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Very Good Trip

• DEUX FOIS PAR SEMAINE

Au gré de ses souvenirs et de son érudition, Michka Assayas nous fait visiter les contrées magiques du rock, le plus souvent méconnues du grand public… sans oublier les standards ! Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes.

Fontaines D.C en concert en direct depuis France Inter

durée : 00:55:54 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Soirée exceptionnelle avec un concert de Fontaines D.C en direct depuis les studios de France Inter, quelques jours après la sortie de leur nouvel album "Romance". Rendez-vous le 03 septembre dès 21h avec Michka Assayas. - invités : Fontaines D.C - Fontaines D.C : groupe de rock post-punk irlandais - réalisé par : Stéphane Ronxin

Fontaines D.C, Warmduscher, Fat Dog : nouveaux sons rock’n’roll énergiques et mélodieux

durée : 00:55:08 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - 1000ème émission de Very Good Trip enregistrée en direct et surtout en public depuis les studios de France Inter. Un exercice singulier réalisé sans filet par Michka Assayas pour fêter les 1000 bougies de l'émission musicale. - réalisé par : Stéphane Ronxin

Rolling Stones : les sommets du groupe

durée : 00:55:04 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - 7è et dernier épisode de la série de Very Good Trip sur les Rolling Stones, avec les titres les plus marquants du groupe. - réalisé par : Stéphane Ronxin

Nilüfer Yanya, King Gizzard, Liana Flores : groove estival du monde entier

durée : 00:53:47 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Une émission placée sous le signe du groove avec des morceaux sélectionnés par Michka Assayas venus du monde entier. Avec Nilüfer Yanya, King Gizzard and the Lizard Wizard, Liana Flores - réalisé par : Stéphane Ronxin

Aux sources d’Oasis, le rock euphorique de Manchester

durée : 00:55:17 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Tout commence pour Oasis en 1994, et tout finit un soir de Rock en Seine en 2009, avec une séparation brutale. Août 2024, 30 ans après les débuts, le groupe annonce sa reformation. L'occasion de revenir aux sources de Oasis avec le rock de Manchester. Manchester, la ville de la britpop. - réalisé par : Stéphane Ronxin

Karen O, Orville Peck, Cigarettes After Sex : nouveautés pour un swing estival

durée : 00:54:23 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Very Good Trip est de retour pour une nouvelle saison, avec 3 surprises de rentrée : Fontaines D.C en concert à France Inter, Nick Cave en interview, et la 1000 ème de l'émission qui se fera exceptionnellement en public - réalisé par : Stéphane Ronxin

Lana Del Rey, un premier parcours

durée : 00:55:35 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Very Good Trip tient sa promesse puisque ce soir, on va rester en compagnie d’une seule et même femme.

Hôtes et personnes invitées

Michka assayas, informations.

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Very Good Trip par Michka Assayas

Visite des contrées magiques du rock, le plus souvent méconnues du grand public… sans oublier les standards.

• par France Inter
• 21 h 08 min

Titres de la playlist

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Very Good Trip

All episodes (200) from new to old from new to old from old to new.

1. Fontaines D.C, Warmduscher, Fat Dog : nouveaux sons rock’n’roll énergiques et mélodieux

2. Rolling Stones : les sommets du groupe

3. Nilüfer Yanya, King Gizzard, Liana Flores : groove estival du monde entier

4. Aux sources d’Oasis, le rock euphorique de Manchester

5. Karen O, Orville Peck, Cigarettes After Sex : nouveautés pour un swing estival

6. Lana Del Rey, un premier parcours

7. Very Good Trip Rolling Stones 6/7 : La face soul et funky

8. Very Good Trip Rolling Stones 7/7 : Bouquet final

9. Very Good Trip Rolling Stones 3/7 : A la source du blues

10. Very Good Trip Rolling Stones 1/7 : Une première promenade dans un jardin anglais

11. Very Good Trip Rolling Stones 4/7 : La face psychédélique et baroque inattendue

12. Very Good Trip Rolling Stones 5/7 : La face country oubliée

13. Very Good Trip Rolling Stones 2/7 : Le rock’n’roll des origines

14. Tom Morello, étincelles de guitare au-delà de Rage Against the Machine

15. Frank Carter, Royal Blood, Rival Sons : rock’n’roll, hard rock, metal et énergie

16. Queens of the Stone Age : le rock du désert californien et sa tribu

17. Very Good Trip du lundi 24 juin 2024

18. Éloge de Robert Wyatt

19. Arooj Aftab, King Hannah, Serpenwithfeet : jeunes voix soul-jazz et sons modernes

20. Willie Nelson, Staples Jr. Singers, Nathaniel Rateliff : grandes voix américaines de la tradition

21. Paul Weller, un concert rêvé

22. Duane Eddy, un maître oublié de la guitare, aux sources du rock’n’roll

23. Paul Weller, Olivier Rocabois, Maxwell Farrington et le SuperHomard : mélodies enchantées, côté européen

24. The Lemon Twigs, Eels, Nada Surf : mélodies du bonheur, côté américain

25. Pet Shop Boys, un concert idéal

26. Rencontre avec Richard Thompson

27. Dave Grohl, de Nirvana aux Foo Fighters ou QOTSA : un concert idéal

28. Pet Shop Boys, John Grant, Strand of Oaks : une certaine électro-pop lyrique

29. Yaya Bey, Nilüfer Yanya, Peggy Gou : le groove au féminin

30. Beth Gibbons, au-delà de Portishead 3/3 : Beth Gibbons, Elysian Fields, Dana Gavanski : voix féminines intenses, la face poétique et ténébreuse

31. Beth Gibbons en concert à la salle Pleyel et sur France Inter

32. Beth Gibbons, au-delà de Portishead 2/3 : Beth Gibbons et Portishead, un concert rêvé

33. Les confidences de Billie Eilish : Billie Eilish et d’autres voix féminines de l’intimité

34. Les confidences de Billie Eilish : Billie Eilish, ses nouvelles confidences

35. Les confidences de Billie Eilish : Billie Eilish, un concert idéal

36. Éloge de Richard Thompson, lumineux virtuose de la guitare folk, jazz et rock’n’roll

37. Rencontre avec Slash, guitar hero : ses racines blues

38. Salut à Steve Albini, intransigeant sculpteur d’un son brutal (Pixies, Nirvana, PJ Harvey)

39. St. Vincent, The Mysterines, Nilüfer Yanta : féminités électriques contemporaines

40. Hommage à Charles Neville, magicien de la Nouvelle-Orléans

41. Grandes voix américaines, sous le soleil des Amérindiens

42. Influences amérindiennes sur le rock et le folk américains, via la Nouvelle-Orléans

43. Rock’n’roll en transe, influences amérindiennes sur le rock garage et tribal

44. Kali Uchis, Nicki Minaj, Emel : une transe tropicale rap, électro et R&B

45. Richard Hawley, un concert idéal

46. Eels, Richard Hawley, Iron & Wine : styles traditionnels, voix mûres et forts caractères

47. De Leyla McCalla à Beyoncé, des racines américaines réinventées

48. PJ Harvey, poétesse du rock 3/3 : Rencontre avec PJ Harvey, seconde partie

49. PJ Harvey, poétesse du rock 2/3 : Rencontre avec PJ Harvey, première partie

50. Rencontre avec Jessica Pratt et ses influences entre folk intime, jazz cool et bossa brésilienne

51. Avec Cat Power 3/4 : Cat Power, une rencontre sans filtre

52. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Concert acoustique des Smashing Pumpkins, album "Siamese Dream", 1993

53. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Arctic Monkeys : 1er album et 1er concert à Paris, 2006

54. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : The Verve à son apogée en novembre 1997

55. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Rufus Wainwright célèbre et joue son album Want 1 en 2003

56. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Les grands espaces de Grandaddy, un concert d’anthologie en juin 2003

57. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Mars 2005, Arcade Fire donne son 1er concert en France pour la sortie de l'album Funeral

58. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Feist, magnifique sobriété en Black Session

59. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Everything but the Girl en black session

60. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : The Auteurs en Black Session, britpop malgré lui

61. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Echo & The Bunnymen en black session

62. Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans : Sparklehorse en Black Session

63. Nico, éloge d’une voix disparue : un concert rêvé

64. Boygenius, Suki Waterhouse, The Last Dinner Party : voix féminines flamboyantes, entre folk et swing

65. Jessica Pratt, Angus & Julia Stone, Kate Stables (cabane) : voix féminines folk et harmonies célestes

66. Khruangbin, Jane Weaver, Four Tet : rythmes doux, brises légères et parfums musicaux d’orient et d’ailleurs

67. Vampire Weekend, un concert idéal pour 2024

68. Little Simz, St. Vincent, Drahla : voix féminines entre punk, funk, rap et r&b

69. Vampire Weekend, The High Llamas, Beyoncé : rencontre de la tradition et du r&b moderne

70. Spéciale metal : entre Black Sabbath et Nirvana, quelques sources préhistoriques oubliées

71. Kurt Cobain : héros malgré lui 3/3 : Kurt Cobain : sa discothèque idéale et inattendue

72. Kurt Cobain : héros malgré lui 2/3 : Kurt Cobain et Nirvana, trente ans après : une voix au-delà du cri

73. Kurt Cobain : héros malgré lui 1/3 : Kurt Cobain et Nirvana, trente ans après : la fureur initiale

74. Beth Ditto et Gossip, un concert rock et soul idéal

75. Judee Sill, célébration d’une magicienne californienne disparue

76. Leyla McCalla, Madi Diaz, Kaia Kater : renouveau féminin des traditions country-folk américaines

77. Gossip, Texas, Lizz Wright : retour de grandes voix soul

78. Joe Bonamassa, Ghalia Volt, Lightnin’ Hopkins : trésors blues et soul oubliés, modernes et anciens

79. Lenny Kravitz, un concert blues et rock’n’roll idéal

80. Phosphorescent, Villagers, Iron & Wine : actualité folk mondiale

81. Lenny Kravitz, The Black Crowes, Mdou Moctar : actualité mondiale du blues-rock

82. Hommage à Wayne Kramer, étincelant guitariste de MC5

83. The Jesus and Mary Chain, un concert idéal

84. Ministry, Kim Gordon, Pissed Jeans : rock’n’roll industriel et sons saturés, côté américain

85. Rock’n’roll britannique, l’éternel retour des 90s

86. Avec MGMT, une fête électro-psychédélique

87. Mark Knopfler chanteur : le meilleur des années solo

88. Hurray for the Riff Raff, Vera Sola, Adrianne Lenker : voix féminines de la jeune Amérique

89. MGMT, Vampire Weekend, Spoon : mélodies du bonheur

90. Rencontre avec Irmin Schmidt, survivant du groupe Can

91. Can et ses héritiers : Joy Division, The Fall, The Jesus and Mary Chain

92. Éloge de Can, le groupe allemand prophète de l’après-punk

93. David Byrne, découvreur d’autres continents musicaux, du Brésil à l’Asie

94. Ry Cooder, du Pacifique à l’Afrique, l’homme de tous les continents musicaux

95. Paul Simon, le New-yorkais qui a inventé la world music

96. Éloge de Mike Scott et des Waterboys

97. Grandaddy, un concert idéal

98. Future Islands, Maxwell Farrington, Hamish Hawk : belles voix de crooners

99. The Last Dinner Party, Nadine Shah, Beth Gibbons : des voix féminines d’exception

100. Talking Heads, seconde manière, le funk de la délivrance : le meilleur des années 1980-1988

101. Talking Heads première manière, l’énergie des anxieux : le meilleur des années 1977-1979

102. Candice Ivory, Cedric Burnside, Johnny Dowd : racines blues et soul, l’éternel renouveau

103. Brittany Howard, Gossip, Durand Jones : grandes voix soul modernes

104. Radiohead, la face rock : un concert idéal du XXème siècle

105. De Radiohead à The Smile : la face rythmique

106. The Smile, Squid, Ceramic Dog : une pulsation funk-jazz en dérapage contrôlé

107. The Smile, William Doyle, Tom Odell : swing et mélancolie

108. Éloge des Undertones, prophètes irlandais du punk-pop

109. Green Day, un concert punk et folk idéal

110. Sleater-Kinney, Olivia Rodrigo, les Shirley : punk pop féminin, d’une génération à l’autre

111. Green Day, The Hives, Therapy? : punk pop du monde entier, l’éternel retour

112. Donovan, un concert folk hippie idéal

113. Voix folk féminines, du monde entier : Jolie Holland, Juni Habel, Lina

114. arpèges et étincelles de guitare folk-blues : sarah jarosz, rosie frater-taylor, steve gunn & bridget st john, 115. voix, guitares et chansons folk au coin du feu : mustafa, sufjan stevens, piers faccini.

116. Aretha Franklin, la magie des années 70 : ses albums retrouvés

117. Adieu à Geordie Walker, éloge de Killing Joke

118. La fête continue (rap, funk et world) : Cardi B, Nicki Minaj, Nadine Shah

119. La fête continue (pop, punk, world) : Gossip, Liam Gallagher, Olivia Rodrigo

120. Very Good Trip Paul McCartney 3/9 : La face soul et funky

121. Very Good Trip Paul McCartney 2/9 : L’enfant savant de la mélodie, avec les Beatles et en solo

122. Very Good Trip Paul McCartney 1/9 : La face rock’n’roll, avec les Beatles et en solo

123. Transe électro, le générique de fin de l’année 2023

124. Electro-folk, le générique de fin de l’année 2023 : Avalon Emerson, Four Tet, Nicolas Jaar

125. Mélodies romantiques, le générique de fin de l’année 2023 : Harp, Bill Ryder-Jones, Gruff Rhys

126. Joni Mitchell, le tournant jazz (1975-1979)

127. Salsa : un livre pour une célébration

128. Vibrations et percussions, du post-punk au rap

129. IDLES, Pigs Pigs Pigs, The Psychotic Monks... Ultimes explosions néo-punk de 2023

130. 60 ans - (Ré)écouter quelques Black Sessions

131. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 1/8 : The Cure, mythique Black session

132. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 2/8 : Mercury Rev, la pop psyché en Black session

133. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 3/8 : Placebo en Black Session

134. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 4/8 : Eels, Black session à la mélancolie joyeuse avec Mister E

135. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 5/8 : The Divine Comedy en Black Session

136. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 6/8 : The Cranberries en Black Session avec un inédit, Zombie

137. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 7/8 : Dominique A en Black Session

138. Les Black Sessions : une sélection pour nos 60 ans 8/8 : Black Session : Tindersticks au studio 105 en 1995

139. Peter Gabriel, un parcours historique à part

140. Voyage musical autour du monde : Bokanté, Souad Massi, Piers Faccini

141. Peter Gabriel, un retour inespéré

142. Salut à Shane MacGowan, visionnaire du punk-folk

143. Joni Mitchell, un premier parcours (1968-1974)

144. Sarah Jarosz, Molly Tuttle, Iris DeMent : grandes voix féminines country-folk

145. Hommage à Nanci Griffith, plume et voix d’une country authentique

146. Joni Mitchell, en toute intimité : des archives exceptionnelles

147. UCHE YARA, Say She She, Insincere : la transe mondiale du jeudi soir

148. The Tubs, Lloyd Cole, King Krule : découvertes et redécouvertes de mélodies solaires.

149. RVG, Robert Forster, Crime and the City Solution : étincelles de rock australien

150. Lol Tolhurst/Budgie, Kas Product, Future Islands : pulsations et vibrations gothiques

151. Richard Hawley, Glen Hansard, John Southworth : sombres crooners de l’automne

152. Éloge d’Iron & Wine : un concert idéal

153. Ben Harper, Blake Mills, M. Ward : étincelles de guitares folk-blues

154. Cat Power, Pretenders, Sarah Jarosz : grandes voix féminines folk

155. Say She She, Sofia Kourtesis, Kali Uchis : la transe electro, r&b et world du jeudi soir

156. Sly & the Family Stone, un concert funk et soul idéal

157. Jorja Smith, Mitski, Laufey : voix féminines entre soul, jazz, r&b et folk

158. Black Pumas, Gabriels, Bettye Lavette : l’éternel renouveau des voix soul

159. Rencontre en studio avec The Kills

160. The Kills, un premier parcours

161. The Rolling Stones, le dernier cri

162. Steven Wilson et Porcupine Tree, un concert idéal

163. La saga des Stones 4/4 : The Rolling Stones, l’éternité du blues des origines

164. La saga des Stones 3/4 : La face country oubliée des Rolling Stones 

165. La saga des Stones 2/4 : Le meilleur de la période psychédélique et baroque des Stones

166. La saga des Stones 1/4 : Promenade inattendue dans un jardin folk anglais

167. Pink Floyd, un demi-siècle après : la vision des survivants

168. Rival Sons, Greta Van Fleet, Royal Blood : les enfants du blues-rock

169. Grian Chatten, Sufjan Stevens, Blonde Redhead : sons folk contemporains

170. Rufus Wainwright, Wilco, Jonathan Wilson : la réinvention des traditions américaines

171. Sparklehorse, l’album retrouvé : éloge d’un poète disparu

172. Trésors retrouvés : The Who, Rory Gallagher, Nina Simone

173. Éloge de Robbie Robertson et The Band

174. Transe électro en 2023, bouquet final : The Chemical Brothers, Overmono, Kelly Lee Owens

175. Transe électro du monde entier en 2023 : Lol Tolhurst, Sofia Kourtesis, Charlotte Adigéry & Bolis Pupul

176. New Order et ses disciples : l’électro-dance mélancolique des années 80

177. James Blake, Romy, Sampha : nouveaux sons entre électro-pop, jazz et soul

178. Elvis Costello, rencontre avec un maître

179. Nick Drake, l’éternel retour

180. Sufjan Stevens, Beirut, Andrew Bird : voix et mélodies romantiques

181. Paul Simon, la face rythmique : un concert rêvé

182. Eliades Ochoa, Galen & Paul, Lucas Santtana : sons et arpèges folk du monde entier

183. De Paul Simon à Vampire Weekend, influences africaines dans le rock

184. Paul Simon, Yusuf/Cat Stevens, Graham Nash : vitalité des vétérans

185. Blur, un concert idéal

186. D’Antony à Anohni : le parcours d’une voix soul d’exception

187. Âge d’or de la soul : chefs-d’œuvre retrouvés de la compagnie Stax

188. Anohni and the Johnsons, Hozier, James Blake : voix soul de la rentrée

189. Sinéad O'Connor : la lumière d'une voix 2/2 : Titres méconnus d'une interprète hors pair

190. Sinéad O'Connor : la lumière d'une voix 1/2 : Nothing compares to her

191. The Hives, Foo Fighter, Public Image Ltd. : une rentrée rock’n’roll, punk et hardcore

192. Blur, Noel Gallagher, Miles Kane : une rentrée anglaise

193. Very Good Trip Paul McCartney 7/9 : Paul McCartney, le versant folk

194. Very Good Trip Paul McCartney 9/9 : Paul McCartney, bouquet final : un concert rêvé

195. Very Good Trip Paul McCartney 8/9 : Paul McCartney, en toute intimité

196. Very Good Trip Paul McCartney 6/9 : La veine américaine, blues et country

197. Very Good Trip Paul McCartney 5/9 : La veine rétro, swing et jazzy

198. Very Good Trip Paul McCartney 4/9 : La face baroque et orchestrale, avec les Beatles et en solo

199. Voix et sons du monde entier, d’Elaha Soroor (Afghanistan) à Arooj Aftab (Pakistan)

200. Voyages mélodieux vers le rêve, entre swing funky, folk et psychédélisme

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Very Good Trip

Le rock au pays des rêves.

Revue de presse

“Un passionné raisonnable”, c’est ainsi que se définit le journaliste, critique musical et écrivain Michka Assayas. Même raisonnée, c’est bien cette passion, toujours intacte, qu’il transmet à ses auditeurs lors de virées musicales quotidiennes sur France Inter, ses “Very Good Trip”. Titre donné également à son livre paru en septembre dernier, dans lequel il raconte comment la musique a pu transformer sa vie, dans ce qu’elle a de plus intime.”

Lire l’entretien ici

Michka Assayas est journaliste et romancier. Il fut l’un des plus fervents promoteurs du rock dit post-punk britannique, dans les colonnes de Rock & Folk, au début des années 80’. Il a ainsi pu défendre dans ses chroniques des groupes comme Joy Division, New Order, Young Marble Giants ou encore les jeunes Irlandais de U2. Artisan du Dictionnaire du Rock (Robert Laffont, 2014 pour la seconde édition), il anime depuis 2015 l’émission quotidienne Very Good Trip sur France Inter.

Comment avez-vous commencé à vous intéresser à la musique ?

Michka Assayas : Par la radio certainement. Il y avait des chansons que j’entendais sur Europe 1, RTL , … Ma mère achetait quelques disques. Je me souviens de l’un d’eux qui s’appelait Dansons le twist. Je me suis aperçu plus tard en l’analysant que c’était du rock’n’roll de la Nouvelle-Orléans. Il y avait une chanson qui s’appelait Ooh Poo Pa Doo, avec un rythme à la Fats Domino. Cela me fascinait. Mon père tenait un journal intime et parfois je le lisais en cachette. Et une fois il avait écrit : “Michka écoute le twist comme un wagnérien la Tétralogie”. Je devais avoir six ou sept ans, peut-être moins… C’était comme une révélation mystique. Je me rappelle même que mon frère avait rapporté l’album Rubber Soul des Beatles à la maison. Je me souviens de regarder la pochette avec ces visages un peu anamorphosés, complètement fasciné. Je ne captais pas tout. Mais j’ai des souvenirs des Beatles, des 45 tours des Stones, … J’ai eu la chance de connaître cela parce que j’avais un frère plus âgé.

Pourquoi avoir choisi d’écrire sur la musique et ne pas avoir monté un groupe, à la fin des années 70’, au moment de la vague punk puis post-punk dont vous appréciiez les artistes ?

M. A. : Il y a plusieurs raisons à cela. La première est que je n’étais pas très apte à jouer de la musique, j’ai un problème de coordination. Mais après c’est comme conduire : quand on s’acharne, on ne devient jamais un très bon conducteur mais on peut se débrouiller. Je pense que si je m’étais acharné je me serai débrouillé, comme beaucoup l’ont fait. La raison peut-être plus profonde vient du milieu auquel j’appartenais, un milieu cultivé, instruit, … Certains diraient bourgeois éclairé, bohème, … mais bourgeois quand même. Tout cela sentait le souffre… De plus, il me paraissait plus prestigieux et plus facile d’écrire. Parce que lorsqu’on écrit un article, il n’y a pas le stade de la démo. On n’a pas à démarcher des maisons de disques, à trouver des concerts, à répéter, … On écrit et c’est diffusé immédiatement. Il y a une sorte de magie et d’immédiateté là-dedans. Pour moi, écrire dans Rock & Folk c’était vraiment une consécration. Écrire sur la musique me paraissait même presque plus prestigieux que de faire un 45 tours autoproduit dans mon garage et diffusé par un label indépendant. C’était aussi une époque où il y avait plein d’approches différentes de ce qui était encore une sorte d’underground : on pouvait être photographe, journaliste, graphiste ou dessinateur. Il y avait mille et une approches de cela. Et être journaliste, critique, disons accompagnateur de tout cela, propagandiste, missionnaire par l’écrit, c’était une voie possible, pour entrer là-dedans.

Mais n’avez-vous jamais ressenti le désir de la scène ?

M. A. : C’est arrivé sur le tard, lorsque j’ai commencé à être connu pour le Dictionnaire du Rock. Il m’est arrivé d’être invité à des rencontres. Moi qui étais terriblement timide face à un public important, cela m’a désinhibé. Puis je suis arrivé à donner des conférences. Ensuite, je me suis mis à jouer de la musique avec mon fils, de manière amateur. C’était comme une épreuve du feu car au fond de moi c’était un fantasme. Je m’étais dit que j’avais passé ma vie à commenter ce que faisaient les autres. Surtout quand j’étais très jeune, j’étais très intolérant, maintenant ce n’est plus le cas…

Découvrez toute l’interview en ligne

Lâchez vos téléphones et vos écrans pour dévorer un ou cinq livres pour refaire votre culture musicale cet été. Vacarm vous propose de découvrir sont Top 5 de livres à mettre dans votre valise.

3. La découverte : Very Good Trip, le rock aux Pays des Rêves.

Si vous êtes un auditeur nocturne de France inter et mélomane, vous connaissez certainement l’émission “Very Good Trip” animé depuis 2015 par le talentueux Michka Assayas. Si non, on ne peut vous recommander que fortement de l’écouter en direct ou en podcast. Novice ou expert, il y a toujours quelque chose à apprendre, un nouveau groupe à découvrir, une anecdote à savourer. Michka Assayas traverse les genres et le temps pour nous faire passer un bon moment. Pas la peine de se torturer pour chercher les playlists de votre été, tout est là. Et dans ce livre qui retranscrit pour la première fois les quelques meilleures émissions de “Very Good Trip”, vous pouvez être sûr de passer de bonnes vacances.

L’intégral du TOP 5

Very good trip », le livre : quelle drôle d’idée que de transcrire le verbatim de l’émission éponyme de Michka Assayas ! Autant une conférence, un enseignement appellent un passage à l’écrit, autant le rythme, la forme des interventions radio sont, a priori, inappropriés à la lecture. Certes, à la radio, animateurs et journalistes rédigent les interventions qu’ils vont lire à l’antenne. Pas d’improvisation, ou très peu, ce qui évite de « savonner », chercher ses mots pendant le direct. Mais, contrairement à ce qu ‘écrit l’auteur dans sa préface, « A la radio, la règle [n’]est [pas] de parler comme on écrit ». L’écriture radio est attachée à la voix, au phrasé, à la respiration, à l’articulation et impose ses règles de facto, écriture compacte, alerte, phrases courtes… ce que l’écrit n’a pas à prendre en compte. Et de poursuivre : « J’ai ainsi développé pour la radio un style intermédiaire : une écriture parlée qui donne l’illusion de l’oral spontané, tout en évitant ses scories ». En somme, ce que fait tout animateur ou journaliste. Michka Assayas découvre l’eau tiède…

Revenons au livre : il restitue le contenu d’une sélection de vingt-sept émissions, du vingt-sept juillet 2015 au 15 juin 2017. Très documenté, bourré d’anecdotes à la marge sur les artistes auxquels il s’intéresse, le livre permet de « réviser » l’émission, de se la remettre en mémoire, de reprendre en se donnant du temps la somme d’informations dont il la nourrit, le plus souvent passionnante (France Inter, 21h-22h, du lundi au vendredi). Et là, évidemment, manque le son, car l’on découvre que l’on a oublié le titre de Spirit, de Meilyr Jones, d’Aurora, de Pond, de… Le salut est dans le podcast.

Relire cette chronique en ligne

Bruno Letort reçoit Michka Assayas

Nous vous proposons d’ouvrir cette émission avec « Very good trip, le rock au pays des rêves », le livre fruit des chroniques de l’émission éponyme de Michka Assayas sur France Inter, consacrées à l’épopée du rock psychédélique. Des Bee Gees à Genesis, de Radiohead à Pink Floyd ou Brigitte Fontaine l’auteur décrit et commente cette veine homogène. Occasion de nous entretenir avec Mishka Assayas.

Michka Assayas est un journaliste, producteur, passeur et écrivain français. Il est notamment l’auteur du Nouveau dictionnaire du rock (Robert Laffont) considéré comme une référence. Il est producteur de l’émission “Very good trip” sur France Inter, et il vient de faire paraître aux éditions Le mot et le reste le livre ” Very good trip, le rock au pays des rêves ”.

Pour écouter cette émission en podcast, cliquez ici

Emission juke box, à la veille de la Fête de la Musique… Comment expliquer l’attachement à certaines chansons ? Comment les ritournelles sont-elles gravées pour toujours dans notre cerveau ? Pourquoi les morceaux de notre adolescence sont-ils si importants quand on devient adulte ?

Nous avons tous en tête un morceau musical qui a profondément marqué les grands moments de notre histoire personnelle… Premiers amours, vacances, naissances, mariages, divorces, rupture amoureuse, crise du milieu de vie, deuil : les ritournelles rythment les petits et grands épisodes de notre série préférée : notre vie…

Pourquoi les souvenirs musicaux sont-ils aussi puissants ? Et puis pourquoi les chansons accompagnent-elles avec tant de justesse nos existences ?

Nous verrons également que certaines paroles de chansons peuvent nous faire philosopher sur la question du bonheur par exemple…

Et vous dîtes-nous quelles sont les chansons qui ont vraiment accompagné votre vie…

01 45 24 7000, sans oublier l’appli France Inter et la page Facebook de notre émission.

Bertrand Dicale, journaliste, La B.O de votre vie ed.First Marianne Chaillan, professeure de philosophie, La playlist des philosophes ed. Le passeur Michka Assayas, journaliste, Very good trip, auteur de Le rock au pays des rêves ed Le mot et le reste/ France Inter et du lundi au jeudi à 21h sur France Inter

Pour écouter en podcast l’émission Grand bien vous fasse ! cliquez ici

Malgré ses faux-airs d’intello parisien, Michka Assayas, qu’on ne présentera plus ici tant on en parle, a su conserver une âme d’enfant. C’est ce qu’il commence par nous démontrer dans le préambule de ce nouveau recueil de ses ”écrits”. S’il a découvert des groupes aussi marquants que les Doors, pour ne citer qu’eux, à l’âge de 10 ans, c’est un peu plus tôt qu’il vécut l’irruption dans sa vie du rock psychédélique via des radios étrangères comme la BBC ou Radio Luxembourg. Ce n’est pas pour autant qu’il choisit de faire de ce média son métier, car il faudra attendre l’émission l’ Inrockuptible de Bernard Lenoir, pour le voir passer derrière le micro une première fois.

Plus haut, nous parlions d’écrits pour la radio, et cela n’a rien de paradoxal : comme Assayas nous l’explique, il ne se sentira véritablement à l’aise en studio que lorsqu’on lui aura fait comprendre que, pour bien parler, il faut d’abord savoir écrire. Même le « bonjour » inaugural. Cela lui a servi de leçon et nous permet de comprendre pourquoi ce livre ressemble tant à une émission radiophonique : nous avons l’impression saisissante, en le lisant, de l’entendre comme si le poste était allumé.

La seule chose qui manque à cet ouvrage, c’est la musique. Assayas s’est évertué à rappeler dans le corps de ses textes quels morceaux il a passé lorsqu’il a entrepris de présenter l’émission Very Good Trip à compter de l’été 2015 sur France Inter. Pourtant, il manque un lien hypertexte nous reliant directement au son. C’est sans doute là toutes les limites du livre aujourd’hui, ce défaut de dépassement du format. Mais c’est là un autre débat.

L’essentiel est ici d’en apprendre beaucoup sur ce qui composa, après le milieu des années 1960, ce que l’auteur préfère appeler la “pop baroque”. Car le rock psychédélique, auquel nous pensions nous intéresser en lisant ce livre, n’est en définitive, et c’est ce que nous apprend Assayas, qu’une forme de pop baroque. Le rock psyché ouvrait les frontières, la pop baroque les étend au-delà, finalement, de la stratosphère. Et Michka Assayas, par son érudition et sa précision, et même s’il fait ici quelques raccourcis a priori assez faciles entre les genres musicaux, mérite de demeurer notre gourou.

Attention, toutefois : ce recueil de textes a été particulièrement orienté vers la pop baroque, qu’elle date des années 1960 ou d’aujourd’hui, puisqu’il montre aussi qu’elle a largement essaimé dans le rock. L’émission se poursuit et a encore étendu son champ d’action. On est sympa, on vous montre le chemin vers les podcasts gratuits : cliquez ICI

Pour consulter l’article sur le site Silence is sexy vous n’avez qu’à cliquer

Similar to Very Good Trip : Bob Dylan

1 Very Good Trip

France inter, 1 club jazzafip, 1 dj m.a.m music, m.a.m (pascal carqueville), 1 si tu écoutes, j'annule tout, 1 la planète des sciences, 1 le 18/20 : le téléphone sonne, 1 rtl2 : pop rock party, 1 journal de 18h, 1 l'édito éco, podcasts worth a listen, very good trip : bob dylan.

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updated 3y ago

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Very Good Woodstock Trip

prix éditeur : 20 €

55 e anniversaire du festival

Les 15, 16 et 17 août 1969, dans un immense pâturage perdu dans le sud-ouest de l’État de New York, a eu lieu le plus grand festival de musique jamais organisé au monde. Pendant ces trois jours a brusquement surgi une véritable ville de 500 000 personnes, entièrement peuplée de très jeunes gens. Attirés par l’annonce d’un festival de folk, de blues et de rock psychédélique, des jeunes de la côte est des États-Unis, de tous les milieux, de toutes les origines, ont convergé vers ce site, dans des proportions jamais atteintes, pour écouter, entre autres, Joan Baez, Janis Joplin, Jefferson Airplane, les Who et Jimi Hendrix. Ceux qui ont assisté à Woodstock ont vécu une expérience au sens plein : collective, bien sûr, et même unanimiste, mais aussi existentielle, mystique, voire religieuse. L’expérience de Woodstock a été pleine de chaos, de ferveur, de joie et même de délire, bien au-delà de ces fameux « trois jours d’amour, de musique et de paix », trop souvent limités à une mode vestimentaire et à un message superficiel.

Trente ans plus tard, les 23, 24 et 25 juillet 1999, un autre Woodstock, d’une même ampleur, a réuni une génération nouvelle autour des groupes Korn, Rage Against the Machine, Metallica et Red Hot Chili Peppers. Hélas, ce Woodstock ‘99 a été un «very bad trip», déchaînant une tempête de bestialité et de rage destructrice. Loin des rêveries utopiques d’une société d’entraide universelle, Woodstock ’99 a, d’une certaine façon, été un anti-Woodstock, révélant le visage grimaçant et fissuré de l’empire américain. Michka Assayas fait, en 2024, le récit ahurissant de cet événement apocalyptique.

Michka Assayas est né le 2 novembre 1958. Ancien élève de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud, il a collaboré en 1980, à Rock & Folk et Libération, comme spécialiste du rock post-punk, un courant alors minoritaire (New Order, les Smiths, etc.). Critique littéraire à Libération et éditorialiste aux Inrockuptibles, il est l’auteur de nombreux récits et romans, dont Exhibition qui a obtenu le prix des Deux-Magots en 2003 ainsi que Very Good Trip (2022) et Very Good Bowie Trip (2023), édités chez GM Éditions. Michka Assayas programme et produit depuis 2015 l’émission Very Good Trip du lundi au jeudi à 21h sur France Inter.

« Very good Wooodstock trip » est à l’origine une série d’émissions intitulées « Woodstock 1969 » diffusées sur France Inter.

Ouest France - Dinan (6/07/2024).

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Leeuwin crew members recovering as tall ship's damage assessed after crash

By Emma Wynne

ABC Radio Perth

Topic: Maritime Accidents and Incidents

The severely damaged sail training ship Leeuwin is moored in Fremantle Harbour. ( ABC News: Andrew O'Connor )

Two crew members, who sustained serious injuries when a large container ship struck the sail training ship Leeuwin, have been discharged from hospital.

The foundation that operates the tall ship hopes major damage can be repaired.

What's next?

The foundation is investigating its own insurance coverage as well as potential rights to compensation for the damage.

Two crew members, who sustained serious injuries when a large container ship struck a sail training ship in WA's Fremantle Port, are still "very shaken up" but have been discharged from hospital.

The two men were on night watch on the STS Leeuwin when the container ship, Maersk Shekou, was pushed into it after being struck by a sudden squall as it entered Fremantle Port after 6am on Friday.

Chair of the Leeuwin Ocean Adventure Foundation, former South Australian premier Jay Weatherill, told Nadia Mitsopoulos on ABC Radio Perth the men had both sustained serious injuries.

The Leeuwin was dismasted after being hit by a large container ship, the Maersk Shekou. ( ABC News: Andrew O'Connor )

"One of them had a sort of puncture wound to his bicep area and they investigated that under surgery and I think that's on the mend," he said.

"The other gentleman had a knock to his head and also a neck injury.

"Both of them, I think, are also just struggling with the whole trauma of the event. They're very shaken up, but they're on the mend."

Mr Weatherill said the men had been provided with support and were able to meet up with other Leeuwin volunteers at the weekend.

Jay Weatherill says the Leeuwin won't be sailing "any time soon". ( ABC News: David Weber )

He said the damage to the 55-metre long, three-masted 1850s-style ship appeared to be primarily to the masts and the rigging.

"But we've had the opportunity to now go below deck and satisfy ourselves that there's been no obvious damage to the hull," Mr Weatherill said.

"There's no evidence of it taking on water and there's no evidence yet of damage to the hull, so that's good news."

Australia's largest sail-training ship Leeuwin has been damaged in a collision at Fremantle port. ( ABC News: David Weber  )

The Leeuwin, which was launched in 1986, has been loved by many in the community for the sailing training trips it has run with young people for almost 40 years.

Mr Weatherill said the foundation would be looking at what was required to put the ship back into working order, including claiming on its own insurance as well as the potential for a claim against others involved in the incident.

"We are insured to a degree but understanding the nature and extent of the damage and whether our insurance would be sufficient to cover that is something else we're going to have to understand and also explore whether we have any other rights which might assist us in that regard," he said.

He said the foundation had been buoyed by the outpouring of support for the Leeuwin since the accident last week.

"One thing we're absolutely determined to do is to get it back out there for the young people of Western Australia," he said.

"We're seeing this overwhelming support and love for the Leeuwin, a lot of emotion from people that are fearful of it being lost, but certainly a lot of love and a lot of offers of support.

"We're grateful for the offers of support and we're determined to rebuild."