de la place de la Liberté doit être pleinement exploité de manière a également faire circuler des tramways sans rupture de charge entre La Riche et Tours Nord, évitant ainsi une inutile correspondance à la station « Charcot ». L’occasion de créer une 3e ligne sans débourser un centime de plus en infrastructure . Angers l’a fait avec en 2023 en inaugurant sa nouvelle ligne .

Cette optimisation des voies de tramway est étonnement absente du dossier de concertation . Le syndicat des mobilités de Touraine (SMT) doit corriger le tir à l’issue de l’enquête en intégrant ce format d’exploitation dans la négociation de la future délégation de service public pour le réseau bus+tram. L’appel d’offres est déjà lancé pour un renouvellement prévu pour 2026. Un service similaire entre Chambray-lès-Tours et Tours Nord mérite également d’être étudié.

Quel terminus pour Chambray-lès-Tours ?

L’exploitation de cette future étoile aurait également un intérêt économique en optimisant son utilisation afin d’améliorer le service rendu aux habitants. Cela est loin d’être un détail pour un projet qui n’a eu de cesse de voir ses coûts s’envoler. Les retards successifs font qu’il est aujourd’hui estimé à 495 millions d’euros HT , dont 462 millions pour la ligne B et 33 millions pour le bus à haut niveau de service.

D’autres économies sont également à aller chercher du côté du terminus sud. Le tronçon entre l’hôpital Trousseau et le quartier de la Papoterie à Chambray-lès-Tours est majoritairement bordé de bois classés . Cette faible densité de population justifie difficilement un mode de transport aussi capacitaire qu’un tramway. A proximité, le quartier fortement peuplé des Grands Champs à Saint-Avertin demeure le grand oublié du projet . Sa pertinence doit être re-questionnée à l’aune de l’enquête publique.

S’il est probable que la municipalité chambraisienne s’oppose à un raccourcissement de la ligne au niveau de son centre-ville, la construction d’une voie unique pourrait constituer une alternative intéressante pour rejoindre la Papoterie. Cette solution pragmatique permettrait à la fois de réduire l’investissement et les coûts d’exploitation en faisant en sorte qu’un tramway sur 2 effectue son terminus au niveau du château de la Branchoire.

S’il peut être pertinent dans certains cas, il faudra tout de même veiller à ce que le report modal de la voiture vers le tramway motivant la construction du parking-relais de la Papoterie ne se fasse pas au détriment du train pour les habitants du Lochois. Rappelons que la Région Centre-Val de Loire a récemment investi 36 millions d’euros pour la rénovation de la ligne SNCF Tours-Loches . Des précisions sur la « compensation » de la zone humide détruite par ce nouveau parking seraient également les bienvenues.

Notons que d’autres économies – bien que plus marginales – peuvent être réalisées le long de la future ligne B. Nous en voulons pour preuve certaines démolitions surprenantes telles que celle de la maison du 30-32 rue Hélène Boucher à Tours. Une modification de la courbe au sortir des Beaumonts suffirait à l’épargner et ainsi à sauver l’une des plus anciennes bâtisses de ce quartier .

Quelle vision pour les transports métropolitains de demain ?

Plus globalement, à la lecture du dossier d’enquête publique, un manque de vision de nos décideurs quant à un réseau transport en commun mature à l’échelle de l’aire métropolitaine tourangelle se fait sentir.

A quoi ressemblera-t-il ? Où en sont les études des futures lignes de tramway promises depuis plusieurs années ? Quid de l’interconnexion avec le service express régional métropolitain (SERM) et de potentielles lignes de tram-train ? Autant de questions qui demeurent pour l’heure sans réponses . Il s’agit pourtant d’éléments décisifs pour s’exprimer sur le projet aujourd’hui présenté au public.

Des aiguillages supplémentaires à intégrer dès à présent

Nous en voulons pour preuve l’absence de toute anticipation quant à de futurs prolongements du tram . Dès à présent, il serait judicieux d’intégrer des aiguillages supplémentaires en direction de la partie méridionale de l’avenue du Grand Sud à Chambray-lès-Tours – afin de rallier ultérieurement le secteur de Chambray 2 – ainsi que devant l’hôpital Trousseau , pour desservir le quartier Saint-Avertinois des Grands Champs.

La même logique pourrait s’appliquer place de la Liberté à Tours où le début d’une voie se dirigeant vers le nord de l’avenue de Grammont pourrait être posé . Avec le renforcement de l’offre de tramway en centre-ville, il s’agirait de proposer à terme un service plus direct entre Jean Jaurès et Liberté n’effectuant pas systématiquement un détour par le quartier du Sanitas.

Tout l’enjeu est de ne pas reproduire les erreurs de la 1re ligne . Si des tests avaient bien été effectués au carrefour de Verdun durant sa construction, aucun aiguillage n’avait finalement été intégré en direction de Tours Sud.

Conséquence directe, nous savons d’ores et déjà que la ligne A devra être interrompue durant une longue période pour installer cette aiguille indispensable à la 2e ligne. Bien des désagréments et des surcoûts auraient pu être évités si cela avait été correctement anticipé à l’époque.

Quid des connexions tram-train ?

L’interconnexion tram-train ne semble pas beaucoup mieux lotie. Alors que l’étoile ferroviaire tourangelle a été récemment labélisée « service express régional métropolitain » , le dossier de l’enquête publique est peu bavard sur ses éventuelles interconnexions avec le réseau de tramway.

Outre la gare de Tours, plusieurs endroits semblent pourtant y être prédestinés. A la croisée de la ligne SNCF de Tours au Mans, du boulevard périphérique et de la future ligne B de tramway, la partie ouest de la rue de la Mairie à La Riche fait partie de ceux-là . Rien n’est pourtant dit à son sujet. Rien non plus sur le carrefour de Verdun à Tours où une zone intermodale train-tram-bus est évoquée de longue date.

Ce constat est aussi valable à Saint-Pierre-des-Corps où le projet de ligne de bus à haut niveau de service desservant uniquement le centre commercial des Atlantes ne saura pas faire oublier le projet de tram-train au départ de la gare de Tours et qui, une fois en insertion urbaine à partir de la gare TGV, desservirait le quartier de la Rabaterie et la porte métropolitaine Est.

Tous ces silences sont d’autant plus regrettables que nous savons que la décarbonation de nos déplacements doit passer par des solutions de mobilité de plus en plus intégrées . L’expérimentation d’un billet unique d’ici la fin de cette année avec les trains SNCF et les réseaux de Tours, Caen et Le Mans en est sans doute la meilleure illustration.

Des aménagements piétons et cyclables qualitatifs, mais qui restent à bonifier

Dans un contexte où les modes de déplacement actifs sont en plein essor, les citoyens sont de plus en plus attentifs à la qualité des aménagements piétons et cyclables qui  sont proposés. Nous l’avions déjà remarqué lors des réunions publiques de juin dernier avec de nombreuses prises de parole à ce sujet.

Si la copie de cette 2e ligne semble être meilleure que celle de son aîné , plusieurs secteurs posent tout de même question. C’est par exemple le cas à proximité du futur terminus « Bords de Loire » à La Riche. Route de Saint-Genouph, la piste cyclable unidirectionnelle située sous les ponts SNCF et du boulevard périphérique serait remplacée par une simple voie verte.

Les 2 voies de tramway devant se substituer à celles aujourd’hui utilisées par les automobilistes, l’espace est pourtant suffisant pour conserver la configuration actuelle. Les 2 pistes unidirectionnelles et les 2 trottoirs doivent donc être conservés .

Nous savons que ces zones de cohabitation non différenciées entre piétons et cyclistes sont toujours une source de conflits d’usage . Une autre voie verte est malgré tout proposée aux limites de Tours, de Chambray-lès-Tours et de Joué-lès-Tours, avenue du Grand Sud. S’agissant de l’ancienne route nationale 10, les enjeux d’apaisement sont majeurs .

Avec une largeur de voirie d’environ 25 mètres, difficile de croire qu’il ne serait pas ici possible de séparer les différents flux. Là aussi, il est encore temps de revoir la copie pour proposer une piste cyclable bidirectionnelle correctement séparée du trottoir.

Des précisions seraient également appréciées au sujet d’une éventuelle continuité piétonne et cyclable visant à améliorer la desserte de l’hôpital Bretonneau à Tours. La station de tramway étant située à 500 mètres de son entrée principale, il est certain que le « trottoir cyclable » actuel du boulevard Tonnellé n’est pas satisfaisant pour le déplacement d’un public qui présente souvent d’importants problèmes de mobilité.

Vous avez dit bus à « haut niveau de service » ?

Souvent dans l’ombre du projet de tramway, la ligne de bus à haut niveau de service est elle aussi soumise à l’avis des habitants dans le cadre de cette enquête. Dans 4 ans, elle reliera Les Douets à Tours Nord au centre commercial des Atlantes à Saint-Pierre-des-Corps.

Au nord de la Loire, aucun changement n’est à signaler. Son itinéraire reprendra l’actuel tracé de la ligne Fil Bleu 2 Tempo. Dans le centre-ville de Tours, son insertion est plus discutable. Aucun site propre n’est par exemple prévu rue Mirabeau et rue Edouard Vaillant .

S’agissant d’artères très souvent congestionnées, il est à craindre que la régularité – et donc l’attractivité – de cette nouvelle offre de transport en pâtisse. A minima, il serait souhaitable qu’un nouveau plan de circulation reporte le flux automobile du quartier Mirabeau vers le carrefour des Français Libres, dimensionné pour un trafic important. Et ce, d’autant plus que cela est une demande récurrente des riverains . Il s’agirait là d’une condition nécessaire à la mise en place d’une voie réservée .

Nous faisons également part de notre étonnement quant à la faible ambition en matière de végétalisation le long de son itinéraire. Prenons l’exemple du boulevard Heurteloup. Alors que la création de nouveaux sites propres sur cet axe est à saluer, seuls les pieds des platanes seront désimperméabilisés.

Afin de développer de nouveaux îlots de fraicheur, il serait pertinent de réaliser cette opération sur toute la longueur du mail historique comme cela a déjà été fait entre la place Jean Jaurès et du Général Leclerc.

Enfin, le terminus corpopétrussien aux Atlantes pose question. Interrogés sur ce point en réunion publique , les porteurs du projet défendent ce choix en évoquant un prolongement ultérieur de la ligne vers la gare TGV de Saint-Pierre-des-Corps . Le « retournement » de son accès vers le sud à une date inconnue est avancé. Il s’agirait d’une approche purement routière qui consisterait à le relier au futur échangeur autoroutier de Rochepinard.

Autant dire que ce projet qui fleure bon le XXe siècle semble être déjà mort-né . Quoiqu’il en soit, il semble certain que ce nouvel axe BHNS ne facilitera en rien les déplacements des habitants de la 4e commune la plus peuplée du département tant sa localisation est excentrée.

Pour l’heure, aucune perspective en matière de développement de transport en commun ne leur est malheureusement proposée. Nul doute qu’ils sauront se mobiliser d’ici la clôture de l’enquête publique le jeudi 31 octobre 2024 à 17h .

Comment s’exprimer et déposer son avis ?

Pour consulter les documents et participer à l’enquête publique, plusieurs solutions s’offrent à vous :

• Un registre dématérialisé  est mis à disposition du public durant toute la durée de l’enquête en cliquant ici , ainsi  qu’une adresse courriel :  [email protected] ;
• Un registre papier  est également disponible dans les mairies de Chambray-lès-Tours, La Riche, Tours, mairie annexe des Fontaines à Tours, Joué-lès-Tours et Saint-Pierre-des-Corps ;
• Par courrier  au siège de l’enquête publique : Mairie de Tours, 3 rue des Minimes, 37 926 Tours Cedex 9 ;
• Lors de permanences,  la commission d’enquête se tiendra à la disposition du public aux dates et lieux  indiqués ici .

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Grande braderie

Le 15/09/2024

Rue Nationale | Tours

Cette année, compte tenu du contexte imposé par l’organisation des Jeux Olympiques, la Grande Braderie se déroulera exceptionnellement le dimanche 15 septembre 2024. C'est le rendez-vous incontournable pour dénicher les bonnes affaires à la braderie de Tours.

Les commerçants du centre-ville et plus de 750 exposants vous accueillent tout au long de la journée. Retrouvez également le vide-grenier sur le boulevard Béranger. Une belle journée à partager en famille ou entre amis.

Renseignements

Où : Rue Nationale 37000 Tours

Dates et horaires :

• Dimanche 15 Septembre 2024 de 8h30 à 19h

Tarifs :

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• COUNTRY Russia
• POPULATION 600,000
• LANGUAGES Russian
• TIMEZONE UTC +5
• NOTABLE LANDMARKS Trinity Monastery; Voznesensko Georgievskiy Church
• Getting Around
• Sightseeing

Tyumen, the first Russian settlement in Siberia, lies 2,500km (1,600 mi) east of Moscow and behind the Ural Mountains. The Tyumen Oblast (region) has seen significant economic growth over the past twenty years, fuelled by the discovery and exploitation of significant oil fields.

Tyumen is also an educational centre, with more than forty thousand students.

Originally Tyumen was called Chimgi-Tura and its origins probably lay with the merchants from the ancient trade centres of Samarkand and Bukhara, who needed Siberian rivers to transport their goods to northern markets. For a long time Chimgi-Tura was the capital of Tyumen Khanate, which was a part of the Mongol Golden Horde Empire. With time Chimgi-Tura was renamed Tyumen, a Mongol word meaning “Ten thousand people.”

Russian Tyumen was established in 1586, when the first military mission sponsored by the Tsar and led by Ermak, mainly to respond frequent attacks of Khan Kuchum, seized the town. It then remained a quiet provincial Siberian city up until the 1960s. Most of its inhabitants lived in wooden houses along the Tura and Tyumenka rivers, for which it became known as the “capital of villages.”

Being a major transportation point to Eastern Siberia and the Russian Far East, Tyumen has experienced all major historical events in Russia. It has seen the Decembrists on their way to exile in Irkutsk, Tsar Nicholas II and his family to their final destination of Ekaterinburg, Revolution turmoil, Civil War, bloody uprisings against the new Bolshevik food policy ( prodrazverstka ), Gulag prisoners, and more. Many famous people were born or studied in Tyumen. Among them is the famous writer M. M. Prishvin. His essays about nature are filled with harmony and the art of words.

One resident was the most controversial figure in Russian history – Grigory Rasputin. His house can be visited in the village of Pokrovskoe, near Tyumen. It is believed that “the devil monk” was born sometime between 1864 and 1872.

Rasputin was an impoverished, drunken, dirty and foul-mouthed man. Even so, people claim that he had great powers. Many said that he was a healer and also a prophet. During his twenties, Rasputin supposedly became a holy man after a long religious conversation with one of his superiors. He lived off the charity of people who admired his asceticism. It is said that one time Rasputin accurately predicted a three month drought. This Siberian mystic arrived in St Petersburg in 1911 and within a few years had become one of the most influential men in government circles.

Tyumen is a city for walking, a city of contrasts. There are two main streets in the centre: Republics and Lenin. Amongst wooden houses and old churches you will see the modern glass buildings of the World Trade Centre and the Law Department of Tyumen State University as well as Soviet style neighbourhoods with multi-storey apartment buildings.

Optional Sightseeing

The historic city of Tobolsk, Siberia’s former capital, displays considerable charm to reward a short detour from Tyumen. The sights include the white-walled 18th-century Kremlin, incorporating the 17th century St Sofia Cathedral, and a weatherbeaten old town described by some as ‘wonderfully dilapidated’.

Winter in Tyumen

The winters are cold in Tyumen and outlying regions. However, they have one attraction that helps to cope with the winter, being open air hot springs. Thousands of people gather there, both locals and visitors from as far as Yekaterinburg and Moscow. this is truly a way to experience the contrast of the cold Siberian winter (-20℃ plus or minus) with the hot spring water (55℃).

It can be fun to change to your swimwear in the car and then dash to the water (100 m) from the parking area. Just taking a few steps out of the water means the water residue on your body turns into solid ice instantly. Good therapeutic skin pore treatment, we are told.

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The bourgeois charm of Siberia's oil capital

If you’re driving west across Russia from the Pacific Ocean, the first thing that you notice upon entering the city of Tyumen is the McDonalds. Tyumen has long been one of the only Siberian cities with a McDonalds restaurant. Although the fast-food giant has plans to open locations in nearby Novosibirsk and other regional cities, Siberia still contains one of the longest distances on earth outside of Africa where you can remain on a major highway and not see a McDonalds. Until you reach Tyumen, that is.

A stop in Tyumen provides an interesting glimpse into how modern Russia’s oil revenue has influenced Siberia’s oldest Russian city. Tyumen is a great stopover point on the Trans-Siberian Railroad and a short ride from Yekaterinburg (five hours) or Tobolsk (four hours).

In the 16th century, Russia started expanding eastward into parts of Central Asia ruled by the Tatars, an Islamic people who still live thoughout Russia. A band of Cossacks wrested control of Tyumen from the Tatars in 1580. Six years later, Russians established a fort in Tyumen on the Tura River.

For centuries, Tyumen vied with the nearby city of Tobolsk—once the official capital of Siberia—for the prestige of the region’s most important city. Tyumen won in the end, when the Trans-Siberian Railroad bypassed Tobolsk and was routed through this now oil-rich city.

Tyumen played an important role in Russian history during times of war. At the beginning of the Russian Civil War, the Bolshevik Red Army slowly pushed the White Army, commanded by Admiral Alexander Kolchak, into Siberia. Kolchak and his anti-Bolshevik forces holed up in Tyumen until the Red Army overtook them in January of 1918.

During the Second World War, many Russian industries were moved away from the front to Siberian cities. Tyumen had already become an industrial capital during the early Soviet era, and the city became an ideal spot to relocate Russia’s western factories. As Nazi forces approached Russia in 1941, the embalmed body of Vladimir Lenin was sent from the Lenin Mausoleum in Moscow’s Red Square by train to the Tyumen State Agricultural Academy for safekeeping. In 1945, Lenin’s body was shipped back to Moscow.

Some of the factories relocated to Tyumen during wartime remained in the city. The discovery of oil in the region catapulted Siberia’s oldest Russian settlement to further prosperity. Modern Tyumen is a vibrant city with a number of universities and a revamped center well-suited for exploration by foot.

Start your walking tour around central Tyumen on Ulitsa Respubliki. The city’s main drag has fine pedestrian walkways and leads wanderers past an impressive collection of tsarist-era buildings that recall Tyumen’s importance in the beginning of Russia’s colonization of Siberia.

From the southeastern end of Ul. Respubliki, head north toward the Tura River and take a brief side trip onto Ul. Ordzhonikidze to visit the Fine Arts Museum (47 Ul. Ordzhonikidze) which houses exhibits of classical Russian and Soviet art as well as traditional bone carving and works produced by the native people who live in the far north of Tyumen Oblast.

Back on Ul. Respubliki, you’ll soon see the city’s requisite Lenin statue by the local government buildings. A block away, opposite Lenin, is Tyumen’s city park, a delightful place to walk or hop on one of its amusement rides.

Most Siberian cities developed under the watchful eyes of the atheist Soviet regime and churches are usually not Siberia’s strongpoint. But this isn’t true in four-centuries-old Tyumen. Strolling up Ul. Respubliki, you’ll soon come to the Church of the Saviour (41 Ul. Lenina) and the Znamensky Cathedral (13 Ul. Semakova). Each of these stunning Baroque-influenced churches are located right off Ul. Respubliki and were built in the late 18th century.

Tyumen is also famous for its historic wooden houses. Heading further up Ul. Respubliki, stop to wander around some of the side streets and snap photos of these ornate wooden structures which provide a glimpse back in time. Near the Tura River, you’ll pass a civil war monument in remembrance of the Tyumen natives who died fighting the White Army and the Tyumen State Agricultural Academy (7 Ul. Respubliki) an impressive building in its own right where Lenin was stored during the Second World War.

Near the end of Ul. Respubliki, take a walk over the Tura River on the Lover’s Bridge, a suspension bridge open to foot traffic only that has become one of Tyumen’s iconic sights. The other side of the river is a great place to see more of Tyumen’s signature wooden houses as well as take in the churches scattered around the city center.

Save the best for last and visit the Trinity Monastery (10 Ul. Kommunisticheskaya) at the end of Ul. Respubliki. A white wall surrounds the monastery, giving it the appearance of a mini-kremlin, and the golden onion domes of the 18th century churches within should not be missed.

Although navigating Tyumen is straightforward enough, the St. Petersburg-based travel company OSTWEST can arrange a city tour in Tyumen and the surrounding countryside.

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